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Rétrospective des activités rédactionnelles[Notice]

  • Marc-André Éthier et
  • David Lefrançois

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  • Marc-André Éthier
    Rédacteur en chef, Université de Montréal

  • David Lefrançois
    Directeur, Université du Québec en Outaouais

L’année dernière, la Revue des sciences de l’éducation s’était donné comme mission de revoir sa maquette, de pratiquer l’écriture inclusive avec point médian, de tenir compte des rectifications de l’orthographe, de rattraper les retards de publication et de rénover son site Web, afin de le rendre plus accessible. Ce mandat était à la fois important et lourd. L’équipe que nous formons est donc fort heureuse d’avoir pu le remplir. Cela n’aurait pas été possible sans l’aide précieuse de Mme Carole Bergeron (secrétaire à la rédaction), des évaluateur⋅rice⋅s, des correcteur⋅rice⋅s, des assistant⋅e⋅s à la rédaction, des traducteur⋅rice⋅s, des recenseur⋅se⋅s et, bien sûr, des auteur⋅e⋅s comme des lecteur⋅rice⋅s de la Revue. Cette année, une nouvelle trésorière, Mme Sophie René de Cotret, et une nouvelle assistante à la rédaction, Mme Myriam Villeneuve-Lapointe, se joignent aussi à l’équipe de la Revue. Nous saluons leur venue et les remercions de leur engagement ! Parmi les tâches que nous nous donnons pour 2019, deux méritent d’être rapportées : nous voulons instaurer deux nouvelles sections annuelles, « Lectio » et « Disputatio ». La première section est dévolue aux notes de synthèse. Il s’agit de situer, de synthétiser, d’expliquer, d’analyser, de comparer ou de critiquer un ou des écrits savants, afin de les problématiser et d’en dégager des éléments qui méritent d’être discutés et fouillés. La tâche de briser la glace revient à Mme Nicole Tutiaux-Guillon, avec une note critique sur la didactique de l’histoire. La deuxième section veut faire en sorte que les pages de la Revue s’ouvrent aux débats importants autant pour les personnes qui s’intéressent aux questions éducatives qu’à celles, à l’extérieur des universités, qui se savent concernées par des questions politiques et sociales aussi graves de conséquences pour le monde de l’éducation et aussi complexes que le sont, par exemple, la littératie ou les inégalités socioscolaires. Bonne lecture de la Revue des sciences de l’éducation !