FR :
Dans ce texte, M. Jean-Paul de Grandpré développe un thème qui nous est cher : celui de la traduction bien faite. Nous sommes heureux qu’il y revienne et surtout qu’il apporte des précisions. Il ne faut pas craindre de mettre de côté des mots inexacts, même si on les emploie constamment. Aux États-Unis, on n’hésite pas, en ce moment, à repenser toute la terminologie de l’assurance et à remplacer des expressions par de nouvelles mieux adaptées aux besoins de la technique. Nous devrions suivre cet exemple. C’est cet effort que fait M. de Grandpré. Nous l’en félicitons et nous exprimons le voeu qu’on l’appuie en haut lieu et qu’on n’hésite pas dans le domaine de l’assurance sur la vie à faire ce que, grâce à la Canadian Underwriters’ Association et à M. François Vézina, on a accompli dans l’assurance contre l’incendie. Il faut, en effet, débarrasser la langue technique de tout ce qui en fait un affreux jargon. G.P.