FR :
Voici la deuxième partie des travaux présentés au dernier Rendez-vous de Septembre. Nous soumettons cette étude à nos lecteurs qui y trouveront matière à réflexion. M. Mayes est, en effet, très bien placé pour voir ce qui se passe dans le milieu des assurances aux États-Unis. Il assiste à l’essor assez extraordinaire des compagnies captives, ces belles esclaves, avons-nous dit, dans notre dernier numéro, en empruntant le mot à Jean de la Varende, qui l’appliquait, il est vrai, à bien d’autres choses. M. Mayes ne peut et ne veut pas s’opposer à l’expansion des sociétés captives. Il en voit les inconvénients et, parfois, les graves défauts. Ce n’est pas une mise en garde qu’il nous présente, mais une étude assez approfondie du problème que pose la dernière née d’une famille nombreuse. A.