EN :

Earthquakes in the Lake Ontario region (1840-1991) were examined for geographical groupings of possible significance for seismic hazard assessment. Prior to the 1970s, the earthquake locations were too inaccurate to support any geographical pattern of epicentres or to justify any correlation with other proposed geological or geophysical trends.For the period of best earthquake monitoring (1970 to 1991), most of the natural earthquakes were scattered under and south of Lake Ontario, with very few near its north shore and no earthquakes located on the Niagara Peninsula. Earthquakes in the Lake Ontario region are characterized by intermittent scattered activity, with no preferred trends identifiable to date.

FR :

Les tremblements de terre de la régiondu lac Ontario (1840-1991) furent analy-sés pour évaluer les évidences de concentrations de nature géographique, cequi pourraient s'avérer significatif dansle cadre d'une évaluation de l'aléa sérs-mique. Avant les années 70, les locali-sations d'épi centre étaient trop inexac-tes pour appuyer un regroupement géo-graphique quelconque ou pour justifierune corrélation entre d'autres aligne-ments avancés à partir de donnéesgéologiques ou géophysiques. Aucours de la période pendant laquelle lasurveillance séismique devint la pluscomplète (1970-1991), la plupart dessêismes naturels se produisaient sousle lac Ontario et sous sa rive sud, avecpeu d'entre eux près de sa rive nord, etaucun sur la péninsule du Niagara. Lestremblements de terre de la région dulac Ontario se caractérisent par uneactivité sporadique et dispersée, sansévidence de concentrations préféren-tielles jusqu'à présent.

EN :

Paleolimnological approaches haveconsiderable potential for providing pa-leoclimate proxy data. Indicators suchas diatom valves, chrysophyte scalesand cysts, and chironomid head cap-sules may provide both direct and indi-rect inferences of lakewater tempera-ture and related variables. For example,quantitative transfer functions are nowavailable for certain regions that caninfer lakewater temperature from chi-ronomids and diatoms. Meanwhile, thepaleolimnological record from closed-basin lakes in arid and semi-arid regionsof western Canada can be used to trackpast climatic/hydrologic changes, astransfer functions have been developedfor diatom, chrysophyte and chironomidindicators that can provide quantitativeinferences of past lakewater salinity.Other climate-related variables that canbe tracked include dissolved organiccarbon concentrations that can be relatedto past changes in arctic treeline, and pastice-cover in high-arctic regions.

FR :

L'approche paléotimnologique a du grandpotentiel pour fournir des données paléo-écologiques quantitatives. Des indica-teurs comme les valves de diatomées, lesécailles et kystes de chrysophycées, ainsique les partes chitneuses de chironomides peuvent fournir non seulement desinferences directs, mats aussi indirects dela température de l'eau ainsi que d'autresvariables reliés à la température. Parexemple, des fonctions de transfer quan-titatives sont maintenant disponibles pourcertaines régions qui peuvent être utili-sées pour reconstituer la paleotempéra-ture des lacs à partir de fossiles de chiro-nomides et de diatomées. En mêmetemps, les données paléolimnologiquesde lacs salés de régions arides et semi-arides de l'ouest du Canada nous permet-tent de reconstituer les changements cli-matiques et hydrologiques survenus dansle passé. Ces derniers sont préservées defaçon indirecte dans les séquences sédi-mentologiques lacustres et peuvent êtreidentifiés à partir de variations de la com-position spécifique des assemblages fos-siles causes par les fluctuations de paléo-salinité. Des fonctions de transfer ont étédéveloppées pour des reconstitutionsquantitatives de paléosalinité à partir defossiles de diatomées, chrysophycées etchironomides. De plus, la teneur en car-bone organique dissous (COD) de l'eaureprésente une autre variable influencéepar les changements de la limite des ar-bres et la couverture de glace en régionarctique, et qui est donc utile pour desreconstitutions indirectes du paléoclimat.

EN :

The proportion of female students in Canadian earth science/geology departments has increased slowly in the past decade, from 20% to 28% at theB.Sc. and M.Sc. levels and at the Ph.D.level (based on small numbers) from 8%to a peak of 21 % in 1991. The proportion of female faculty remains at less than 5% and only 13% of new faculty hirings since 1983 have been women. The sepercentages are similar to those in other physical science disciplines; theyare higher than those in the UnitedKingdom, but lower than those in theUnited States. Vigorous action is required both at the elementary/high school and university levels to avoid wasting female talent and to ensure that female undergraduate students have role models among graduate students and faculty.