Résumés
Résumé
Cet article présente la situation de la Finance au seing des grandes universités québécoises et canadiennes en fonction de la contribution scientifique des professeurs de finance mesurée par le nombre de citations que reçoivent les publications. Nous avons concentré notre classement aux études publiées depuis 2000 dans des revues scientifiques et professionnelles arbitrées. Nous trouvons que les universités canadiennes peuvent être classées en trois catégories. Dans la première catégorie, nous retrouvons seule l’Université de Toronto. Cette université est de loin la plus productive et la plus prestigieuse des universités canadiennes en finance. Suivent ensuite dans la deuxième catégorie cinq autres grandes universités, soit McGill, Alberta, York, UBC et HEC Montréal, qui se concurrencent pour le second rang. Toutes les autres universités canadiennes se retrouvent dans la troisième catégorie puisque leur production scientifique en finance est largement en deça de la contribution scientifique des six universités canadiennes originales en finance qui composent les deux premières catégories.
Abstract
In this article we examine the state of the financial profession in the top Canadian universities based on the scientific contribution of faculty members as measured by the number of citations their publications receive. We concentrate our analysis on articles published since 2000 in refereed scientific and professional outlets. We find that Canadian universities can be classified in three groups depending on their output. In the first group, by itself, we find the Rotman School of the University of Toronto. McGill, HEC Montréal, UBC, York and Alberta compose the second group. All other universities are found in the third group since their research production in finance in significantly lower than what we find in what I call the six original Canadian universities in finance.
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