Résumés
Abstract
This essay reconsiders Freedom’s Debtors through the lens of the three Ferguson Prize panelists’ comments. It frames the arguments of the book in relationship to a growing body of scholarship on the history of Sierra Leone, and in relationship to older problems in the history of British imperial political economy. The essay reasserts two of the core contentions in Freedom’s Debtors: the close, and sometimes unacknowledged, proximity between British slavery and British antislavery, and the centrality of antislavery to British imperial expansion in the nineteenth century.
Résumé
Ce texte jette un nouveau regard sur Freedom’s Debtors dans l’optique des commentaires des trois panélistes du Prix Ferguson. Il situe les arguments du livre par rapport à un ensemble croissant de recherches sur l’histoire de la Sierra Leone, liées aux problèmes plus anciens de l’histoire de l’économie politique impériale britannique. Ce texte réaffirme deux des principaux arguments de Freedom’s Debtors : la proximité, parfois non reconnue, entre l’esclavage britannique et l’antiesclavagisme britannique, et la place centrale de l’antiesclavagisme dans l’expansion impériale britannique au XIXe siècle.