Revue d’études autochtones
Direction : Laile Inksetter (Directrice), Marie-Pierre Bousquet (Rédactrice en chef) / Rédaction : Éric Chalifoux (Rédacteur)
Revue précédée de Recherches amérindiennes au Québec
À propos
Revue d’études autochtones est une revue multidisciplinaire francophone éditée au Québec qui publie des articles scientifiques et des chroniques portant sur les enjeux et les réalités des peuples autochtones du Québec, des Amériques et à travers le monde. Elle publie trois numéros par année ; certains sont à thème, d’autres réunissent des articles hors thème. La revue valorise différents courants théoriques et traditions intellectuelles. Tous les articles publiés sont des textes inédits qui sont soumis à un processus d’évaluation anonyme par les pairs. Revue d’études autochtones cherche à inclure des personnes autochtones à toutes les étapes de production de la revue (sur le comité de rédaction, dans l’écriture d’articles, dans l’évaluation d’articles, dans les œuvres utilisées en couverture, etc.). Publiée sous le nom Recherches amérindiennes au Québec entre 1971 et 2021, la revue est désormais connue sous le nom Revue d’études autochtones. Depuis 1971, la revue a publié entre 1971 et 2021 des milliers de textes (articles, chroniques, comptes rendus, etc.) sur les populations autochtones du Québec et des Amériques.
Les principales disciplines auxquelles la revue s’intéresse sont l’anthropologie sociale et culturelle, l’anthropologie appliquée, l’archéologie sociale et culturelle, l’ethnohistoire, l’ethnographie, l’ethnolinguistique et l’ethnoscience amérindienne et, enfin, les sciences juridiques politiques et économiques relatives aux affaires amérindiennes. Revue d'études autochtones est ouverte à tous les courants théoriques et à toutes les traditions intellectuelles. Les positions prises par les auteurs ne reflètent donc pas nécessairement celles du comité de rédaction, du conseil d’administration, de la Revue elle-même ou celles de la Société Recherches autochtones au Québec.
Indexation
America, History and Life • Abstracts in Anthropology • Anthropological Index • Anthropological Literature • BASE-Bielefeld Academic Search Engine • Bulletin signalétique (Ethnologie) • Bibliography of Native North Americans • CSA (Linguistic and Behavior Abstracts, Sociological Abstracts, Worldwide Political Science Abstracts) • Current Abstracts • Google • Google Scholar • Historical Abstracts • INIST–Refdoc.fr • MLA International Bibliography • PubMed • Repère • Scopus • SocINDEX • Synergies Canada • TOC Premier
Coordonnées
Pour communiquer avec la revue :
Éric Chalifoux
Revue d'études autochtones
6742, rue Saint-Denis
Montréal, Québec
H2S 2S2
Canada
Courriel : revue@recherches-autochtones.org
Téléphone : (514) 277-6178
Site Internet de la revue
Abonnement à la version papier
Les personnes qui le désirent peuvent s'abonner et recevoir la version papier imprimée de Revue d'études autochtones. Pour informations :
Courriel : revue@recherches-autochtones.org
Téléphone : (514) 277-6178
Historique de la revue (5 numéros)
L’archivage pérenne des articles sur Érudit est assuré par Portico.
2023
2022
2021
Politique éditoriale et éthique
Revue d’études autochtones (RÉA) est une revue multidisciplinaire francophone éditée au Québec qui publie des articles scientifiques et des chroniques portant sur les enjeux et les réalités des peuples autochtones des Amériques et à travers le monde. Elle publie trois numéros par année, dont certains sont à thème.
Les principales disciplines auxquelles RÉA s’intéresse sont l’anthropologie sociale et culturelle, l’anthropologie appliquée, l’archéologie sociale et culturelle, l’ethnohistoire, l’ethnographie, l’ethnolinguistique et l’ethnoscience autochtone et, enfin, les sciences juridiques, politiques et économiques relatives aux affaires amérindiennes. Revue d’études autochtones est ouverte à tous les courants théoriques et à toutes les traditions intellectuelles. Les positions prises par les auteurs et autrices n’engagent qu’eux-mêmes.
