Résumés
Résumé
Si l’informatique donne lieu à un nombre et à une variété considérable de renseignements individuels, elle présente un dangereux caractère de non-confidentialité, tant que certaines mesures n’ont pas été prises, soit par les pouvoirs publics, soit par les individus eux-mêmes. C’est la conclusion à laquelle est arrivée récemment la Commission d’étude sur l’accès du citoyen à l’information gouvernementale, d’une part, et sur la protection des renseignements personnels, de l’autre.
La question a une très grande importance. Aussi, avons-nous pensé extraire « d’Information et Liberté » – titre du rapport de la Commission – sa conclusion sur la nécessité de protéger l’individu, ainsi que les mesures législatives qu’elle propose. Les voici, tirées d’un long texte, dont nous avons volontairement écarté certains renseignements intéressants et d’autres aspects de l’étude conduite par la Commission, dont le rapport porte le nom de son président, M. Jean Paré.
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