Ce mémoire de maîtrise cherche à comprendre les différentes représentations sociales des femmes musulmanes en contexte du projet de loi de la Charte des valeurs québécoises proposée par le Parti Québécois. Précisément, l’objectif de notre recherche est de démontrer comment cette charte contribue à une propagation d’images défavorables de la femme musulmane. Afin de mieux saisir la situation présente du Québec, nous discutons tout d’abord du monde occidental et des fameuses représentations qu’il admet de l’Islam et particulièrement des femmes musulmanes. Puis, nous discutons du contexte sociohistorique du Québec et de son effet sur le monde québécois d’aujourd’hui et le regard qu’il pose sur cette communauté. À partir de ces deux contextes, nous tentons d’explorer le rôle joué dans cette transmission d’images par les deux dimensions primordiales que sont les médias et le mouvement féministe radical durant le débat autour de la charte. Pour ce faire, nous avons opté pour le cadre théorique des représentations sociales. La méthodologie qualitative choisie porte sur une recherche sur document, plus exactement les blogues concernant la charte retrouvés sur le réseau internet de Radio-Canada. La Charte des valeurs québécoises est identifiée comme une solution aux multiples problématiques, affectant le Québec d’aujourd’hui en matière politique, sociale ou en ce qui concerne la question des femmes. Particulièrement en raison de la pratique contestée du port du voile, le projet de loi est décrit comme un projet équilibré pour le bien-être de la collectivité québécoise et pour le respect des droits individuels surtout ceux des femmes musulmanes qui ne disposent pas d’une même liberté. Ce mémoire a pour objet de décortiquer l’histoire de la période coloniale chez les Inuits du Nunavik, synonyme d’éducation. Toutes les périodes significatives y sont soigneusement analysées tout en y pointant les lacunes scientifiques des études jusqu’à récemment entreprises au sujet de l’éducation de cette population. De manière macrosociale et microsociale, le coeur de la recherche y est dévoilé en contextualisant la question du sentiment identitaire individuel ainsi que collectif dans la continuité des études aux niveaux postsecondaires. L’importance de prendre en considération le concept d’« identité » pour saisir le portrait d’ensemble de la situation scolaire chez les Inuits du Nunavik est d’emblée plus importante aujourd’hui, puisque cette population adhère actuellement à une autonomie gouvernementale, et ce, autant sur les plans politique et territorial qu’éducationnel. Le rétablissement est un concept qui est de nos jours largement utilisé dans le domaine de la santé mentale. Dans le cadre de notre recherche, nous avons voulu explorer les facteurs qui participent au rétablissement du traumatisme vécu par les survivants du génocide des Tutsis au Rwanda en 1994. Plus précisément, ce travail consiste à savoir comment dans un contexte migratoire canadien qui est de plus en plus restrictif et dont les lois et les politiques en matière d’immigration et de protection des réfugiés enfreignent sur les droits des demandeurs d’asile, les survivants du génocide parviennent à se rétablir du traumatisme subi. Pour ce faire, nous avons procédé à une recherche qualitative dans laquelle nous avons réalisé une analyse de contenu thématique de cinq entrevues effectuées auprès de survivants du génocide qui sont venus au Canada en tant que demandeurs d’asile. Nos résultats montrent que les stigmatisations que le système d’immigration canadien leur fait porter ainsi que leur exclusion du marché du travail rendent difficile le rétablissement du traumatisme des survivants du génocide. Toutefois, ils arrivent, grâce à d’autres facteurs tels l’espoir, l’autodétermination, la responsabilisation de soi et l’entraide, à continuer de se battre pour atteindre un état de bien-être. Le gouvernement canadien attache une grande importance à l’immigration des travailleurs qualifiés, dans la perspective de maintenir …
Les mémoires de maîtrise en service social à l’Université d’Ottawa et à l’Université Laurentienne[Notice]
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Fatima Abdo
École de service social, Université d’OttawaVickie Asselin
École de service social, Université d’OttawaAlice Barengayabo
École de service social, Université d’OttawaFélix Bigirimana
École de service social, Université d’OttawaNaomi Bonhomme
École de service social, Université d’OttawaDavid Buetti
École de service social, Université d’OttawaCorine Carbonneau
École de service social, Université d’OttawaSarah Cloutier
École de service social, Université d’OttawaMarie-Pierre Corriveau
École de service social, Université LaurentienneLovanie Anne Côté
École de service social, Université d’OttawaVicki Coughlan
École de service social, Université d’OttawaSamantha Godard
École de service social, Université d’OttawaMaya Fatma Jelali
École de service social, Université d’OttawaKon Kapend
École de service social, Université d’OttawaHélène Kauffmann
École de service social, Université d’OttawaAmélie Lambert
École de service social, Université d’OttawaHélène Le Scelleur
École de service social, Université d’OttawaBaba Samare Makagni
École de service social, Université d’OttawaJosée Mallet
École de service social, Université d’OttawaClaire McDonald
École de service social, Université d’OttawaKarine Millette
École de service social, Université d’OttawaVestine Ndayishimiye
École de service social, Université d’OttawaDivine Numuhorakeye
École de service social, Université d’OttawaMélanie Parent
École de service social, Université d’OttawaAlie Pierre
École de service social, Université d’OttawaCatherine Plante
École de service social, Université d’OttawaVéronique Robert
École de service social, Université d’OttawaIsabel Salas
École de service social, Université d’OttawaJasmine Sarazin
École de service social, Université d’OttawaStéphanie Talbot
École de service social, Université d’OttawaWesline Thelot
École de service social, Université d’OttawaJulien Thibault Lévesque
École de service social, Université d’Ottawa