Résumés
Abstract
When we speak of the slide show, we are speaking of many things. Photographic art, social documentary photography, information, entertainment, education, discipline, and punishment… the Carousel projector (1961–2004) was part of all these histories, and to an appreciable degree these cultural products shared not just a technical apparatus, but its language and embodied effects. As these machines disappear, we are increasingly reliant on visual and textual documents, as well as creative translations, to try to understand these works, their meaning and effects. My paper interrogates these accounts to grasp what was particular to the slide show medium, regardless of authorial intent, subject matter, and the increasingly porous division between high and low cultures.
Résumé
Parler de diaporamas, c’est évoquer plusieurs choses : l’art de la photographie, le documentaire social, l’information, le divertissement, l’éducation, la discipline et la punition… le Kodak Carousel (1961-2004) a fait partie de tout cela. Dans une large mesure, ces produits culturels partageaient non seulement l’équipement technique, mais aussi son langage et ses effets concrets. Avec la disparition de ces dispositifs, nous nous tournons de plus en plus vers les documents visuels et textuels, ainsi que vers les traductions créatives, pour tenter d’expliquer ces oeuvres, leur signification et leurs effets. Dans mon article, j’interroge ces enjeux pour saisir ce que ce médium avait de particulier, indépendamment des intentions de l’auteur, du sujet et de la distinction de plus en plus perméable entre la culture savante et la culture populaire.