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Le régime de la communauté de biens est critiqué par certains, loué par d’autres qui, fréquemment, l’évitent soigneusement pour eux et leurs proches et ne le conseillent pas à leurs clients. S’il est décrié, il existe dans la province de Québec, où il rend des services incontestables à la classe agricole en général. À ce titre il est intéressant, pour nous assureurs, de l’étudier dans ses relations avec l’assurance en particulier. Déjà nous avons présenté à nos lecteurs un premier article sur le sujet par notre regretté collaborateur Me Roch Brunet, qui traita des régimes matrimoniaux en général. C’est avec plaisir que nous leurs apportons aujourd’hui le texte d’une conférence prononcée en anglais par Me René Morin, vice-président du Trust Général du Canada, devant les membres d’une association d’assureurs de Montréal le 2 février 1918. Nos lecteurs liront avec intérêt cette excellente étude où M. Morin étudie avec beaucoup de compétence une question complexe dont bien des éléments sont épars. – A.

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Nous donnons ici la première partie d’une étude de M. André G. Leroux sur les rapports faits chaque année au surintendant des assurances du gouvernement d’Ottawa par les assureurs-vie. Les chiffres et les tableaux de ces rapports sont la base du gros volume que le surintendant des assurances remet au gouvernement chaque année et qui donne sur les affaires d’assurances au Canada des aperçus précis. Ces données permettent également au surintendant d’exercer la surveillance d’ensemble que la loi lui confie. – A