Reflets Revue d’intervention sociale et communautaire

Direction : Simon Lapierre (Directeur et rédacteur-en-chef), Isabelle Côté (Co-directrice), Marie-Pier Rivest (Co-directrice) / Rédaction : Jacqueline Thibault (Coordonnatrice)

À propos

Présentation

Reflets est produit conjointement par l’Université d’Ottawa et l’Université Laurentienne.

Mission et objectifs

Reflets s’adresse aux personnes s’intéressant et travaillant à la prévention des problèmes sociaux et de santé, à la promotion et à la défense des droits sociaux, économiques, politiques et culturels des individus, groupes et collectivités, particulièrement les communautés francophones vivant en milieux minoritaires.

Reflets vise à :

Promouvoir la pensée critique interdisciplinaire sur les politiques, les pratiques institutionnelles et communautaires et sur la formation professionnelle dans les domaines des services sociaux et de la santé, en tenant compte des particularités historico-socio-politiques des francophones en contextes minoritaires;

Offrir aux intervenantes et aux intervenants un outil de communication permettant de diffuser leurs recherches, de partager des réflexions en lien avec leurs pratiques et l’analyse des politiques sociales, lois et structures organisationnelles et de leurs répercussions sur les populations francophones minoritaires;

Créer un espace favorisant l’expression et la diffusion de pratiques novatrices ou alternatives dans les secteurs d’intervention touchant les communautés francophones vivant en contextes minoritaires.

Protocole de rédaction 

Politique éditoriale et guide de rédaction : cliquez ici

Coordonnées

Pour communiquer avec la revue
Courriel: reflets@uottawa.ca 

Adresse : 
Reflets : revue d’intervention sociale et communautaire 
École de service social 
Faculté des sciences sociales 
120, Université privée 
pièce 12030 
Ottawa, Ontario, Canada 
K1N 6N5
 


Accès

Aucun abonnement est requis pour l’accès aux numéros de Reflets. Notre revue est en accès libre ici sur la plateforme érudit

Historique de la revue (49 numéros)

L’archivage pérenne des articles sur Érudit est assuré par Portico.

Politique éditoriale et éthique

Reflets est une revue avec comité de lecture. Elle ne publie que des textes originaux et inédits. Les articles soumis pour un numéro doivent parvenir à la direction de la revue au moins quatre mois avant la date de parution annoncée du dit numéro.

1. La soumission d’articles

Les personnes qui soumettent des textes sont invitées à respecter les directives suivantes qui s’appliquent pour tous les articles présentés.

•      Envoyer à la rédaction de la revue une copie du manuscrit en version électronique (format Word).

•      Outre le manuscrit, présenter une page titre comprenant le titre et les coordonnées professionnelles de toutes les auteures ou auteurs.

La revue Reflets est composée de deux types d’articles, ceux publiés dans Le dossier (articles arbitrés) et ceux publiés dans les rubriques Des pratiques à notre image et Lu pour vous (articles non arbitrés). Certaines règles s’appliquent spécifiquement à l’une ou à l’autre de ces catégories.

Les articles arbitrés

•      Outre le manuscrit, il faudra présenter un résumé d’environ 100 mots, en français et en anglais ainsi que des mots clés (de 5 à 10) dans les deux langues. Le titre, en français et en anglais, doit contenir un maximum de 15 mots.

•      La longueur de l’article varie entre 18 et 24 pages, incluant la bibliographie (rédigée selon le modèle présenté ci-dessous) ou 7 000 à 9 000 mots.

•      Les articles seront évalués par des personnes qui ne siègent pas au comité de rédaction du numéro de Reflets auquel l’article est soumis.

Les articles des rubriques non arbitrées

•      La longueur de l’article varie entre 6 et 8 pages (interligne et demi) ou 2 300 à 3 000 mots.

•      Les articles de la rubrique non arbitrée seront évalués par les personnes responsables du numéro.

