Résumés
Abstract
Vancouver was unlike many nineteenth centry Canadian cities in that it readily undertook to provide reasonably extensive public health services — a city hospital, waste disposal and drainage, a modern water supply, and health inspection. Provision of those services got fairly under way in the city's first two years, at which time (as later), those interested in the city's growth, who directed public expenditure there as in most cities of the time, encouraged up-to-date public health services as signs of municipal progress likely to attract additional settlers and capital. Public expenditures relating to health were supported as attractants which augmented the city's natural climatic advantages.
Résumé
À la différence d’un grand nombre de villes canadiennes du XIXe siècle, Vancouver se chargea, de son gré, de mettre sur pied des services d’hygiène publique d’assez grande portée. Or, cette initiative visait tout autant l’établissement d’un hôpital, d’une décharge publique et d’un système de drainage qu’un approvisionnement d’eau moderne et des services de santé publique. La municipalité provoqua la création de ces services dès ses deux premières années. À cette même époque, les partisans de l’expansion municipale, responsables des dépenses publiques, voyaient dans la mise à jour des services d’hygiène publique modernes un signe de progrès apte à attirer habitants et capitaux. Comme de tels services, alliés à un climat fortement avantageux, ne pouvaient que rendre la ville encore plus attirante, les dépenses publiques dans ce domaine furent encouragées.