Résumés
Résumé
Ce texte est une chronique rapide des actions menées par un comité bruxellois qui veut rendre la ville aux piétons et aux cyclistes.
Né en 1972, le C.A.T.U. a entrepris diverses démarches de sensibilisation par le moyen d’un mensuel, d’un montage audiovisuel, d’une randonnée cycliste à travers Bruxelles rassemblant plus de 2,000 usagers, etc.
Le C.A.T.U. sert de coordonnateur entre les formations syndicales, des comités de quartier, des partis progressistes, des mouvements de jeunes. Il s’est opposé en 1978 à une augmentation des tarifs des Transports urbains. Certains groupements se réclamant de la « nouvelle gauche » pratiquèrent des auto-réductions dans les bus, les trams, le métro. En 1980, nouvelle augmentation, nouvelle opération « Train gratuit » en Wallonie et dans certaines gares de Bruxelles.
Abstract
This article sketches a rapid portrait of the Urban Transport Action Committee which defends the rights of pedestrians and cyclists in Brussels.
Founded in 1972, the UTAC has sought to arouse public concern through a variety of means: a monthly publication, a slide show and a protest demonstration by cyclists.
The UTAC works in close collaboration with trade-union organizations neighbourhood groups, progressive political parties and youth groups. In 1978 they organized opposition to rate increases in public transport. Boycotts of rate increases were organized by certain "new left" groups. In 1980, rates were raised again and new boycotts were organised.
Resumen
Este texto es una crónica rápida de las acciones de un comité de Bruselas que quiere asegurar la ciudad par los peatones y los ciclistas.
Nacido en 1972, el C.A.T.U. ha realizado diversas acciones de concientización a través de un periódico mensual, de un montaje audiovisual, de un paseo ciclístico por la ciudad con mas de dos mil adherentes, y otros.
El C.A.T.U. sirve de coordinador entre formaciones sindicales, comités de barrio, partidos progresistas, y movimientos de jóvenes. El se opuso en 1978 al aumento de tarifas de los transportes urbanos. Ciertos grupos que se identificaban a la "nueva izquierda" practicaron la auto-reducción de tarifas en buses, tranvías y el tren subterráneo. A un nuevo aumento en 1980 siguió una nueva operación "Tren gratuito" en Wallonia y en algunas estaciones de Bruselas.