Résumés
Résumé
Après une aventure d’être dans les pages de ce volume, on se trouve avec ses pauvres mots sans chair et l’ensemble des outils de l’envoûtement dont Artaud aura passé toute sa vie à faire effort pour se libérer. Cet énorme volume, nécessaire, met mal à l’aise : on ne peut pas le lire sans être envahi aussitôt du sentiment d’être celui qui l’assiège, celui qui le crucifie, celui qui le vampirise ? Voilà qu’en rédigeant cette note je me rejette dans ce que je voudrais surtout ne pas être : me voilà, ce qui le suicide encore...