Résumés
Abstract
This article examines the masculine discourse of the Croix de Feu, France’s largest political formation in the late 1930s, against the examples of the republican conservative parties – the Fédération Républicaine, the Alliance Démocratique, and the Parti Démocrate Populaire – as well the Socialist and Communist left. The author argues, based on the François de La Rocque papers, the movement’s newspaper, Le Flambeau, the archives of key political figures, as well as the other parties’ presses, that while the Croix de Feu’s preferred masculinity was similar to that found on the republican right in many regards, the movement, borrowing heavily from the masculinist aesthetic of the far-left, was engaged in the construction of a fascist “new man.” He is Depending on You, therefore, maintains that the Croix de Feu was typically fascist in its masculine discourse, synthesizing social conservatism with a radical élan. Since the Croix de Feu was undeniably popular, with roughly 1,000,000 adherents by the late-1930s, fascism and the fascist new man were by no means marginal phenomena in French politics, culture, and society as some have argued.
Résumé
Cet article examine le discours masculin du Croix de Feu, la plus grande formation politique de la France vers la fin des années 30, contre les exemples des parties conservatrices républicaines – le Fédération Républicaine, l'Alliance Démocratique, et le Parti Démocrate Populaire – ainsi que la gauche socialiste et communiste. Fondé sur les papiers de François de La Rocque, l’auteur discute; le mouvement du journal « Le Flambeau », les archives des figures politiques principales, et aussi la presse des autres parties. Tandis que le Croix de Feu préférait la masculinité, ceci était semblable à l’élément masculin retrouvé en plusieurs regards chez le parti républicain. Le mouvement, empruntant fortement de l’esthétique masculin du loin gauche, était engagé dans la construction d'un « nouvel homme fasciste. » « Il dépend sur vous, » démontre qu’en général, le Croix de Feu était fasciste dans son discours masculin, synthétisant le conservatisme social avec un élan radical. Puisque le Croix de Feu était incontestablement populaire, avec presque 1 000 000 adhérents durant la fin des années 30s, le fascisme et le nouvel homme fasciste n’étaient pas des phénomènes insignifiants dans la politique, la culture, et la société française comme certains ont réclamé.
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