Résumés
Abstract
The second wave of smart cities emerged in response to criticism of the top-down methods used to manage early smart cities, and promised a new, ‘citizen-centric’ approach. To understand the application of this approach in the smart city planning process there is a need for further empirical research. This paper offers a case study of the participatory planning process used in Quayside, a smart city planning effort in Toronto (Canada). Through semi-structured interviews (N=35), participant observation, and document analysis, this research finds that although Quayside included a lengthy engagement program, citizen influence was limited. This is a result of a lack of participation in initial project visioning, and the direction of the subsequent citizen engagement process by a private technology company, enabled through a public-private partnership. Based on these findings, I argue that a smart city planning process cannot be citizen-centric if citizens are unable to determine project goals. I also suggest that privately-directed engagement processes can amplify the power discrepancies that are well studied within government-directed processes and introduce new accountability challenges.
Keywords:
- participatory planning,
- public engagement,
- public-private partnership,
- smart cities
Résumé
La deuxième vague de villes intelligentes a émergé en réaction aux critiques de méthodes descendantes utilisées afin de gérer les premières villes intelligentes et a promis une nouvelle approche axée sur le citoyen. Afin de comprendre l’application de cette approche dans le processus d’aménagement de villes intelligentes, plus de recherche empirique est requise. Ce manuscrit offre une étude de cas sur le processus d’aménagement participatif utilisé à Quayside, un effort d’aménagement de ville intelligente à Toronto (Canada). Par l’entremise d’entrevues semi-structurées (N=35), d’observation de participants et d’une analyse de documents, cette recherche a révélé que bien Quayside a inclus un long programme d’engagement, l’influence des citoyens était limitée. Cela est le résultat d’un manque de participation dans la vision initiale du projet, ainsi que la réalisation du processus d’engagement citoyen subséquent par une compagnie de technologie privée, fait possible par un partenariat public-privé. Basé sur ces résultats, je soutiens qu’un processus d’aménagement d’une ville intelligente ne peut pas être axé sur le citoyen si les citoyens ne sont pas en mesure de déterminer les buts du projet. Je suggère également que les processus d’engagement dirigés à titre privé peuvent amplifier les inégalités de pouvoir qui sont bien étudiées dans les processus dirigés par le gouvernement et peuvent introduire de nouveaux défis de responsabilisation.
Mots-clés :
- aménagement participatif,
- engagement citoyen,
- partenariat public-privé,
- ville intelligente
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