Le comité de rédaction invite les chercheurs et chercheuses à lui soumettre des projets de numéros à thème, soit d’ordre théorique, soit d’ordre plus général – ou des articles dans le cadre de thèmes en préparation ou sur d’autres sujets. Avant de contacter la Revue ou le directeur de la revue, les chercheurs sont priés de consulter le Guide à l’intention des responsables de numéros thématiques et les Directives aux auteurs.
Processus d’évaluation par les pairs
Revue d’études autochtones souscrit pleinement aux principes de l’évaluation anonyme par les pairs. Tout manuscrit soumis à RÉA dans le but d’être publié (sous forme d’article ou de note de recherche) est d’abord soumis au Comité de rédaction qui juge de sa recevabilité. Les textes jugés recevables sont par la suite évalués par au moins deux experts reconnus (lecteurs externes) qui sont sélectionnés au sein de la communauté scientifique internationale. Cette évaluation respecte un anonymat complet. Le choix des examinateurs ou examinatrice est la responsabilité du Comité de rédaction qui agit sous la supervision du directeur de RÉA.
Les principaux critères d’évaluation sont : l’intérêt et l’originalité du sujet ; la qualité du cadre conceptuel, de la méthodologie et de la documentation utilisée, la qualité du style et de la langue ainsi que la structure d’ensemble de l’article. Une fiche d’évaluation est envoyée aux lecteurs ou lectrices externes.
Tout manuscrit soumis pour publication peut être : 1) refusé ; 2) accepté avec révisions majeures ; 3) accepté avec révisions mineures ou bien ; 4) accepté tel que soumis. En cas de révisions majeures, le Comité de rédaction se réserve le droit de faire réévaluer la version révisée de l’article par un lecteur externe.
En cas de rapports contradictoires de la part des lecteurs externes, le Comité aura recours à une troisième évaluation. À défaut d’entente entre les membres du comité de rédaction suite à la réception des évaluations divergentes, un sous-comité de trois personnes (issues du Comité de rédaction) sera alors formé et celui-ci prendra une décision finale après avoir examiné et relu toutes les évaluations externes et les avis du Comité de rédaction.
Mention des droits d’auteur
Les auteurs demeurent les titulaires des droits d’auteur des textes publiés dans Revue d’études autochtones, mais nous demandons aux auteurs de signer une entente qui confère à RÉA une licence exclusive de première publication et de diffusion des articles en format papier et numérique. En publiant dans RÉA, les auteurs acceptent que la revue attribue une licence Creative Commons CC BY-ND 4.0 (Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 4.0 International) qui autorise les gens à copier, à reproduire, à distribuer et à communiquer des copies de vos articles. Cependant, les articles doivent être cités en faisant référence aux auteurs originaux et en incluant l’URL permanent du dit document dans la référence.
Diffusion et libre accès
Revue d’études autochtones adhère à la définition de libre accès du Directory of Open Access Journal (DOAJ). Aucun frais de publication n'est demandé aux auteurs et autrices pour la publication de leur texte dans RÉA. Ses contenus sont donc disponibles en libre accès immédiat sur la plateforme Érudit et l’attribution de la licence CC BY-ND confère à ses lecteurs des droits d’utilisation sans barrière technique tels que lire, télécharger, copier, distribuer, imprimer le texte intégral des articles, chercher à l’intérieur de ceux-ci, ou d’y renvoyer par le biais d’hyperliens, ainsi que de les disséquer pour les indexer, de s'en servir comme jeux de données pour un logiciel, ou de les utiliser de toute autre manière légale. RÉA autorise l’auteur à procéder à l’autoarchivage de la version finale de l’éditeur de son texte (Version of Record) aussitôt la parution sur Érudit. L'auteur qui publie dans RÉA accepte de ne pas effectuer l'autoarchivage des versions prépublication (Preprint) et manuscrit accepté (Author's Accepted Manuscript) de son texte.
