Le Naturaliste canadien

Direction : Denise Tousignant (Rédactrice en chef), Bruno Drolet (Membre du bureau de direction), Jean Hamann (Membre du bureau de direction), Claude Lavoie (Membre du bureau de direction), Caroline Daguet (Membre du bureau de direction), Agathe Cimon (Membre du bureau de direction), Pierre Périnet (Membre du bureau de direction), Yvan Pouliot (Membre du bureau de direction), Martin Lavoie (Rédacteur en chef adjoint), Claude Samson (Rédacteur en chef adjoint)

À propos

Présentation générale de la revue

Historique

Fondé en 1868 par l'abbé Léon Provancher, Le Naturaliste canadien a été légué en 1891 au chanoine Victor-A. Huard qui l'a lui-même légué en 1929 à l'Université Laval. À la suite d'une entente intervenue avec l'Université Laval de Québec, en novembre 1994, la Société Provancher d'histoire naturelle du Canada a accepté de reprendre le flambeau allumé il y a plus de 150 ans par le célèbre naturaliste.

Le Naturaliste canadien est donc devenu la publication officielle de la Société Provancher. En acceptant de continuer la publication d'une des plus anciennes revues scientifiques de langue française au Canada, la Société contribue à préserver une intéressante pièce de notre patrimoine scientifique.

Le Naturaliste canadien est diffusé sur la plateforme Érudit depuis 2012. Depuis 2020, la revue est offerte en version électronique uniquement. 

Vocation

Le Naturaliste canadien est une revue de diffusion des connaissances dans les domaines des sciences naturelles et de l’environnement qui publie, en français, des articles portant sur des sujets nord-américains. 

Objectifs

  • Diffuser des connaissances en sciences naturelles, dans une perspective environnementale et avec un souci de conservation.
  • Sensibiliser le public aux besoins de la nature en traitant notamment de la flore, de la faune, de la conservation des espèces et des problèmes environnementaux, tout en faisant une large part aux effets des interventions humaines sur le milieu naturel.
  • Diffuser de l'information sur la vie de la Société Provancher et sur les autres organismes, publics et privés, qui interviennent en réalisant des actions de conservation et de protection de l'environnement.

Fréquence des parutions

Le Naturaliste canadien publie deux numéros par année. Depuis 2020, chaque numéro est diffusé en plusieurs tranches, de manière à réduire le délai entre l'acceptation des manuscrits et leur mise en ligne.

À l'occasion, des numéros spéciaux portant sur des thématiques particulières sont publiés. Des exemples de thèmes abordés récemment incluent les enjeux de la recherche à Anticosti (Volume 147, numéro 1, printemps 2023), l’écologie routière et l’adaptation aux changements climatiques (Volume 143, numéro 1, hiver 2019), le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent (Volume 142, numéro 2, été 2018), le fleuve Saint-Laurent (Volume 140, numéro 2, été 2016), les oiseaux de proie (Volume 139, numéro 1, hiver 2015) ainsi que les routes et la faune terrestre (Volume 136, numéro 2, printemps 2012).

Préservation numérique

L’archivage pérenne du Naturaliste canadien est assuré par Portico.

Coordonnées

Coordonnées

Rédactrice en chef

Denise Tousignant

Direction de la recherche forestière

2700, rue Einstein, bureau C.1.340.1

Québec (QC)  G1P 3W8

Canada

Courriel : lenaturalistecanadien@provancher.org

Téléphone : 418.643.7994, poste 706527

Adresse postale – correspondance et administration de la revue

Société Provancher

151 Rue des Îlets, Neuville, QC G0A 2R0

Téléphone: 418 554.8636
info@provancher.org

www.provancher.org

 

 

 

 

 


Abonnements

Un abonnement est requis pour l’accès aux numéros parus dans les 12 derniers mois de publication de cette revue. Les autres numéros sont disponibles en libre accès.

Institutions

Courriel : erudit-abonnements@umontreal.ca

Téléphone : (514) 343-6111, poste 5500

Érudit n’est pas responsable de la gestion des abonnements individuels. Pour une demande d’abonnement individuel, prière de contacter directement la Société Provancher (www.provancher.org/devenez-membre/).

Individus

Chaque membre de la Société Provancher reçoit gratuitement la revue en format électronique.

