Résumés
Abstract
Three case study cities were chosen from a number of urban flood events that were identified through local newspapers. Peterborough, Sarnia and Ottawa all experienced urban floods in the same year and are all located southern Ontario. Cursory review of the three events indicates that there may be different causal factors that influenced the urban floods. They were chosen to be case study cities because they fall in one region of Canada, are in the same climate zone and the flood events, though similar, appeared to be the result of different features of the urban setting. Precipitation data for each case study city was gathered, and the regional climate data was reviewed. Intensity, duration and frequency tables were considered for these cities but only maximum rainfall for 15 minutes, one hour and 24 hours were compared.
Land use change maps in the areas surrounding the flood events were developed over a minimum of 20 years for each city. Approximately 1km2 was measured around the flooded area and compared over time. The change from permeable to impermeable land cover was considered as a mechanism for increased flooding.
The sewage systems were also examined to determine if they could be a cause for urban flooding in these cities.
Résumé
Dans le cadre d’une étude de cas, trois villes ont été choisies à partir d’un échantillonnage d’événements liés à l’inondation et qui tous ont été rapportés dans les journaux locaux. Les villes de Peterborough, Sarnia et Ottawa ont toutes eu à subir l’expérience d’inondations urbaines au cours d’une même année et dans le même secteur géographique, à savoir le sud de l’Ontario. Une revue sommaire de ces trois événements démontre qu’il peut exister différents facteurs causals pouvant influencer les inondations urbaines. Les villes furent choisies comme cibles de l’étude de cas à cause de leur localisation dans une même région du Canada, de leur localisation dans la même zone climatique et du fait que les événements à l’origine de chaque inondation, quoique similaires, semblent être le résultat de particularités distinctes de l’infrastructure urbaine. On colligea les données de précipitation pour chaque cité cible et on révisa les données régionales climatiques. On prit en compte, dans chaque cas, les éléments relatifs à l’intensité, à la durée et à la fréquence, mais on compara uniquement les averses maxima de pluie de plus de 15 minutes, de plus d’une heure et de plus de 24 heures.
On a mis au point, sur une période minimum de 20 ans pour chaque cité, des cartes sur les changements d’utilisation de terrains environnant les inondations. On mesura approximativement 1 kilomètre carré autour de la zone inondée, et les résultats furent comparés sur différentes périodes. Le changement du col, d’un couvert perméable à imperméable, fut considéré comme un mécanisme propre à augmenter les inondations.
On examina aussi les systèmes d’égoût en vue de déterminer s’ils ont été un facteur causal d’inondation urbaine dans les villes ciblées.
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