Résumés
Abstract
Feminist critics have been as slow to take up the tools of electronic scholarship as the academy has been at recognizing on-line criticism as a legitimate mode of investigation. Canadian experimental feminist authors and artists, however, are proving more likely to embrace the philosophy, if not necessarily the medium, of electronic possibilities. The potential for cutting edge hypertext feminist scholarship is examined through an examination of Nicole Brossard's use of Virtual Reality as a feminist discourse in her novel Baroque at Dawn (Baroque d'aube) and Catherine Richards' body-based, real time art explorations in her Virtual Reality installation pieces entitled The Virtual Body and Curiosity Cabinet, at the End of the Millennium.
Résumé
Les critiques féministes ont au moins autant tardé que l’ensemble du milieu universitaire à reconnaître la légitimité de la communication électronique de travaux critiques. Cependant, on trouve chez les féministes issues du milieu des lettres et des arts une plus grande sensibilité à la philosophie, si ce n’est toujours au médium, des possibilités ouvertes par l’informatique. Le potentiel pour le développement d’une critique féministe hypertextuelle d’avant-garde est étudiée à la lumière de la mise en scène de la réalité virtuelle que propose Nicole Brossard dans son roman Baroque d’aube et du travail de l’artiste Catherine Richards intitulé The Virtual Body and Curiosity Cabinet, at the End of the Millennium.
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