Les personnes et les organismes qui désirent recevoir la revue peuvent devenir membre de la Société Provancher (www.provancher.org/devenez-membre/ ) ou souscrire un abonnement auprès de EBSCO (Téléphone 1-800-361-7322).

Historique de la revue (27 numéros)

L’archivage pérenne des articles sur Érudit est assuré par Portico.

Politique éditoriale et éthique

Politique éditoriale

Types d’articles publiés

Le Naturaliste canadien est une revue de diffusion des connaissances dans les domaines des sciences naturelles et de l’environnement qui publie, en français, des articles portant sur des sujets nord-américains. Les articles sont destinés à un large public, composé en particulier de scientifiques et de naturalistes. Le Naturaliste canadien est également le bulletin de liaison des membres de la Société Provancher d’histoire naturelle du Canada. Aussi, nous invitons les auteurs à utiliser le langage le plus accessible possible et à illustrer leur texte avec des photos.

Les articles sont originaux et présentent des observations de naturalistes, des résultats d’inventaire ou de travaux de recherche; ils peuvent aussi prendre la forme d’une revue de littérature ou d’une réflexion sur un thème relatif aux sciences naturelles ou à l’environnement.

Langue de publication

Le Naturaliste canadien publie des articles en français seulement. Ceux-ci sont accompagnés d’une version anglaise du résumé et des mots-clés.

Révision par les pairs

Chaque manuscrit reçu fait l’objet d’une évaluation par les pairs simple aveugle. Il est commenté par au moins deux experts, sous la direction d’un membre de l’équipe éditoriale ou d’un rédacteur ad hoc et de la rédactrice en chef.

Frais de publication

La publication d’articles acceptés par Le Naturaliste canadien se fait sans frais aux auteurs.

Accessibilité de l’article en ligne

  • L’accès à l’article en ligne est soumis à une période d’embargo de 12 mois à compter de la date de sa publication, au cours de laquelle sa diffusion en format numérique est assurée exclusivement par le portail Érudit : https://www.erudit.org/fr/revues/natcan/.
  • Pendant cette période d’embargo, la consultation des articles en texte intégral est strictement limitée aux seuls membres des institutions ayant souscrit une licence auprès d’Érudit, ou aux abonnés individuels (membres de la Société Provancher d’histoire naturelle du Canada).
  • À l’expiration de cette période d’embargo, le texte intégral des articles est rendu librement accessible en ligne directement sur le site de la Revue en HTML ou en PDF par téléchargement.

Responsabilités de l’Éditeur

  • L’Éditeur s’engage à assurer la publication de l’article dans la Revue en format électronique et à lui garantir une exploitation permanente et suivie, conformément aux usages de la profession.
  • L’Éditeur s’engage, dès la publication de l’article, à assurer la diffusion publique de ses métadonnées (auteur[s], titres et sous-titres, mots-clés, résumés, sommaire éventuel) sur le site de la Revue.
  • Le Naturaliste canadien s’engage à respecter les droits moraux lors de l’utilisation de l’œuvre.

Responsabilités de l’Auteur(s)

  • L’Auteur(s) garantit que sa communication est originale, qu’elle n’a pas déjà fait l’objet d’une publication et qu’il en détient tous les droits d’auteur afférents.
  • L’Auteur(s) garantit à l’Éditeur la jouissance pleine et entière des droits cédés dans le présent contrat et atteste sur l’honneur ne s’être livré à aucune forme de fraude, plagiat ou contrefaçon.

Cession de droits d’auteurs

  • La propriété intellectuelle sur le contenu original de tous les articles appartient à leurs auteurs, qui sont seuls responsables de leurs textes.
  • Lors du processus d'édition, les auteurs devront signer une licence octroyant à la revue Le Naturaliste canadien et à ses ayants droit la permission d’éditer l’article conformément à ses exigences et de le publier. Tous les coauteurs devront alors remplir le formulaire, le signer et le retourner à la revue avant la parution.
  • Les auteurs doivent garantir que la publication de l’article n’enfreint pas les droits d’autrui, ni pour le texte ni pour les illustrations, et qu’ils ont la pleine autorité pour conclure le contrat de publication.
  • Les auteurs autorisent, à titre de contribution à la revue Le Naturaliste canadien, la reproduction et la diffusion publique de leur texte dans les médias électroniques, les banques de données informatisées et autres supports similaires.
  • Les auteurs cèdent à la revue Le Naturaliste canadien le droit d’autoriser la reproduction et la réimpression du texte, sous forme imprimée ou électronique, dans toutes les langues et pour tous les pays.
  • À titre de contribution à la revue, les auteurs cèdent au Naturaliste canadien et à ses ayants droit – et acceptent que soit réinvestie dans la Revue – toute somme éventuellement générée, en vertu de la législation en vigueur ou à venir, par la publication et la diffusion de leur texte par la Revue ou par tout autre éditeur avec l’autorisation expresse de celle-ci.
  • Les auteurs gardent les droits d'utilisation dans leurs travaux ultérieurs. Toutefois, la référence de première publication doit être donnée, de même que le titre de l'article, le nom de tous les auteurs, la mention de la revue Le Naturaliste canadien, la date et le lieu de publication.