2.  La féminisation des titres de fonction et des textes

Les textes doivent être présentés le plus possible en rédaction épicène. Toute formule du genre « L’emploi du masculin ne sert ici qu’à alléger le texte… » est donc à proscrire; elle pourrait être interprétée comme un échappatoire au devoir d’équité entre les sexes. Il faut de plus éviter

— tout procédé littéraire de féminisation qui emploie des signes ponctuation :

Exemples : « Les professionnel(le)s de la santé… » ou « Les professionnels/les de la santé… »

— tout excès de zèle qui alourdirait le texte au détriment de sa concision, de sa clarté, voire de l’intérêt de sa lecture :

Exemple : « Les professionnelles et les professionnels de la santé sont elles aussi et eux aussi susceptibles d’être confrontées ou confrontés à des dirigeantes ou à des dirigeants desquelles ou desquels elles ou ils ne partagent pas les vues. »

Dans certains textes, il pourrait être justifiable que les titres de fonctions soient mentionnés de façon non épicène ou qu’uniquement le féminin ou le masculin soit utilisé. Ce serait le cas, par exemple, d’un article portant sur une recherche dont toutes les participantes ou tous les participants seraient de même sexe.

Exemple : « Les répondantes déplorent de façon unanime le manque de ressources à la portée des travailleuses sociales dans ce centre pour femmes victimes de sévices de tous genres. »

Voici un paragraphe qui a le mérite de respecter à la fois la nécessaire équité entre les sexes et les règles grammaticales entourant les accords des adjectifs, des participes passés et des pronoms, de même que tout autre dictat de la langue française, qu’ils soient de nature grammaticale, syntaxique ou stylistique :

Si ces deux concepts sont enserrés tant dans les causes, les effets ou les moyens du faire-face reliés à la souffrance psychique chez les professionnels au travail, c’est qu’ils renvoient au problème qu’ont les travailleuses et travailleurs sociaux de déterminer les objectifs visés dans les interventions et les conditions du rapport à instaurer avec celles et ceux qui font appel à eux pour atteindre un mieux-être, avec les organisations et la société […]. Ainsi, les travailleuses et travailleurs sociaux sont sommés de tenir bon, de persévérer, surtout dans ce contexte où on dit que les organisations du secteur de la santé et des services doivent être plus réactives, flexibles, productives et axées sur les visées de compétitivité […]. Pour conclure, nous pensons comme chercheur que cette volonté de faire la lumière sur des enjeux normatifs qui sont au cœur de la pratique des travailleuses sociales et des travailleurs sociaux permettra d’engager la discussion interuniversitaire, interprofessionnelle ou intersectorielle sur le sujet afin d’améliorer les conditions dans lesquelles ils évoluent au sein des établissements du secteur de la santé et des services sociaux et au sein des organismes communautaires.

(L’autonomie et l’exercice du jugement professionnel chez les travailleuses et travailleurs sociaux : substrat d’un corpus bibliographique, Stéphane Richard, Reflets, Vol. 19, No 2)

Les ressources suivantes s’avèrent utiles pour la féminisation des titres de fonctions et des textes :

La féminisation au gouvernement de l’Ontario, (http://www.onterm.gov.on.ca/feminisation.html)Le guide du rédacteur du gouvernement du Canada (http://www.btb.termiumplus.gc.ca)

La banque de dépannage linguistique de l’Office québécois de la langue française (http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=4015).

3.  Citations et témoignages, références, notices bibliographiques et mise en page

Afin d'assurer une certaine uniformité dans la présentation des articles en ce qui concerne les citations, les références et les notices bibliographiques, Reflets adopte maintenant la méthode APA 6e édition.

Comité de rédaction

Francine Boudreau, Université Laurentienne
Isabelle Côté, Université Laurentienne (codirectrice)
Patrick Ladouceur, Université d’Ottawa
Simon Lapierre, Université d’Ottawa (directeur)
Jacynthe Mayer, Université d’Ottawa
Danielle Pelland, Université de Montréal (coordonnatrice)
Marie-Pier Rivest, Université de Moncton (codirectrice)
Frantz Siméon, Université Laurentienne
Nérée St-Amand, Université d’Ottawa