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On présente deux articles traitant de la rencontre de deux ou de plusieurs langues (textes et cultures) à l'intérieur d'un espace culturel défini. On cite un exemple d'une traduction d'un texte étranger qui est non seulement traduit dans la langue du pays mais également dans le système de valeurs nationales, et ce, sans mention du fait qu'il s'agit d'une traduction.

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On montre qu'il est possible d'appliquer certaines théories de la physique moderne au processus traductionnel. On explique comment les lois de la conservation, la relation d'incertitude, la théorie de la relativité et les formules de Lorentz peuvent s'appliquer à la traduction poétique.

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À l'aide de statistiques produites à partir des données de l'Index Translationum, on brosse un tableau général du volume, de la dynamique et de la structure de la traduction dans le monde. Sont analysés, entre autres, l'importance de l'activité traductionnelle, les principales langues traduites, les thèmes et les auteurs les plus traduits.

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On présente ETAP-2, un système de traduction automatique (anglais-russe), en insistant sur ce qui le différencie des autres systèmes du point de vue linguistique. On expose ensuite quelques échantillons de traductions réalisées avec ETAP-2 puis on évalue la qualité des résultats et la vitesse d'exécution. On explique enfin l'idéologie et la structure qui sous-tendent ETAP-2 en comparant le système avec ETAP-1 (français-russe) et en décrivant chacune des étapes de l'analyse linguistique à laquelle ETAP-2 a recours pour traduire.

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À l'aide de l'étude de certains traits sémantiques telles la résultativité, la l’actualité, la multiplicité, etc., on établit les différences aspectuelles entre le verbe russe à la forme imperfective et à la forme perfective.

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On précise les notions utilisées traditionnellement pour représenter l'ordre des idées dans une phrase ; on étudie ensuite les mécanismes concernés et la manière dont leur analyse permet l'évaluation de l'adéquation d'une traduction.

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On retrace l'histoire de l'interprétation en URSS, de 1928 jusqu'à la fin des années 1970. Les deux principales approches théoriques soviétiques relatives à l'interprétation simultanée sont ensuite présentées. L'article se termine avec des réflexions concernant la possibilité d'intégrer l'ordinateur dans la pratique de l'interprétation.

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On s'intéresse d'abord à ce qui différencie les écoles de traduction et d'interprétation de l'URSS de celles de l'Occident. On présente ensuite des grandes écoles de pensée soviétiques qui se penchent sur la pédagogie de la traduction. Après quoi, les quatre principaux champs d'étude enseignés dans les écoles de traductions en URSS sont traités. Enfin, on discute des difficultés rencontrées par les étudiants et les engeignants de ces écoles avant de proposer quelques solutions.