Politique d’auto-archivage

Les dispositions suivantes permettent aux auteurs de respecter les exigences de la Politique canadienne des trois organismes sur le libre accès aux publications qui vise principalement à permettre que les résultats de recherche soient librement accessibles sur le site Web de l'éditeur ou un dépôt en ligne dans les 12 mois suivant leur publication.

Définition des versions de la publication

  • Version auteur (« Preprint ») : version du manuscrit soumise par l’Auteur(s) à l’Éditeur et non encore validée.
  • Version acceptée pour publication (« Postprint ») : version du manuscrit acceptée pour publication, incluant toutes les modifications demandées par les pairs, mais sans la mise en page de la Revue.
  • Version éditeur (« PDF éditeur ») : PDF de l'article édité et mis en page, valant facsimilé ou tiré à part de l'article publié dans la Revue.

À tout moment, l’Auteur(s) peut :

  • déposer/diffuser la Version auteur dans une archive ouverte, un répertoire institutionnel ou thématique ou une page Web personnelle. La Version auteur doit systématiquement porter la mention « Ce document est la version auteur non validée d’un article soumis à la revue Le Naturaliste canadien en date du XXX »;

À compter de l’acceptation du manuscrit après validation par les pairs, l’Auteur(s) peut :

  • déposer/diffuser la Version acceptée pour publication dans une archive ouverte, un répertoire institutionnel ou une page Web personnelle, afin de se conformer à un mandat institutionnel. Ces sites doivent être à but non lucratif. La Version acceptée pour publication doit systématiquement porter la mention « Ce document est la version auteur validée de l’article publié dans la revue Le Naturaliste canadien Vol XX no YY, ©La Société Provancher d’histoire naturelle du Canada » et indiquer l’URL du site de la Revue (https://www.erudit.org/fr/revues/natcan);

À compter de la publication, l’Auteur(s) peut :

  • déposer/diffuser la Version acceptée pour publication dans une archive ouverte, un répertoire institutionnel ou une page Web personnelle, afin de se conformer à un mandat institutionnel. Ces sites doivent être à but non lucratif. La Version acceptée pour publication doit systématiquement porter la mention « Ce document est la version auteur validée de l’article publié dans la revue Le Naturaliste canadien Vol XX no YY, ©La Société Provancher d’histoire naturelle du Canada » et indiquer l’URL correspondant de l’article sur le site de la Revue;
  • déposer la Version éditeur, sur demande expresse et autorisation de l’Éditeur, sur le serveur interne uniquement de son université/laboratoire en indiquant l’URL correspondant de l’article sur le site de la Revue;
  • diffuser la Version éditeur, sur demande expresse et autorisation de l’Éditeur, dans le cadre d’un séminaire ou d’un cours.

N.B. : Pendant toute la période d’embargo, la Version éditeur et/ou le tiré à part de l’article ne peuvent en aucune façon faire l’objet d’une diffusion en ligne par l’entremise d’une base de données, d’un site Internet, d’une liste de diffusion ou des réseaux sociaux.

À l’issue de la période d’embargo de 12 mois, l’Auteur(s) peut :

  • déposer/diffuser dans une archive ouverte, un répertoire institutionnel ou thématique ou une page Web personnelle, tous les formats de la publication mentionnés ci-dessus (Version auteur, Version acceptée pour publication et Version éditeur). Ces sites doivent être à but non lucratif. L’Auteur(s) doit faire état systématiquement du copyright de la Société Provancher d’histoire naturelle du Canada pour la version publiée ainsi qu’indiquer l’URL correspondant de l’article sur le site de la Revue.

