La violence dans les relations intimes à l’adolescence est un sujet qui préoccupe notre société, mais peu de recherches ont été réalisées sur cette problématique lorsqu’elle touche les jeunes mères. Notre étude a donc pour objet d’examiner la perception qu’ont les jeunes mères des expériences de violence vécues dans leurs relations amoureuses, des facteurs ayant pu influencer leurs décisions de poursuivre ou de rompre cette relation ainsi que des services et soutiens leur ayant été utiles. Nous avons effectué notre recherche auprès de quatre (4) jeunes mères âgées de 16 à 24 ans qui avaient vécu au moins une relation dans laquelle il y avait eu de la violence. Des entrevues semi-dirigées ont été réalisées pendant l’été 2007. Les résultats de l’analyse de contenu révèlent que l’expérience de violence vécue par les jeunes mères s’était aggravée en sévérité avec le temps. Ces dernières soulèvent de nombreux facteurs psychosociaux qui influencent la poursuite de telles relations violentes en discutant du rôle de l’isolement, des menaces, de la pénurie des ressources et du cycle de violence. En dernier lieu, les participantes nous ont fait part des services et des soutiens leur ayant été utiles, manquants et limitants. Bref, les jeunes mères discutent de l’importance de la famille, des amis et des divers services communautaires dans leur cheminement vers leur propre sécurité ainsi que celle de leurs enfants. Les services de police et de logement leur ont été grandement utiles, tandis que la protection de l’enfance et les hébergements leur ont occasionné de nombreux obstacles. Les résultats suggèrent aussi le besoin de programmes de prévention de la violence relationnelle dans les écoles, de sensibilisation aux services existants et de recherches futures sur les facteurs impliqués dans la poursuite de ces relations, afin d’atteindre les jeunes qui sont à risque. Cette recherche s’appuie sur le point de vue de nombreux auteurs et études pour rendre compte de l’expérience vécue par les familles lors du placement en institution d’un parent âgé. En toile de fond, les transformations de la famille et les catalyseurs de changements du XXe siècle permettent de situer, dans leur contexte, les familles canadiennes actuelles et la place qu’y occupent les personnes âgées. L’analyse de la littérature sur le placement de parents âgés nous permet de saisir, plus précisément, les difficultés qu’éprouvent les familles confrontées à cette situation rendue aujourd’hui quasi inévitable. Pour les familles, ce processus entraîne de nombreux changements qui s’accompagnent de conséquences parfois positives, parfois négatives. Enfin, des pistes d’intervention pour les professionnels oeuvrant auprès des familles qui vivent la transition vers le placement sont proposées. Si ces derniers possèdent une bonne compréhension des obstacles et défis rencontrés par les familles, ils seront plus aptes à faire en sorte que cette transition de vie soit vécue le plus harmonieusement possible. Tout au long de l’histoire du jeu, on constate que celui-ci fait partie intégrante de la nature humaine. Afin d’étudier ce phénomène, les chercheurs ont mis l’accent, dans leurs enquêtes, sur les adolescents (12-17 ans) ou bien sur les adultes (25ans et plus). Cette recherche exploratoire sur les représentations sociales des jeux de hasard et d’argent, effectuée auprès des cégépiens de l’Outaouais, a pour but de déterminer les fondements représentationnels des pensées erronées qu'ils entretiennent. En nous référant à la théorie des représentations sociales de Moscovici (1987) et à l’approche structurelle proposée par Abric (1994), nous avons utilisé la technique d’évocation de Pierre Vergès (1992) pour faire une analyse de la structure de la représentation des jeux de hasard et d’argent. Notre analyse des données quantitatives, recueillies par questionnaire auprès de 41 étudiants âgés entre 17-19 ans, permet …
Les mémoires de maîtrise en service social à l’Université d’Ottawa[Notice]
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Jenna Baldry
École de service social, Université d’OttawaLouise-Hélène Bourdeau
École de service social, Université d’OttawaPascale Brunet-Simard
École de service social, Université d’OttawaSophie Caron
École de service social, Université d’OttawaMaxine Cléroux
École de service social, Université d’OttawaNicole R. Comtois
École de service social, Université d’OttawaEmmanuelle Cyr
École de service social, Université d’OttawaIsabelle Diotte
École de service social, Université d’OttawaYves Duchesneau
École de service social, Université d’OttawaNadia Fleury
École de service social, Université d’OttawaEve Groleau
École de service social, Université d’OttawaAnnick Guitard
École de service social, Université d’OttawaThony Jean-Baptiste
École de service social, Université d’OttawaAnne Jutras
École de service social, Université d’OttawaJulia Karpinski
École de service social, Université d’OttawaNathalie Lacroix
École de service social, Université d’OttawaJean-Sébastien Larocque
École de service social, Université d’OttawaHélène Lépine
École de service social, Université d’OttawaLaurie-Anne Muldoon
École de service social, Université d’OttawaCéline Nelson
École de service social, Université d’OttawaMichel Poirier
École de service social, Université d’OttawaMarie-Eve Verret
École de service social, Université d’Ottawa