Préservation numérique
L’archivage pérenne de Revue d’études autochtones est assuré par Portico.
Intégrité scientifique et intelligence artificielle
Les systèmes d’intelligence artificielle (IA) ne peuvent pas être identifiés comme auteurs ou autrices ou encore comme coauteurs ou coautrices d’articles soumis pour publication à Revue d’études autochtones. Si la rédaction du manuscrit ou encore la production d’éléments visuels ou graphiques ont bénéficié de l’intelligence artificielle, les auteurs et autrices doivent le préciser et le justifier dans une section appropriée du manuscrit. Dans le cas d’une telle justification qui rend le manuscrit recevable, les auteurs et autrices assument la responsabilité de vérifier la véracité des contenus et des sources et s’engagent à respecter les propriétés intellectuelles associées à ces contenus.
Transparence et bonnes pratiques
Revue d’études autochtones adhère aux principes de transparence et de bonnes pratiques de l’édition savantes tels que préconisés par quatre grandes organisations du milieu de l’édition scientifiques (COPE, DOAJ, OASPA et WAME).
Politique anti-plagiat
Dans le but de protéger les droits d’auteurs et d’assurer le caractère inédit des textes qu’elle publie, Revue d’études autochtones s’est dotée d’une politique anti-plagiat. En règle générale, la qualité des évaluateurs anonymes permet de déjouer le plagiat. RÉA considère comme un acte de plagiat le fait de :
- s’approprier, en tout ou en partie, les travaux d’autrui en les faisant passer pour siens et/ou sans en mentionner la source;
- copier, en tout ou en partie, ses propres travaux déjà publiés, sans mentionner la référence de la publication originale (auto-plagiat);
- résumer l’idée originale d’un auteur en l’exprimant dans ses propres mots, mais en omettant d’en mentionner la source.
Si un acte de plagiat est détecté avant la publication ou s’il y a un doute sérieux, l’auteur sera immédiatement contacté et informé de la situation. Si le plagiat est mineur, l’auteur devra procéder à une réécriture et citer adéquatement ses sources en incluant les références exactes. Si le plagiat est plus substantiel (25 % du texte et plus), l’article sera automatiquement rejeté.
Si un acte de plagiat est détecté après la publication, l’article sera retiré de la version numérique de Revue d’études autochtones et, par souci de transparence, une note éditoriale sera insérée dans la version papier du numéro suivant.
Si un article est refusé ou retiré en raison de plagiat, son auteur ne pourra plus publier dans Revue d’études autochtones. Les décisions de RÉA en matière de plagiat sont sans appel.
Instruction pour les auteurs
DIRECTIVES AUX AUTEURS
Présentation des manuscrits (articles et notes de recherche)
Revue d’études autochtones ne publie que des textes inédits. Les manuscrits déjà publiés ailleurs ou devant l’être ne pourront être acceptés. Nous vous invitons à communiquer à la Rédaction tout projet de publication concurrent. L’exclusivité est demandée. Quoique la revue ne puisse défrayer de droits d’auteur, des ententes pourront être conclues dans certains cas.
Tous les articles sont publiés en français. Toutefois, des textes peuvent être soumis dans d’autres langues : s’ils sont acceptés par le comité de rédaction, ils seront traduits. Les opinions exprimées demeurent la responsabilité des auteurs et autrices. Les textes doivent être transmis par voie électronique en format WORD (docx) et les noms de tous les auteurs et autrices doivent être identifiés dès la soumission initiale de l’article. Toute demande de modification des noms des auteurs et autrices doit être justifiée, puis approuvée par la direction de la revue. Toutes les citations doivent être en français.
Moins substantielle que l’article, la note de recherche fait état d’une recherche en cours avec ou sans résultats préliminaires : hypothèses et objets, méthodologie, travaux en cours et, si possible, un aperçu des résultats. Évidemment, la note de recherche sera accompagnée d’une bibliographie exhaustive.
