Résumés
Résumé
L’analyse des conséquences fiscales découlant de la signature de la « convention de rachat » et de sa mise en oeuvre révèle des anomalies importantes qui se traduisent, dans certaines circonstances, en avantages fiscaux marqués. Nous concluons que la convention de rachat demeure un instrument juridique extrêmement précieux, en raison de la certitude qu’elle procure quant à l’exécution en nature des obligations et l’évaluation des actions et ce, nonobstant les modifications législatives récentes, notamment l’impôt spécial de la Partie II, le taux réduit du crédit d’impôt pour dividendes et la réduction du prix de base rajusté de la succession d’un montant équivalent au dividende réputé dans le cas des « nouvelles polices d’assurance-vie ».
Abstract
This article deals with the tax consequences of corporate buy-back agreements, arising out of the signing of such an agreement as well as out of its implementation. This analysis leads us to conclude that, notwithstanding recent amendments, more particularly the new Part II tax, the reduction of the dividend tax credit and of the adjusted cost base of the shares to the estate of the deceased shareholder by the amount of the deemed dividend paid out of the life-insurance capital dividend account, the corporate buy-back agreement remains a useful legal instrument by reason of the guarantees it provides with respect to the specific performance of the obligations contained therein and to the valuation of shares for all purposes.