Résumés
Abstract
Despite substantial scholarship relating to word structure (Anderson, 2018), for English affixes the relationship between productivity, genre, and second language (L2) learning remains unclear. Analysis of the existing literature reveals that deadjectival noun suffixes (i.e., nouns derived from adjectives such as appropriacy or goodness) have been underexamined. To address this gap, we examine two rival suffixes, -acy and -ness, through the lens of Construction Morphology (Booij, 2010), considering numerous factors which might condition their varying usage. Critically, corpus data in the Corpus of Contemporary American English and the British National Corpus (Davies, 2008-) reveal the importance of considering these affixes’ productivity in relation to genre, since -acy is especially frequent in academic texts, principally within certain social sciences. The implications for learners and teachers of English as a second language are discussed, particularly higher-level learners building communicative competence in academic contexts, along with a preliminary learner corpus comparison of the two variants.
Résumé
Malgré de nombreuses études vis-à-vis la structure des mots (Anderson, 2018), pour les affixes en anglais ; la relation entre productivité, genre et l’apprentissage d’une langue seconde (L2) reste floue. L’analyse documentaire met en évidence que les suffixes formant des noms désadjectivaux (i.e., des noms dérivés des adjectifs tels que appropriacy ou goodness) sont sous-étudiés. Pour combler cette lacune, l’on examine deux suffixes concurrents, -acy and -ness, du point de vue de la Morphologie Constructionnelle (Booij, 2010), tout en considérant de nombreux facteurs susceptibles de conditionner leur utilisation variable. Essentiellement, les données du Corpus of Contemporary American English et du British National Corpus (Davies, 2008-) font ressortir l’importance de considérer la productivité de ces affixes par rapport au genre, du fait que -acy est particulièrement fréquent dans des textes académiques, principalement dans certaines sciences sociales. L’on présente finalement une discussion des implications pour les enseignants ainsi que les apprenants d’anglais langue seconde, notamment ceux de niveau supérieur développant leur compétence de communication dans des contextes académiques, accompagné d’une comparaison préliminaire de deux variantes par le biais des corpus
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