Résumés
Résumé
Une analyse digraphique de trois variantes de la légende Le Diable beau danseur permet d'abord d'en définir une structure élémentaire pouvant servir à des fins comparatives et taxinomiques. Ensuite, le passage des digraphes aux réseaux ajoute à l'analyse une dimension quantitative (débit des trajets) qui justifie le titre Le Diable beau danseur plutôt que Rose Latulippe. La problématique formelle utilisée dans cet essai débouche sur une psychosociologie du folklore
Veuillez télécharger l’article en PDF pour le lire.
Télécharger