Politique antiplagiat

Le Naturaliste canadien refuse toute forme de plagiat et d’autoplagiat, qui constituent un manque d’éthique scientifique et une atteinte à la propriété intellectuelle.

  • Le plagiat est le fait de s’attribuer les idées, la démarche, les résultats ou les mots d’une autre personne sans lui en accorder le mérite. Il survient lorsqu’un auteur copie le contenu du travail d’un autre auteur, en tout ou en partie, en les faisant passer pour siens.
  • L'autoplagiat survient lorsqu’un auteur copie ses propres travaux déjà publiés, en tout ou en partie, sans mentionner la référence de la publication originale.

Dans tous les cas, il doit y avoir reconnaissance de la paternité, appuyée d’un renvoi à l’article original d’où proviennent les idées, les méthodes et les résultats déjà publiés, qu’ils l’aient été par d’autres ou par eux-mêmes. Les Directives aux auteurs du Naturaliste canadien précisent comment citer ces sources.

Si le plagiat est détecté avant la publication du manuscrit, que ce soit par un membre de l’équipe éditoriale ou par un évaluateur externe, Le Naturaliste canadien contactera immédiatement l’auteur pour lui demander des explications. Si le texte plagié représente moins de 25 % du manuscrit, Le Naturaliste canadien exigera que l’auteur réécrive le manuscrit et ajoute les références nécessaires. Si plus de 25 % du manuscrit est plagié ou que les explications ou les corrections sont insatisfaisantes, l’article sera définitivement refusé.

Si le plagiat est détecté après la publication, l’article sera formellement et définitivement retiré de la publication.


Instruction pour les auteurs

Instructions pour les auteurs

Les auteurs sont responsables de soumettre leur manuscrit en suivant les directives suivantes :

Présentation générale du manuscrit

Les manuscrits soumis au Naturaliste canadien :

  • comptent tout au plus 10 000 mots, en comptant les références, les illustrations et les tableaux;
  • sont de format 21,5 cm × 28 cm (8½ po × 11 po), avec marges de 2,5 cm (1 po);
  • sont rédigés à double interligne partout, avec une police Times New Roman 12 points ou Arial 10 points.

La page titre (voir les détails fournis à la section 2 ci-dessous) débute par le titre de l’article, suivi du nom des auteurs, d’un bref texte indiquant leur affiliation, d’un résumé français d’au plus 250 mots, d’un résumé anglais et de 5 mots clés qui suivent chaque résumé dans la langue de celui-ci.

Dans le cas des articles décrivant une démarche expérimentale, viennent ensuite les sections suivantes : l’introduction, une description de l’aire d’étude et des méthodes utilisées, les résultats, une discussion et, au besoin, une conclusion. Les remerciements et la liste des références complètent les articles. Si le contenu s’y prête, les sections Résultats et Discussion peuvent être regroupées en une seule.

Dans le cas des articles présentant une synthèse, une revue de littérature ou une réflexion, les titres de section peuvent être modifiés pour refléter la structure du texte.

Prévoir des tableaux et des illustrations (photos, graphiques, cartes, etc.) et les accompagner d’une légende explicative. Voir les détails fournis à la section 7 ci-dessous.

Directives détaillées

1. Mise en forme de base

1.1. Le texte est justifié à gauche, sans alinéa au début des paragraphes.

1.2. Les lignes sont numérotées en continu du début à la fin du document.

1.3. La pagination se fait au bas à droite.

1.4. Les parties du texte s’enchaînent sans saut de ligne ou de page;

1.5. Prévoir des sous-sections qui découpent le texte et résument les grandes idées. Éviter les paragraphes trop longs. Les sections peuvent comporter des sous‑sections de deux niveaux (voir la section 4.1. ci-dessous);

2. Page titre

2.1. Le titre doit être court. Il peut inclure le nom latin de l’organisme si celui-ci est peu connu ou si l’on traite de taxinomie.

2.2. La liste des auteurs précise l’affiliation de chacun d’eux et peut être accompagnée d’une brève description de leurs fonctions (maximum : 20 mots par auteur). Une adresse courriel est fournie pour l’auteur de correspondance.

2.3. Le résumé doit comporter un maximum de 250 mots; il est suivi d’une traduction en anglais fournie par l’auteur (Abstract).

