Corps de l’article
Deux erreurs se sont glissées dans l’article de Moulin et coll. du numéro précédent (89).
À la p. 26, la phrase suivante : « Dès sa création, le BCI mandate Richard Guay, un ancien directeur des études au collège privé Jean-de-Brébeuf, pour concevoir un nouvel instrument » devrait se lire ainsi :
« Dès la création du BCI, le CLES mandate le CGBEC pour se pencher sur les problématiques liées aux paramètres servant à établir le calcul de la CRC. Dans le cadre de ses travaux, le CGBEC a reçu et analysé une étude produite par Richard Guay, ancien directeur des études au collège privé Jean-de-Brébeuf et lui-même membre du CGBEC, nommé par l’Association des collèges privés du Québec, et Martin Riopel, professeur en didactique à l’Université du Québec à Montréal. Cette étude proposait une nouvelle formule de calcul visant à corriger les biais existants. »
À la p. 28, la phrase : « La valeur de la CRC de l’étudiant·e qui appartient à un groupe à l’évaluation parfaitement homogène dépend donc entièrement des autres éléments qui contribuent au calcul de la cote de rendement au collégial, à savoir la force moyenne de son groupe collégial (soit l’« indicateur de la force du groupe ») » devrait se lire ainsi :
« La valeur de la CRC de l’étudiant·e qui appartient à un groupe à l’évaluation parfaitement homogène dépendrait donc entièrement des autres éléments qui contribuent au calcul de la CRC, à savoir la force moyenne de son groupe collégial (soit l’« indicateur de la force du groupe »)[1]. »
Parties annexes
Note
-
[1]
Pour que la CRC des étudiants des groupes parfaitement homogènes ne dépende pas uniquement de la force de groupe, la limite inférieure de l’indicateur de dispersion de groupe (Dg) a été bornée à 0,5.