Rédaction épicène
La rédaction au masculin générique et la rédaction épicène sont toutes les deux acceptées, au choix des auteurs. Ce choix doit être conservé au sein d’un même texte. Revue d’études autochtones accepte la rédaction épicène, c’est-à-dire une écriture qui met en évidence de façon équitable la présence des femmes et des hommes (voir la section Rédaction épicène). Nous n’acceptons pas les formes tronquées, comme les patient-e-s, les patients/e/s ou les patient(e)s, qui nuisent à la lisibilité. Pour plus de détails, voir le Guide relatif à la rédaction épicène : respect des genres masculin et féminin.
Acceptation de textes autres que des articles
Dans le cadre d’un numéro thématique, le Comité de rédaction accepte de publier un certain nombre de textes (pas plus de quatre) qui ne sont pas des articles scientifiques mais qui apportent un complément à la thématique développée. Le Comité a identifié trois catégories de textes susceptibles d’être acceptés : le commentaire, le témoignage et le point de vue. Comme pour les articles, le Comité de rédaction se réserve le droit de refuser tout manuscrit de ce type soumis pour publication. Ces textes doivent d’abord faire l’objet d’une lecture critique de la part de la personne responsable du numéro, qui doit être en mesure d’en évaluer la pertinence à la lumière des critères énoncés plus bas. Ensuite, les propositions acceptées sont soumises à la rédaction de la revue avec des suggestions (au moins deux) de lecteurs externes. Ces textes seront alors lus par un ou une membre du Comité de rédaction et par un lecteur ou une lectrice externe. Le comité de rédaction se garde le droit de refuser ces textes. La direction de la revue décidera si ces textes seront intégrés à la version papier de la revue ou bien diffusés en supplément sur le site Internet de la revue. Maximum 3000 mots avec références bibliographiques (env. 8-10 pages à double interligne).
- Commentaire
Le commentaire apporte une perspective originale sur un sujet précis. Il doit s’inscrire clairement dans la thématique du numéro de la revue et proposer une valeur ajoutée par rapport aux articles, soit par son regard original, soit parce qu’il traite d’une question ou d’un enjeu qui n’est pas abordé par les autres textes. Contrairement aux articles, le commentaire n’a pas à reposer sur une démarche théorique ou empirique déterminée. Il propose plutôt un regard critique sur un enjeu, une thématique ou une littérature précise. Doit le caractériser un argumentaire structuré, enrichi des connaissances de l’auteur, de son expérience personnelle et de sa compréhension de la littérature pertinente.
- Témoignage
Le témoignage rend compte d’une expérience personnelle en un discours narratif, descriptif et/ou explicatif. Il doit s’inscrire clairement dans la thématique du numéro de la revue et proposer une valeur ajoutée par rapport aux articles par son regard original ou parce qu’il traite d’une question ou d’un enjeu qui n’est pas abordé par les autres textes. L’objectif ici est moins de proposer un argumentaire que de décrire une situation précise, une expérience vécue ou encore de présenter de manière concise un récit de vie. Le témoignage doit être structuré de manière cohérente, dans un style accessible et devrait idéalement comporter une section ou une conclusion de nature plus analytique.
- Point de vue
De nature critique, le point de vue ou l’opinion porte sur un enjeu d’actualité, une problématique ou un débat. Le texte doit s’inscrire dans la thématique du numéro de la revue et proposer une valeur ajoutée, soit par son regard original, soit parce qu’il traite d’une question ou d’un enjeu qui n’est pas abordé par les autres articles. S’imposent les règles de cohérence et le respect des normes d’usage : évitement des affirmations non soutenues et des attaques personnelles, nuance et respect pour les opinions contraires, etc.).
Plan de l’article et des notes de recherche
- Titre du manuscrit;
- Nom de l’auteur ou de l’autrice, institution, coordonnées personnelles, courriel, etc.;
- Texte de l’article (entre 7000 et 8000 mots MAX. incluant les notes de fin); OU
- Texte de la note de recherche (env. 4500 mots incluant les notes de fin);
- Notes en fin de texte (max. de 10);
- Ouvrages cités en fin de texte (voir plus bas);
- Résumés français et anglais (avec titre anglais) d’environ 150 mots;
- CINQ mots clés (français et anglais);
- Note bio-bibliographique de chaque auteur (entre 125 et 150 mots, voir plus bas).
