Résumés
Abstract
This article uses the photographic examples from a small female college to explore the use of photography as a social practice in late Victorian female colleges. It argues that photographs of students worked as both frames and surfaces: framing the visual details of their daily lives, while simultaneously allowing them a surface on which to fashion self-portraits. The photographs of Hellmuth Ladies’ College demonstrate the multiple arenas of late Victorian educational experience, the idealistic and aesthetic links between female educational institutions in the circum-Atlantic World, and the importance of school photographs to Canada’s photographic history.
Résumé
Dans cet article nous nous intéressons aux exemples de photographies prises dans un pensionnat pour jeunes filles, dans le but d’examiner l’utilisation de la photographie comme pratique sociale dans des institutions semblables à la fin de l’époque victorienne. Les photographies des étudiantes cadraient leur vie quotidienne tout en servant de surface pour des autoportraits. Les exemples provenant de Hellmuth Ladies’ College illustrent les diverses facettes de l’éducation des filles à la fin de l’époque victorienne, dévoilent les liens entre les institutions similaires, et soulignent l’importance des photos scolaires dans la photographie historique canadienne..
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