Résumés
Résumé
Cet article explore l’engagement de Byron à l’endroit du sublime dans le chant 2 de Childe Harold’s Pilgrimage, contre l’arrière-plan de son traitement dans ses poèmes de l’histoire et de la correspondance entre l’expérience personnelle et les processus historiques. Sur le plan théorique, il prendra appui sur la discussion par Kant du sublime, selon qui nous jugeons quand nous évaluons les objets; le concept sera lié au relativisme esthétique et éthique introduit au dix-huitième siècle. L’argument sera centré sur les instances de parallélisme (produits par la métaphore et la comparaison) entre l’objet sublime et l’esprit de la personne qui le contemple.
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