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  1. 1.

    Article publié dans TTR : traduction, terminologie, rédaction (savante, fonds Érudit)

    Volume 16, Numéro 2, 2003

    Année de diffusion : 2005

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    RésuméLes migrations linguistiques de Vladimir Nabokov sont étroitement liées à ses « migrations physiques » qui furent en premier lieu provoquées par les événements historiques de la Russie du début du XXe siècle. L'écrivain se voit contraint d'abandonner sa langue maternelle pour rejoindre les lecteurs anglophones. Ses réflexions sur la langue influencent également sa vision du traduire que nous nous proposons d'esquisser dans le présent article.

    Mots-clés : Nabokov, migration, traduction, Pouchkine, Eugène Onéguine, Nabokov, migration, translation, Pushkin, Eugene Onegin

  2. 3.

    Friedrich, Sandra

    Vladimir Nabokov

    Article publié dans Nuit blanche (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 83, 2001

    Année de diffusion : 2010

  3. 4.

    Peterson, Michel

    Vladimir Nabokov

    Article publié dans Nuit blanche (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 83, 2001

    Année de diffusion : 2010

  4. 5.

    Article publié dans Séquences (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 189-190, 1997

    Année de diffusion : 2010

  5. 7.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    1994

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    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  6. 8.

    Article publié dans Jeu (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 195, 2025

    Année de diffusion : 2025

  7. 9.

    Article publié dans Meta (savante, fonds Érudit)

    Volume 63, Numéro 2, 2018

    Année de diffusion : 2018

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    Cet article est un compte rendu à la première personne de la traduction de Lolita en portugais. Il s'attache surtout à savoir comment ne pas considérer l'anglais seulement comme une langue source qui devrait être remplacée par la langue de traduction. Le roman souligne la stridence du narrateur comme signe d'un « illusionniste non indigène » (Nabokov 1955/1991 : 317), ce qui accentue l'hétérolinguisme et présente des défis de traduction remarquables : comment représenter la géopolitique de l'hybridité linguistique dans le texte cible ; comment maintenir l'ambiguïté des rapprochements entre lecteur(s), auteur(s), et d'autres instances d'autorité diégétique, y compris le « traducteur fictif » (Klinger 2015 : 16) ?La non-traduction sélective est proposée comme un choix pour faire face à l'hybridité linguistique, à travers laquelle, dans ce contexte, les « voix différentielles » (Hermans 2007 ; Suchet 2013) peuvent affirmer les différences et les déviations linguistiques (et donc, culturelles/idéologiques). L'adhésion à une stratégie de « traduction ouverte » (House 2001) ne vise pas à rompre le « pacte du traducteur » (Alvstad 2014) ; pourtant, la convention de transparence est rejetée. Cela permet de contourner l'autorité phonocentrique en faveur d'un palimpseste polyphonique orchestrant une archéologie du langage – pas une étrangéisation à tout prix, mais une disponibilité pour « l'altérité du langage » (Bakhtine 1981).

    Mots-clés : traduction littéraire, hétérolinguisme, non-traduction sélective, voix en traduction, négotiation entre éditeur et traducteur, literary translation, heterolingualism, selective non-translation, voices in translation, publisher-translator negotiation, traducción literaria, heterolingüística, non-traducción selectiva, voces en traducción, negociación entre editor y traductor

  8. 10.

    Article publié dans Liberté (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 37, Numéro 2, 1995

    Année de diffusion : 2010