Résumés
Abstract
The technological history of the building of the Welland ship canal (1913-1932) is well recorded with photographs, documents, maps and plans in various archives. On the other hand, the social history of this saga is harder for the reader to discover because the engineers, contractors, and labourers have left little trace of their experiences “on the ground.” Fortunately, a diary kept by the engineer in charge, Alexander J. Grant, has come to life. Covering the longest period of construction, it chronicles the day-to-day problems of a hard-working, intelligent professional -- but also offers glimpses into the emotional and social life of the man. It will be a valuable source for a future biographer of this remarkable engineer.
Résumé
L’aspect technique de l’histoire de la construction du canal de Welland (1913-1932) est amplement documenté. Nous avons à notre disposition des photographies, des documents écrits, des cartes et des plans dans divers dépôts d’archives. Par contre, il est plus difficile de saisir l’aspect social de cette saga car les ingénieurs, les entrepreneurs et les ouvriers ont laissé peu de traces de leurs expériences. Fort heureusement, le journal d’un des ingénieurs responsables, Alexander J. Grant, a récemment vu le jour. En y décrivant la plus longue période de construction, l’auteur y fait non seulement la chronique des problèmes quotidiens d’un professionnel intelligent et dédié à son travail, mais laisse aussi entrevoir sa vie sociale et émotionnelle. Ce journal sera une source précieuse de renseignements pour tout futur biographe de cet ingénieur remarquable.