2.4. Les 5 mots clés, présentés par ordre alphabétique, résument le contenu de l’article tout en complétant le titre. Ils s’insèrent à la suite de chaque version du résumé, dans la langue de celui-ci.

3. Ouvrages de référence

3.1. Grammaire et orthographie

Les dictionnaires usuels constituent les principaux outils de référence (en particulier, le Multidictionnaire de la langue française de Marie-Éva de Villers [Éditions Québec/Amérique]), de même que la Vitrine linguistique de l’Office québécois de la langue française (OQLF) et la Banque de noms de lieux du Québec de la Commission de toponymie.

3.2. Taxinomie

Les auteurs se réfèrent à la Base de données des plantes vasculaires du Canada pour nommer les plantes ainsi qu’à la Liste de la faune vertébrée du Québec pour nommer les animaux, lorsque les espèces traitées y apparaissent.

3.3. Système international

Le système international d’unités (SI) prévaut sur le système impérial. Toutefois, si l’auteur juge important d’utiliser le système impérial, il devra mettre ces valeurs entre parenthèses, après les valeurs en SI.

4. Caractères et styles

4.1. Styles des titres des sections et sous-sections

Utiliser les caractères gras pour indiquer le titre (centré) et les sections (alignées à gauche); utiliser le gras italique uniquement pour la sous-section de premier niveau et l’italique uniquement pour les sous-sections de deuxième niveau, lesquelles doivent être alignées à gauche avec une tabulation. Exemple :

Section (alignée à gauche)

Sous-section, premier niveau

Sous-section, second niveau

4.2. Majuscule initiale

Saisir les titres, sections et sous-sections avec la majuscule initiale seulement, sauf pour les sigles qui doivent être en majuscules. Toutefois, le sigle peut être utilisé seul qu’après que ce qu’il représente ait d’abord été nommé au long.

4.3. Accentuation des majuscules

Les accents sur les majuscules doivent apparaître partout.

4.4. Noms des plantes et des animaux

  • Ne pas utiliser la majuscule pour les noms de plantes ou d’animaux en français (p. ex. : l’épine-vinette, le bruant des neiges). Par contre, utiliser la majuscule initiale pour le genre dans les noms latins (p. ex. : Berberis vulgaris, Plectrophenax nivalis, Typha spp.).
  • Indiquez, entre parenthèses, le nom latin des organismes lors de leur première mention dans le corps du texte (p. ex. Alces alces). Pour les manuscrits portant sur la taxinomie, mentionnez le nom latin de l’organisme à sa première apparition, dans le résumé ou le corps du texte, suivi, à la première mention, de celui de l’auteur et de la date de description (p. ex. Pauropus lanceolatus Remy, 1956 et, pour un transfert générique, Calligrapha philadelphica [Linné, 1758]). Pour plus de détails, consultez le code de la Commission internationale de nomenclature zoologique.
  • Dans tous les cas, utilisez l’italique uniquement pour le nom du genre et de l’espèce. Pour les catégories supra-génériques, suivez la disposition adoptée des catalogues reconnus, (p. ex. Löbl, I. et A. Smetana (édit.), 2010. Catalogue of palaearctic coleoptera, volume 6, Chrysomeloida. Apollo Books, Stenstrup, 924 p.).

4.5. Écriture des nombres

Écrire tous les nombres en chiffres, sauf en début de phrase.

4.6. Italique

Dans le corps du texte, les tableaux et les légendes, utiliser l’italique pour les mots étrangers, les expressions et mots latins non francisés, et les titres de publications (voir le tableau des expressions et mots latins et leur abréviation à la section 4.11).

4.7. Soulignement

Ne pas utiliser le soulignement, sauf pour mettre en relief un hyperlien.

4.8. Caractères spéciaux

Si le texte comporte des caractères spéciaux, ajouter une note pour qu’ils soient bien identifiés.

4.9. Espacement avant et après les signes de ponctuation

4.10. Ligatures

Les voyelles « a » et « o » doivent être soudées avec le « e » qui les suit (c’est la ligature), sauf dans les mots moelle, moelleux, moellon et moere, dans les mots accentués (p. ex. : goéland, poêle) et dans certains noms propres d’origine étrangère (p. ex. : Froelich, Boer). Nous écrirons donc par exemple, bœuf, cæcum, cœur, curriculum vitæ, ex æquo, fœtus, nœud, œdème, œil, œsophage, œuf, etc.