Figures, photos et tableaux
Autant que possible, des cartes, photos, illustrations et tableaux seront fournis avec l’article, numérotés et accompagnés de légendes groupés à la fin du texte, avec indication du point d’insertion dans le texte. L’auteur doit s’assurer que les illustrations sont libres de droits.
Des photos, figures ou tableaux sont souhaités. Prière de soumettre les figures ou les photos en format PDF ou JPG (résolution de 300 ppp pour 11,6 cm de largeur). Veuillez prendre note que les originaux (textes, photos et figures) ne seront pas renvoyés aux auteurs.
Police et style
- Police recommandée : Times 12 points justifié et à DOUBLE INTERLIGNE
- Premier sous-titre : EN GRAS PETITES CAPITALES
- Second sous-titre : En gras seulement
- Troisième sous-titre : En italiques
Citations
- Toutes les citations doivent être traduites en français;
- Elles doivent être entre des guillemets français (« et ») et accompagnées de la référence avec le numéro de page : (Rogers 1969 : 46);
- Les citations de plus de trois lignes doivent être en retrait du texte;
Normes bibliographiques
- Les références citées doivent apparaître dans le texte de la manière suivante : (Phillips 1998) ou bien (Rogers 1969 : 46);
- Dans le texte, si la référence contient plus de trois noms, écrivez le premier nom suivi par la formule « et al. ». Par ex. (Bruchac et al. 2010);
- La liste des références citées doit apparaître à la fin du texte sous la rubrique Médiagraphie. Les différentes références d’une même personne doivent être en ordre chronologique ascendant en indiquant a, b, c pour plusieurs références d’une même année;
- Le style des références bibliographiques de notre revue est une adaptation du style Chicago 17e (FR);
- Les références regroupées dans la médiagraphie (liste de documents cités en référence, incluant des documents imprimés, des documents informatiques, des documents audiovisuels) doivent être placées en fin de texte et en ordre alphabétique selon les styles suivants (en respectant bien la ponctuation) :
Livre
Otis, Ghislain, dir. 2004. Droit, territoire et gouvernance des peuples autochtones. Québec : Presses de l’Université Laval.
Silver, Shirley et Wick Miller. 1997. American Indian Languages. Cultural and Social Contexts. Tucson : University of Arizona Press.
Chapitre dans un recueil
Rogers, Edward S. 1969. « Band Organization Among the Indian of Eastern Subarctic Canada ». Dans Contribution to Anthropology: Band Societies. Sous la direction de David Damas, 21-50. Bulletin 228, Ottawa : National Museum of Canada.
Article dans une revue
Collings, Peter. 2005. « Housing Policy, Aging, and Life Course. Construction in a Canadian Inuit Community ». Arctic Anthropology 42(2) : 50-65.
Labrèche, Yves, et John C. Kennedy. 2007. « Héritage culturel des Métis du Labrador central ». Recherches amérindiennes au Québec 37(2-3) : 43-60.
Thèse ou mémoire de maîtrise
Gagnon, Denis. 2003. « Deux cents ans de pèlerinage : Les Mamit Innuat à Musquaro, Sainte-Anne-de-Beaupré et Sainte-Anne-d’Unamen-Shipu (1800-2000) ». Thèse de doctorat, département d’anthropologie, Université Laval, Québec. [indiquer le lien URL si le document est disponible sur Internet] <http://hdl.handle.net/20.500.11794/44234>.
Archives
ANC (Archives nationales du Canada). 1878-1932. Manuan Agency. Surveys of the Land for the Coocoocache Reserve. Indian Affairs, RG-120, vol. 7764, dossier 27074-3.
