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Harel, Simon. « « Le plus triste de la fin du monde, c'est peut-être que personne ne pourra la raconter ». » Tangence, numéro 42, décembre 1993, p. 49–67. https://doi.org/10.7202/025788ar
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Harel, S. (1993). « Le plus triste de la fin du monde, c'est peut-être que personne ne pourra la raconter ». Tangence, (42), 49–67. https://doi.org/10.7202/025788ar
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Harel, Simon « « Le plus triste de la fin du monde, c'est peut-être que personne ne pourra la raconter » ». Tangence no 42 (1993) : 49–67. https://doi.org/10.7202/025788ar
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