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Parties annexes
Notes
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[1]
The Journal of American Folk-Lore : « Contes populaires canadiens » : 1re série, vol. 29, n˚ 111, janvier–mars 1916, p. 1–154; 2e série, vol. 30, n˚ 115, janvier–mars 1917, p. 1–160; 3e série, vol. 32, n˚ 123, janvier–mars 1919, p. 90–167; 4e série, vol. 36, n˚ 141, juillet–septembre 1923, p. 1–68; 5e série, vol. 39, n˚ 154, octobre–décembre 1926, p. 371–449; 6e série, vol. 44, n˚ 173, juillet–septembre 1931, p. 225–294; 7e série, vol. 53, nos 208–209, avril–septembre 1940, p. 89–162; Journal of American Folklore (titre modifié depuis 1941), 8e série, vol. 63, n˚ 248, avril–juin 1950, p. 199–230.
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[2]
« Anecdotes populaires du Canada », vol. 33, n˚ 129, juillet–septembre 1920, p. 173–297.
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[3]
Jean Du Berger, « Marius Barbeau : le conte et le conteur », dans Études françaises, Montréal, vol. 12, nos 1–2, p. 68.
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[4]
Jean-Pierre Pichette, « “La Sereine de mer” et “Les Bossus” — Marius Barbeau et l’édition des contes populaires », dans les Cahiers Charlevoix 4 – Études franco-ontariennes, Sudbury, Société Charlevoix et Prise de parole, 2000, p. 255–300.
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[5]
Id., p. 478.
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[6]
On sait que Marius Barbeau a utilisé le phonographe pour recueillir les mélodies des chansons, mais, comme nous le signalons plus loin, il l’avait aussi employé dès 1918, quoique de façon exceptionnelle, pour enregistrer quelques récits anecdotiques.
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[7]
Marius Barbeau, « Contes populaires canadiens », dans The Journal of American Folk-Lore, vol. 29, n˚ 111, janvier–mars 1916, p. 3.
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[8]
Clarisse Cardin, « Bio-bibliographie de Marius Barbeau », op. cit., p. 64–65 (La Presse) et p. 70–71 (Le Droit).
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[9]
Marius Barbeau, Grand’mère raconte…, [Montréal], Éditions Beauchemin, [collection « Champlain »], [1935], 103 pages; Il était une fois…, Montréal, Éditions Beauchemin, [1935], 105 pages; Éditions Héritage, « Pour lire avec toi », [1976], 127 pages; Les rêves des chasseurs, Montréal, Éditions Beauchemin, [collection « des Veillées »], 1942 (2e édition en 1945, 3e édition en 1950), 117 pages; Les contes du grand-père Sept-Heures, Montréal, Les Éditions Chantecler, 1950 et 1953, 12 fascicules. Quant aux légendes, il en produira aussi des adaptations littéraires dans un autre recueil : L’arbre des rêves, Montréal, Les Éditions Lumen, collection « Humanitas », [1947], 189 pages, avec illustrations.
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[10]
Cette photo prise vers 1957 a été reproduite sur l’affiche de nos journées d’étude.