Résumés
Abstract
This case study explores the experiences of nine female-identifying feminist public educators working with Ontario, Canada, sexual assault centres who regularly facilitate discussions about sexual consent and gender-based sexual violence in schools, post-secondary institutions, and community workshops. The educators discuss their experiences of adaptation and “inoculations” for inspiring transformative learning in their audiences, and the ways in which their practice and person have been transformed through their profession. With a focus on the relationships between intersectional feminist pedagogy, social justice education, transformative learning, and public pedagogy, the educators describe their resilience from trauma, critical thinking, and self-reflective practice, highlighting the benefits of co-facilitation, debriefing with colleagues, and mentorship.
Résumé
Cette étude de cas explore les expériences de neuf éducatrices communautaires féministes s’identifiant comme femmes qui travaillent dans des centres d’aide aux victimes de violence sexuelle en Ontario (Canada) et qui animent régulièrement des discussions sur le consentement sexuel et la violence fondée sur le genre dans les écoles, les établissements postsecondaires et les ateliers communautaires. Les éducatrices partagent leurs expériences d’adaptation et d’« inoculations » pour inspirer l’apprentissage transformateur chez leurs auditoires et les manières dont leurs pratiques et leur personne ont changées grâce à cette profession. En se focalisant sur les liens entre la pédagogie féministe intersectionnelle, l’éducation à la justice sociale, l’apprentissage transformateur et la pédagogie sociale, les éducatrices décrivent leur résilience aux traumatismes, leur pensée critique et leurs pratiques auto-réflexives en soulignant les bienfaits de la co‑animation, du débreffage avec les collègues et du mentorat.
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