Résumés
Abstract
Drawing from work in progress at a series of somewhat neglected public gardens in Montreal, this article explores what a transhistorical, materialist approach to the intermedial study of public gardens might look like. It focuses on the relationship between a documentary film about the gardens made in 1980 (Bonjours Floralies, Bernard Beaupré), and one of the gardens in the present, as a means to develop a novel point of view on the historical and phenomenological functioning of both.
Résumé
Se basant sur un travail en cours à propos d’une série de jardins publics un peu négligés à Montréal, cet article explore ce à quoi pourrait ressembler une approche transhistorique et matérialiste de l’étude intermédiale des jardins publics. Il se concentre sur les relations entre un film de Bernard Beaupré, Bonjour Floralies, réalisé en 1980 au sujet des jardins, et l’un de ces jardins dans le présent, comme moyen de développer un point de vue nouveau sur le fonctionnement historique et phénoménologique des deux.