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Dans son discours de fin d’année, M. Schafer, président de l’Association canadienne des compagnies d’assurance-vie, a passé en revue les problèmes qui se posent à l’industrie en ce moment et ceux qu’elle devra résoudre d’ici dix ans. Si on le sent préoccupé par les sujets techniques, financiers et fiscaux, on le voit aussi s’intéresser aux questions sociales. L’assurance sur la vie ne peut se contenter d’administrer au mieux les fonds de ses assurés et de trouver des formules nouvelles, comme les assurances indexées. Elle doit se préoccuper des problèmes du milieu où elle traite. Elle ne peut pas ne pas s’intéresser aux recherches médicales, sociales, puisqu’elle sait sa clientèle liée de très près à son milieu. C’est cela qu’indique M. Schafer. En quittant son poste de Président, il veut indiquer la voie à suivre à ses successeurs.
Nous citons de copieux extraits de son texte ici, afin que le lecteur puisse juger de ses préoccupations qui sont aussi celles des sociétés qui font partie de l’Association. A.