Résumés
Abstract
Who Framed Roger Rabbit? (Zemeckis, 1988) beats the traces of postmodernity. Behind this simple animation film and its spectacular technology, behind these drawings of a cute little alcoholic rabbit anxious about the intentions of his voluptuous wife, lurks an "epistemological rupture." The author demonstrates how the film is caught up in a game of boundaries, conventions and genres transgressed, in multiple folds of codes looping back on themselves, in reiterations of ironic quotes. He shows how Roger Rabbit might be considered an obsolete figure transformed into a postmodern hero.
Résumé
Who Framed Roger Rabbit? (Zemeckis, 1988) est marqué des traces de la postmodernité. Sous les travestissements d’un simple film d’animation au déploiement technologique spectaculaire, sous le dessin d’un gentil petit lapin alcoolique et inquiet des intentions de sa femme plantureuse se cache « une rupture épistémologique ». L’auteur démontre à quel point le film est emporté dans le jeu effréné de la transgression des frontières, des conventions et des genres, dans les plis multiples des dédoublements des codes, dans la dissémination des citations ironiques. Il montre en quoi Roger Rabbit pourrait être une figure obsolète transformée en héros postmoderne.
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