Résumés
Résumé
Si la culture cellulaire a été et reste le matériel préféré du biologiste cellulaire - essentiellement de par sa facilité d’utilisation - les cellules mises en culture perdent certaines de leurs propriétés : et en acquièrent d’autres. De plus, ces mêmes cellules ne représentent qu’une partie d’un tissu et a fortiori d’un organe, et les résultats obtenus dans des conditions de culture ne peuvent pas être extrapolés à des conditions plus complexes. En conséquence, le chercheur a dû faire appel à des modèles animaux pour résoudre les problèmes qui lui étaient posés, la question devenant celle du choix du modèle. Les principaux systèmes existants sont décrits dans ce texte de façon non exhaustive, sous forme d’exemples, en illustrant leurs apports en biologie cellulaire.
Summary
Mainly because of their easy use, cell culture has been and remains a useful material for cellular biologist. Nevertheless, these cells loose or gain specific properties when they are cultured in vitro. Moreover, they represent only part of tissue and, a fortiori, of organs, so that results obtained in cell culture cannot strictly reflect that exist in more complex conditions. As a consequence, researcher has to use animal models, the question being now the choice of the animal model. In this paper, the main existing models are described and examples were given to illustrate their contribution to cell biology.
Parties annexes
Références
- 1. Jacob F. La souris, la mouche et l’homme. Paris: éditions Odile Jacob, 1997.
- 2. Tyner SD, Venkatachalam S, Choi J, et al. p53 mutant mice that display early ageing-associated phenotypes. Nature 2002; 415: 45-53.
- 3. Deutsch J. La drosophile: des chromosomes aux molécules. Montrouge: John Libbey Eurotext, 1994.
- 4. Fire A, Xu S, Montgomery MK, Kostas SA, Driver SE, Mello CC. Potent and specific genetic interference by double-stranded RNA in Caenorhabditis elegans. Nature 1998; 391: 744-5.