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Avant de présenter ces quelques commentaires sur le contrôle des assurances privées au Québec et sur les plus récents amendements apportés à la loi sur les assurances, il convient, dans un premier temps, de remercier les responsables de la « Revue Assurances » pour l’occasion qui nous est fournie, d’informer le lecteur sur ce que l’on pourrait qualifier « d’évolution » dans un secteur considéré par plusieurs comme conservateur. Il apparaît également important de rappeler en préambule la mission fondamentale du service des Assurances, afin de familiariser le lecteur avec cette unité administrative qui est, en définitive, responsable de l’application de la loi sur les assurances.

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Comme suite à une très intéressante étude sur la nouvelle loi fédérale des assurances, parue dans le numéro de janvier 1978 de notre Revue, M. Colin E. Jack a bien voulu faire une recherche spéciale permettant de voir la portée des dispositions nouvelles sur l’actif, le passif, les placements et le calcul de la valeur mathématique d’une douzaine de sociétés d’assurances sur la vie d’allégeance fédérale. C’est son travail que nous donnons ici. Nous l’en remercions. G.P.

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M. Christopher J. Robey étudie pour nos lecteurs les résultats de l’année 1978 en assurance autre que vie. Il le fait avec le souci du détail et la précision qui lui sont ordinaires. À nouveau, nous le remercions de sa collaboration. G.P.