4.11. Expressions ou mots en latin

Les recommandations suivantes sont privilégiées en ce qui a trait aux expressions ou mots en latin :

5. Citations

  • Pour les citations courtes placées dans le texte, utiliser les guillemets français en forme de chevrons : «~mot~»; «~Phrase.~».
  • Pour une citation plus longue, l’auteur doit la placer en retrait dans le texte; les guillemets deviennent alors inutiles, mais la citation est en caractères plus petits et le nom de l’auteur est indiqué à la fin du paragraphe.

Exemple fictif :

[...] Si nous choisissons pour une citation plus longue de la placer en retrait dans le texte, les guillemets deviennent inutiles, mais le texte est alors en caractère plus petit et le nom de l’auteur est indiqué à la fin de la citation. Si cette citation en retrait comporte elle-même une citation, nous utiliserons alors les chevrons comme guillemets. (Desmartis et Gadbois, 1995)

6. Notes de bas de page

Autant que possible, éviter les notes de bas de page. Si celles-ci s’avèrent indispensables, elles paraîtront à la fin de l’article. L’appel de note21 est indiqué par un chiffre en exposant (sans parenthèse) placé immédiatement après le mot (sans espace). La note de bas de page s’écrit ainsi, avec un tabulateur (→) après le chiffre et le point, exemple :

21.→ La présentation des notes se fait dans l’ordre numérique, en fin d’article.

7. Tableaux et illustrations

7.1. Appel des tableaux et des illustrations dans le texte

  • Toutes les illustrations dont il est question dans le texte sont appelées figures et sont numérotées consécutivement.
  • Dans le corps du texte, on doit indiquer le numéro de chaque tableau ou illustration (p. ex. : tableau 2; figure 1) de façon que la maison d’édition puisse les placer le plus près possible de leur mention lors de la mise en page.

7.2. Utilisation de la couleur

  • Les illustrations paraissent en couleur dans la version électronique et les tirés à part (PDF) remis aux auteurs.

7.3. Légendes

  • Tous les tableaux et les illustrations doivent être numérotés et accompagnés d’une légende.
  • La légende des tableaux se place au-dessus de ceux-ci, alors que celle des figures se place en-dessous.
  • La liste des légendes des figures s’insère dans le texte, sur une page séparée, à la suite des références.

7.4. Tableaux

  • Les tableaux préparés avec le logiciel Word s’insèrent à la fin du manuscrit, sur des pages séparées, à la suite des références et de la liste des légendes des figures.
  • Chaque tableau préparé avec le logiciel Excel doit être transmis dans un fichier unique, distinct de celui du texte principal.

7.5. Illustrations

  • Chaque illustration (graphique, carte, dessin, photo, etc.) doit être transmise dans un fichier unique, distinct de celui du texte principal.
  • De préférence, les illustrations sont fournies en format vectoriel (« .eps », « .ai » ou « .pdf »).
  • Les images numérisées et les illustrations fournies en format matriciel (format « .eps », « .tiff », « .jpg », « .psd » ou « .png ») doivent être en haute résolution.
  • La source (nom du photographe ou de l’illustrateur) doit apparaître, entre parenthèses, à la fin de la légende de chaque figure. 
  • Indiquer l’échelle pour les photographies prises avec grossissement.
  1. Cartes, graphiques et dessins
  • Les graphiques créés par des logiciels comme Excel doivent être accompagnés de toutes les valeurs numériques qui ont servi à les créer et les documents doivent être libres de tout lien.
  • Tous les symboles utilisés pour les graphiques ou les cartes géographiques doivent être expliqués dans la légende et doivent être bien distincts les uns des autres. Il faut prévoir que les illustrations seront peut-être réduites. Ainsi, une fois réduit, le texte des illustrations devrait avoir au moins 1 mm de hauteur.
  • Indiquer le Nord par une flèche et l’échelle sur toutes les cartes géographiques.
  • Indiquer le nom de tout logiciel spécialisé peu courant dans une note à la fin de l’article.
  1. Photographies à haute définition
  • Photos prises avec un appareil photo numérique : Pour les besoins du Naturaliste canadien, l’appareil photo numérique doit avoir une capacité minimale de 4 mégapixels et être ajusté pour qu’un minimum de 3 mégapixels soit utilisable pour la prise de photos.
  • Photos prises avec un appareil photo traditionnel : La photo sur papier ou la diapositive produite doit être numérisée par balayage (numérisée) avant d’être imprimée. Le fichier numérisé doit avoir une résolution minimale de 400 points par pouce (ppp) pour les photos sur papier de 100 mm × 150 mm (4 po × 6 po), ou de 2400 ppp pour les diapositives.

