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Chaque année, au Rendez-vous de Septembre de Monaco, le président de l’assemblée plénière des sociétés d’assurances contre l’incendie présente ses commentaires sur la situation dans l’industrie de l’assurance contre l’incendie. Une année, il annonça l’augmentation du tarif pour les risques industriels. En septembre 1975, il a précisé l’attitude de l’assemblée plénière devant le problème de l’inflation et de l’érosion monétaire dans le cas des risques industriels.

Nos lecteurs liront sans doute avec intérêt le texte de M. Robert Beineix qui, à titre de président, présente les vues du syndicat des assureurs sur le problème et sur la solution imaginée pour l’adaptation périodique des polices et du tarif.

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Il y a plusieurs années, notre revue faisait paraître une étude de la Canadian Underwriters’ Association, afin d’en montrer l’esprit et le fonctionnement. En 1974, l’organisme est devenu le Groupement Technique des Assureurs, avec à peu près les mêmes services, mais travaillant dans un tout autre esprit. Son directeur, pour la région du Québec, a bien voulu se charger d’éclairer notre lanterne. Nous l’en remercions, tout en notant que l’article paraîtra simultanément dans notre revue et dans celle de l’Association des Courtiers d’Assurance de la province de Québec, à qui nous sommes redevables du texte. A

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M. Louis-Paul Béguin explique ici la méthode que l’on a suivie à la Régie de la Langue française pour l’établissement de termes normalisés. Dans un autre article, il nous communiquera ceux qui ont été reconnus pour les rentes viagères. Nous tenons à remercier M. Béguin et la Régie de leur collaboration à l’oeuvre de la terminologie dans notre province. Déjà, nous avons fait paraître des travaux sur le même sujet, mais, en donnant un caractère quasi officiel au vocabulaire technique employé dans divers domaines, la Régie rend un service dont nous reconnaissons l’utilité avec plaisir. A

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Notre collaborateur traite ici de l’ordinateur et des problèmes d’installation et de protection contre les risques courants. Il attire l’attention sur l’importance de mettre à l’abri ces appareils si précieux et la documentation qu’ils fournissent à l’usager. En effet, il ne suffit pas de les assurer contre les conséquences d’un sinistre; il faut prendre les précautions nécessaires pour éloigner l’éventualité d’un endommagement partiel ou d’une destruction complète. A