HBCA (Hudson’s Bay Company Archives [Winnipeg]), A.6/15; A.6/17 : London Office Correspondence, 1794, 1806.
Sources électroniques
APN (Assemblée des Premières Nations). 2009. La santé environnementale et les femmes des premières nations : rapport de recherche. Assemblée des Premières Nations, Unité de la gestion de l’environnement. <http://www.afn.ca/uploads/files/rp-enviro_health_and_women-fr.pdf> (consulté le 30 août 2017).
Canada, Gouvernement du. 1996. « Rapport de la Commission royale sur les peuples autochtones ». Gouvernement du Canada. <https://www.bac-lac.gc.ca/fra/decouvrez/patrimoine-autochtone/commission-royale-peuples-autochtones/Pages/rapport.aspx> (consulté le 30 août 2017).
Film ou document audio
Lamothe, Arthur. 1983. Mémoire battante. Ateliers audiovisuels du Québec et Radio-Québec, Québec, 164 min.
Tagoona, William. 1981. Northern Man. CBC, Boot Records.
Exemple de note bio-bibliographique
Pierre Beaucage, Ph.D. en anthropologie sociale (London School of Economics, 1970), est professeur émérite à l’Université de Montréal. Depuis 1963, il a réalisé une quinzaine de recherches de terrain en Amérique centrale et au Mexique, dont une recherche à long terme chez les Nahuas de la Sierra Norte de Puebla (1969-2010). En 2003, il a été titulaire de la Chaire de l’UNESCO sur le développement durable à l’Université de Valencia. Outre de nombreux articles, il a notamment publié : Imaginaires mexicains. Voyages dans le temps et l’espace (Musée de la civilisation/Fides, Québec/Montréal, 1998) et Corps, cosmos et environnement chez les Nahuas de la Sierra Norte de Puebla : une aventure en anthropologie (en coll. avec le Taller de Tradición Oral, Lux Éditeur, Montréal, 2009). Il a dirigé des numéros thématiques de Recherches amérindiennes au Québec et d’Anthropologie et Sociétés.
Courriel : inscrire ici votre adresse courriel
Comptes rendus et notes critiques
La liste des ouvrages reçus pour comptes rendus est disponible sur Internet. Les livres peuvent être obtenus pour recension auprès de la personne responsable des comptes rendus ou auprès de la Rédaction. Les auteurs doivent faire parvenir leur compte rendu (entre 1200-1500 mots) ou leur note critique (entre 3000 et 3200 mots) par courriel. La liste des ouvrages disponibles pour compte rendu est régulièrement mise à jour sur le site Internet de la Revue.
Tirés à part
Les auteurs recevront par courriel le tiré à part de leur texte (article, note de recherche, compte rendu, etc.) en format PDF ainsi que la publicité du numéro qu’ils sont invités à faire circuler dans leurs réseaux. Ils recevront également un exemplaire papier du numéro auquel ils ont collaboré.
Épreuves
Sauf exception, la revue n’envoie pas d’épreuves de leurs articles aux auteurs. La rédaction se réserve le droit de ne pas publier les textes dont la révision demanderait un travail excessif. Tout changement majeur proposé sera soumis aux auteurs avant le montage graphique final.
POLITIQUE SUR L'ORTHOGRAPHE DES ETHNONYMES AUTOCHTONES ET DES TOPONYMES
Pendant de nombreuses années, la revue Recherches amérindiennes au Québec (maintenant publiée sous le nom de Revue d’études autochtones) a adopté les règles de l’Office québécois de la langue française (OQLF) et de la Commission de toponymie du Québec et du Canada en ce qui concerne l’orthographe des ethnonymes autochtones et des toponymes.
Selon la règle de l’Office québécois de la langue française (OQLF), nous privilégions les orthographes suivantes des mots « autochtone », « peuples autochtones » et « Premières Nations » :
- Autochtone : lorsqu’il désigne l’entité sociopolitique que forme l’ensemble de ces peuples, ou encore les personnes qui appartiennent à ceux-ci, autochtone peut être considéré comme un nom propre et prendre une majuscule initiale;
- autochtone : lorsqu’il est utilisé comme adjectif, autochtone garde la minuscule
- peuples autochtones : avec des minuscules
- Premières Nations : la désignation Premières Nations s’écrit avec des majuscules initiales. Utilisée surtout en contexte canadien, cette désignation est considérée comme un nom propre, au même titre que les noms de peuples ou d’habitants.