8. Références bibliographiques

8.1. Dans le corps du texte :

  • Indiquer les références ainsi : (Corbeil et Archambault, 2002; Simon, 2005); (Guénette et collab., 2001); (Froelich et McNabb, 1984); (Payette et collab., 1989; 2000).
  • Lorsque plusieurs références sont mentionnées dans une même parenthèse, séparer celles-ci par un point-virgule et classer celles-ci en ordre alphabétique plutôt que chronologique.

8.2. Dans la liste des références :

  • Écrire au long le nom des revues et des organisations. 
  • Ordonner les références par ordre alphabétique croissant du nom du premier auteur, puis par ordre chronologique croissant.
  • Lorsqu’un même auteur signe plusieurs articles, commencer par ceux où il y a un seul auteur, puis citer ceux où il y a 2 auteurs et enfin tous les autres par ordre chronologique.
  • Réserver l’usage de l’italique aux noms latins.

8.3. Consignes détaillées de mise en forme :

Pour chaque référence, écrire dans l’ordre :

  • le nom de l’auteur, avec la majuscule initiale. Le nom est suivi d’une virgule et des initiales de l’auteur, chacune suivies d’un point. S’il y a plusieurs auteurs, les initiales des auteurs suivants précèdent leur nom, la conjonction « et » précédant les initiales et le nom du dernier auteur, même lorsque l’article est en langue anglaise (voir exemples). Ne pas utiliser les majuscules « forcées » (caps lock) pour les noms des auteurs. Ne pas séparer les initiales par un espace : Froelich, H.A. et D.H. McNabb;
  • l’année de parution, précédée par une virgule et suivie d’un point;
  • le titre du livre ou de l’article, en caractères normaux, suivi d’un point;
  • dans le cas d’un article, le nom de la revue dont il est tiré, suivi d’une virgule;
  • dans le cas d’un article, le numéro du volume de la revue, suivi de deux points (:) et de la mention des pages correspondant à l’article cité, suivie d’un point;
  • pour les articles parus dans Le Naturaliste canadien depuis 1995, indiquer le volume et le numéro de la revue, puisque chaque numéro d’un volume commence à la page 1;
  • dans le cas d’un article de revue scientifique comprenant un identificateur d’objet numérique (DOI), utiliser le format https://doi.org/10.1037/arc000014 suivi d’un point;
  • dans le cas d’un livre, le nom de la maison d’édition, suivi d’une virgule, le nom de la ville où le livre est édité, suivi d’une virgule, et le nombre de pages que comporte le livre, suivi de l’abréviation « p » et d’un point;
  • dans le cas d’un chapitre de livre, le titre de celui-ci est suivi de l’expression « Dans : » (même lorsque l’article est en langue anglaise), du nom des éditeurs et leurs initiales et de l’abréviation « édit. » entre parenthèses et d’un point. Viennent ensuite le titre du livre, suivi d’un point, le nom de la maison d’édition, suivi d’une virgule, le nom de la ville où elle se trouve, suivi d’une virgule et, à la fin, les pages de l’article précédées de « p. »;
  • dans le cas d’un document disponible en libre accès en ligne, faire suivre la mention « Disponible en ligne à » de deux points (:), de l’adresse URL (hyperlien), puis d’un point;
  • dans le cas d’un document non imprimé ou mis à jour régulièrement sur un site web, faire suivre la mention « Visité le » de la date de consultation, entre crochets (format recommandé : [aaaa-mm-jj]), puis d’un point.
Exemples :

a) Article de revue scientifique

Savenkoff, C., A.F. Vézina, P.C. Smith et G. Han, 2001. Summer transports of nutrients in the Gulf of St. Lawrence estimated by inverse modelling. Estuarine, Coastal and Shelf Science, 52 : 565-587.

b) Article de revue scientifique comprenant un identificateur d’objet numérique (DOI)

