Résumés
Résumé
On ne peut s'étonner que dans un pays qui compte à peine 10 millions d'habitants et possède trois langues officielles, que des difficultés de communication soit préprogrammées. Si les querelles linguistiques sont souvent en témoins de ces incompréhensions, la troisième langue n'est pas souvent mentionnée. Les habitants de cette petite communauté ont fait « de nécessité loi » et se sont zieutés vers le plurilinguisme. La Belgique germanophone n'est cependant pas « l'eldorado » de la traduction. Les droits de 70 000 habitants sont à revendiquer dans la langue de la majorité. Le Belge de l'Est en polyglotte est le mot d'ordre pour la survie et « qualité », seule solution pour faire face à la dégradation.