Selon les nouvelles directives éditoriales, la revue autorise maintenant l’utilisation des ethnonymes et des toponymes selon les modes de transcription en cours dans les différentes communautés. Afin d’éviter toute confusion, il est important d’indiquer l’orthographe de l’OQLF en français entre parenthèses à la première occurrence (p. ex. : les Eeyouch (Cris) ; Ekuanitshit (Mingan), etc.).
La revue demande également aux auteurs d’uniformiser la graphie choisie dans leur article et de justifier l’utilisation de l’orthographe sélectionnée (p. ex. : pourquoi privilégier « Eeyouch » au lieu de « Cris » ou encore « W8banaki » ou «W8banakiak » au lieu de « Abénakis ») et si possible d’en préciser les sources (documents officiels, informateurs, etc.). Selon cette nouvelle directive, l’accord en genre et en nombre ne sera plus obligatoire.
Les auteurs qui désirent continuer à utiliser les règles de l’OQLF et de la Commission de toponymie du Québec et du Canada pour l’orthographe des ethnonymes autochtones et des toponymes peuvent le faire.
Hors Québec, la revue se réfère à la Commission de toponymie du Canada.
Dernière modification : 28 septembre 2023
Comité de rédaction
Équipe de direction
Direction de la revue
Leila Inksetter – Département d'histoire, Université du Québec à Montréal
Rédactrice en chef
Marie-Pierre Bousquet – Département d'anthropologie, Université de Montréal
Équipe de rédaction
Rédaction et coordination
Éric Chalifoux – Revue d'études autochtones et Université du Québec à Montréal
Révision linguistique
Programme de soutien aux revues savantes de l’UQAM
Responsables des comptes rendus
Émile Duchesne – Chercheur postdoctoral, Département d’anthropologie, Université McGill
Graphisme et mise en page
Luc Mercier – Revue d'études autochtones
Responsable des abonnements
François Girard – Revue d'études autochtones
Traduction des résumés
- anglais : Toby Morantz – Département d'anthropologie, Université McGill
- espagnol : Francisco Rivera – Universidad Católica del Norte, Chili
Comité de rédaction
Mathieu Arsenault
Département d’histoire, Université de Montréal
Marie-Pierre Bousquet
Département d'anthroplogie, Université de Montréal
Sébastien Brodeur-Girard
Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Adrian L. Burke
Département d'anthroplogie, Université de Montréal
Christian Gates Saint-Pierre
Département d'anthroplogie, Université de Montréal
Leila Inksetter
Département de sociologie, Université du Québec à Montréal
Laurent Jérôme
Département de sciences des religions, Université du Québec à Montréal
Jonathan Lainey
Conservateur, Premiers Peuples, Musée McCord
Jorge Legoas P.
École des religions, Queen’s University
Jacques Leroux
Département d'anthroplogie, Université de Montréal
Toby Morantz
Département d'anthropologie, Université McGill
Martin Papillon
Département de sciences politiques, Université de Montréal
Comité international
Philippe Descola
Collège de France, Paris, France
Emmanuel Désveaux
E.H.E.S.S. et L.A.S. Paris, France
Gilles Havard
Mondes Américains – CENA et CNRS, Paris, France
Frédéric B. Laugrand
Université catholique de Louvain et LAAP, Belgique
Thomas C. Patterson
University of California, Riverside (CA), USA
Joëlle Rostkowski
UNESCO et EHESS, Paris, France
Adriano Santiemma
Università di Cassino et Università di Roma “La Sapienza”, Italia
Isabelle Schulte-Tenckhoff
Institut de hautes études internationales et du développement, Genève, Suisse