El Harti, A., M. Saghi, J.-A.E. Molina et G. Teller, 2001. Production de composés indoliques rhizogènes par le ver de terre Lumbricus terrestris. Canadian Journal of Zoology, 79 : 1921-1932. https://doi.org/10.1139/cjz-79-11-1921 

c) Article paru dans Le Naturaliste canadien avant 1995

Gauthier, B. et V. Lavoie, 1975. Limites hydrobiologiques au niveau de l’archipel de Montmagny, estuaire du Saint-Laurent. Le Naturaliste canadien, 102 : 653-662.

d) Article paru dans Le Naturaliste canadien après 1995

Huot, M., 1995. Une espèce unique au Québec : le suceur cuivré. Le Naturaliste canadien, 119 (2) : 37-40.

e) Livre

Barrette, C., 2000. Le miroir du monde : évolution par sélection naturelle et mystère de la nature humaine. Éditions MultiMondes, Québec, 337 p.

f) Thèse

Courtois, R., 2003. La conservation du caribou forestier dans un contexte de perte d’habitat et de fragmentation du milieu. Thèse de doctorat, Université du Québec à Rimouski, Rimouski, 350 p.

g) Rapport

Courtois, R., J.-P. Ouellet, L. Breton, A. Gingras et C. Dussault, 2002. Effet de la fragmentation du milieu sur l’utilisation de l’espace et la dynamique de population chez le caribou forestier. Ministère de l’Environnement et de la Faune, Québec, 44 p.

h) Chapitre de livre

Fassler, C.R., 1997. The American mussel crisis: effects on the world pearl industry. Dans : Cummings, K.S., A.C. Buchanan, C.A. Mayer et T.J. Naimo (édit.). Conservation and management of freshwater mussels II: Initiatives for the future. Proceedings of a UMRCC symposium, 16-18 October 1995, St. Louis, Missouri, Upper Mississippi River Conservation Committee, Rock Island, p. 265-277.

i) Document non imprimé ou mis à jour régulièrement et disponible uniquement dans un site Web

Colwell, R.K., 1997. Estimate S: Statistical estimation of species richness and shared species from samples. Version 5. User’s guide and application. Disponible en ligne à : http://www.viceroy.eeb.uconn.edu/estimates. [Visité le 2012-02-02].

9. Soumission des manuscrits

Envoyer les textes, tableaux et illustrations directement à la rédaction :

Pour plus d’information, communiquer avec la rédactrice en chef :

Comité de rédaction

Rédactrice en chef

  • Denise Tousignant (Ministère des Ressources naturelles et des Forêts du Québec)

Bureau de direction

  • Agathe Cimon (Ministère des Ressources naturelles et des Forêts du Québec - retraitée)
  • Bruno Drolet (Environnement et Changement climatique Canada)
  • Jean Hamann (Université Laval)
  • Claude Lavoie (Université Laval)
  • Pierre Périnet (Ministère des Ressources naturelles et des Forêts du Québec - retraité)
  • Yvan Pouliot (consultant en environnement)
  • Caroline Daguet (Ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs du Québec)

Rédacteurs en chef adjoints

  • Martin Lavoie (Université Laval)
  • Claude Samson (Parcs Canada)

Équipe éditoriale

  • Yan Boucher (Université du Québec à Chicoutimi)
  • François Brassard (Ministère des Ressources naturelles et des Forêts du Québe)
  • Marc-Antoine Couillard (Ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs du Québec)
  • Mathieu Cusson (Université du Québec à Chicoutimi)
  • Christian Hébert (Service canadien des Forêts)
  • Patrick Lajeunesse (Université Laval)
  • Marc Mazerolle (Université Laval)
  • Stéphanie Pellerin (Institut de recherche en biologie végétale)
  • Martin-Hugues St-Laurent (UQAR)
  • Junior Tremblay (Environnement et Changement climatique Canada)

Révision linguistique et vérification technique des manuscrits

  • Louise Champoux
  • Agathe Cimon
  • Andrew Coughlan
  • Hélène Lahaise
  • Émilie Peco
  • Pierre Périnet
  • Yanick Plourde

Correction des épreuves

  • Marc Dufresne
  • Hélène Lahaise
  • Pierre Périnet
  • Camille Rousseau

Secrétaire de rédaction

  • Hélène Lahaise

Graphisme et mise en page

  • Emmanuel Gagnon