Résumés
Abstract
Although the emergence of skyscrapers as a distinctive element in the downtown fabric symbolizes economic change and progress, research questions surrounding their appearance need to go beyond merely noting their height and facade detail. Using case studies in Toronto, Ontario, this paper investigates more useful measures such as floor space, tenancies, and employment levels that have been calculated for several generations of office buildings. The possibilities and limitations of fire insurance atlases, assessment rolls, street directories, and company records are examined. The case studies suggest the interrelatedness of forces at work in shaping office-district landscapes.
Résumé
Les gratte-ciel sont devenus un élément distinctif du paysage urbain des centre villes et sont perçus comme symboles de progrès et de transformations économiques. Les recherches sur leurs conditions d’implantation doivent cependant aller plus loin qu’une simple description de leur hauteur et de leur façade. S’appuyant sur des exemples de Toronto, en Ontario, les auteurs ont recours à des mesures plus utiles — la superficie de plandier, la location, les niveaux d’emploi — qui ont été calculées pour plusieurs générations d’édifices à bureaux. Les auteurs discutent les avantages et les limites des atlas de compagnies d’assurance-incendie, des rôles d’évaluation, des annuaires, et des arelieves d’entreprises. Les exemples étudiés montrent l’interaction des forces qui façonnent le paysage des édifices à bureaux.
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