Résumés
Abstract
The mental health of Canadian university students is fairly well researched, but there is relatively little evidence concerning the mental health of Canadian university student-athletes. Recent research in the United States and Canada has suggested that mental health (e.g., anxiety and depression) differs between student-athletes and student non-athletes. However, the results are ambivalent as to whether student-athletes experience more or less psychological distress than their non-athlete peers. To address this gap, the purpose of the current study was to measure the levels of psychological distress in a national sample of 284 university student-athletes. Each athlete completed the Kessler Psychological Distress Scale (K6; Kessler et al., 2002) via a secure online platform. The average score on the K6 for student-athletes was 8.2 out of 24; 19.8% of the sample surpassed the cut-off for assessing the prevalence of severe mental illness. A regression analysis found that gender, starting status, and scholarship status significantly predicted levels of psychological distress. Females, non-starters, and student-athletes without a scholarship were associated with increases in K6 scores.
Résumé
La santé mentale des étudiants postsecondaires canadiens fait l’objet de beaucoup de recherches, mais il existe relativement peu de preuves entourant la santé mentale des étudiants-athlètes postsecondaires canadiens. La recherche récente aux États-Unis et au Canada suggère que la santé mentale (par exemple, l’anxiété et la dépression) varie entre étudiants-athlètes et non-athlète étudiants. Cependant, les résultats sont ambivalents à savoir si les étudiants-athlètes éprouvent plus ou moins de détresse mentale que les pairs non-athlètes. Pour combler cette lacune dans la recherche, la présente étude vise à déterminer les niveaux de détresse mentale dans un échantillon pancanadien de 284 étudiants-athlètes postsecondaires. Chaque athlète a été évalué selon le Kessler Psychological Distress Scale (K6; Kessler et al., 2002) par l’entremise d’une plateforme en ligne sécurisée. Le résultat moyen chez le K6 pour les étudiants-athlètes était de 8,2 sur 24; 19,8% de l’échantillon a dépassé le seuil d’évaluation de la prévalence de la maladie mentale grave. Une analyse de régression a révélé que le sexe, le fait d’être de ceux qui commencent le match, de même que le statut de boursier, prédisent de manière significative les niveaux de détresse mentale. Les femmes, ceux qui ne commencent pas le match, et les étudiants-athlètes sans bourse ont obtenu des scores K6 plus élevés.