FR :

Dans cette conférence prononcée devant les membres de la Canadian Institute of Actuaries, le 11 novembre 1982, M. Humphrys étudie avec beaucoup de clairvoyance les problèmes de l’industrie de l’assurance. Pendant longtemps, il a été le surintendant chargé de contrôler les aspects les plus divers de l’assurance-vie et des assurances en général. Dans ce texte, il présente les difficultés actuelles et il laisse entrevoir certaines décisions qui seraient éventuellement prises pour donner aux assureurs une plus grande sécurité dans leurs opérations. M. Humphrys s’attaque au problème avec la plus grande simplicité. Aussi, sommes-nous certains que nos lecteurs y trouveront le même intérêt que nous. Voici un seul exemple de la justesse de ses vues : « En assurance autre que vie, la réserve pour sinistres en cours de règlement est à la base même de l’entreprise. On a beaucoup écrit sur le sujet, mais on n’a pas encore trouvé une technique suffisante pour donner l’exactitude nécessaire à cette provision essentielle de l’assurance autre que vie ». Venant d’un ex-surintendant des Assurances, l’admission est à la fois importante et bien caractéristique de l’homme prudent et renseigné qu’est M. Humphrys. A.

EN :

The writer's comments seem to us to be worthy of interest because they describe a material with many uses which is found throughout Canada. We believe that most of our readers will be unaware of its origin and its characteristics. We believe they will be interested to learn more, by reading this excellent article by Mr. Jacques Lavigueur.

EN :

The author looks at the Association from various angles: the law which governs it, its objectives and powers, how it operates. The reader will thus be able to appreciate the useful function of an association which serves both the interests of the public and of its members. The article also draws attention to the code of conduct which should guide a broker, and give credibility to basic insurance functions.

FR :

M. Jacques Caya étudie, dans l’article qu’on va lire, les conditions posées aux sociétés étrangères, y compris les britanniques, pour faire des affaires d’assurance au Canada. II nous fait observer que certaines modifications devront être apportées à son texte au fur et à mesure que le gouvernement fédéral apportera à la Loi les changements qu’il projette. Comme il s’écoulera sans doute un long moment entre le dépôt du projet de Loi et sa signature par le gouverneur général, nous avons pensé que nous pouvions faire paraître son texte, quitte à le modifier dans les numéros à venir, au fur et à mesure que s’appliqueront les exigences nouvelles. A.

FR :

Il y a un peu moins d’un siècle, deux hommes jouaient à la Bourse de Montréal un rôle important. Le premier s’appelait L.-J. Forget et le second, Rodolphe Forget. Ce dernier était le neveu du premier qui, par la suite, est devenu sénateur, tandis que le second, plusieurs années après, devenait sir Rodolphe Forget, à une époque où l’Angleterre se gagnait des amitiés en décernant des titres nobiliaires reportables ou non sur leurs héritiers. Si nous rappelons le souvenir de ces deux hommes, c’est, encore une fois, qu’ils ont eu une importance considérable à l’époque de leur maturité. Réunis, ils étaient une force à la Bourse de Montréal qui, à cette époque, était la grande autorité en matière de jeux boursiers. Pendant plusieurs années, tous deux ont été également au centre d’un mouvement de concentration d’entreprises qui devait donner la Compagnie Richelieu, devenue par la suite Canada Steamships, la Compagnie des Tramways, etc. À comparer avec les fusions actuelles, il s’agissait de bien petites entreprises. D’un autre côté, l’idée était la même, à savoir concentrer en un même groupe, les entreprises de petite taille pour leur permettre de faire face à des situations nouvelles dans notre pays, tout au moins, car aux États-Unis naissaient à peu près vers la même époque ces mastodontes dirigées par les Morgan, les Rockefeller, les Carnegie. Le lecteur nous saura gré, croyons-nous, de lui rappeler les souvenirs aussi intéressants et vivants que sont les notes de Mme Francoeur.

FR :

La population canadienne constitue à la fois notre principale ressource et notre plus important marché. Les besoins des consommateurs déterminent en définitive la demande pour la majorité des produits et des services. En vue de planifier des stratégies efficaces à l’égard des marchés à venir, les hommes d’affaires et les gouvernements doivent être au fait des déplacements démographiques et comprendre les répercussions de l’évolution du mode de vie sur les marchés.

EN :

ln July 1980, Assurances published two articles on political risks insurance, one of which appeared in the research and development section. The present article reviews the various publications on this question and provides a list of articles on the subject appearing from 1980 to 1982. Those with an asterisk have been used in the preparation of the present article.

EN :

Once again, lawyers Alain Létourneau and Rémi Moreau provide contributions; the former discusses the condition of average referred to in article 2488 of the Civil Code, while the latter comments on the settlement of automobile claims. On the condition of average, M^e Létourneau looks at an important legal decision which takes into account traditional iegal ideas as well as new tendencies. Regarding automobile insurance claims settlement, M^e Moreau briefly describes the contractual application of the Quebec automobile insurance policy.