Résumés
Résumé
Cet article analyse les moments sémiotiques de la vibration, conçue comme force génératrice de formes. En ce sens, la vibration paraît ramener l’idée de structure au plus près de la matérialité de l’oeuvre puisque, comme l’expliquait Paul Klee, elle en détermine à la fois la disposition topologique et le dynamisme. Elle travaille l’architecture de Peter Eisenman, où une élaboration diagrammatique croise l’expérience d’un mouvement confondant ou blurring. Compte tenu de la difficulté de réduire la morphologie produite par vibration à la trace ou à l’empreinte, ce phénomène peut être compris par rapport à la question de l’intelligibilité du sensible.
Veuillez télécharger l’article en PDF pour le lire.
Télécharger