Résumés
Résumé
Michaux, qui était, selon Zao Wou-ki, le seul poète français à avoir réellement compris l’art chinois, a mis à contribution les idéogrammes chinois dans sa création poétique et artistique. Partant de la lecture de deux de ses textes, une réflexion tente de distinguer deux types d’idéogrammes (idéogrammes à proprement parler et pseudoidéogrammes), autour desquels se forment deux genres de silences : silence idéogrammatique et silence pseudo-idéogrammatique.
Mots-clés :
- Intermédialité,
- Michaux,
- idéogramme,
- silence,
- pseudo-idéogramme
Abstract
Michaux, who according to Zao Wou-ki was the only French poet who truly understood Chinese art, integrated Chinese ideographs in his own poetic and artistic practice. In this article, we distinguish between two types of ideographs (ideographs that we know as such and pseudoideographs) in two of the poet’s texts and argue that the two types of ideographs are respectively endowed with two sorts of silence, namely ideographic silence and pseudoideographic silence.
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