Documents repérés

  1. 1.

    Thèse déposée à Concordia University

    1981

  2. 3.

    Thèse déposée à McGill University

    1951

  3. 5.

    Article publié dans Urban History Review (savante, fonds Érudit)

    Volume 18, Numéro 3, 1990

    Année de diffusion : 2013

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    L'auteur s'intéresse à la participation de la petite communauté juive de Montréal au développement économique de la ville durant les années 1840-1870. Essentiellement basée sur les dossiers de crédit de la maison R. G. Dun & Co., l'étude montre que les Juifs exerçaient surtout leur activité dans le commerce de détail (bijouterie, articles de fantaisie, tabac, mercerie) et la fabrication de vêtements. La plupart étaient de petits commerçants. Figures souvent éphémères de l'univers des affaires, ils résistaient mal aux fluctuations de la conjoncture ou manquaient de savoir-faire, de capital voire d'honnêteté. Leur identité de juif n'était jamais passée sous silence, mais leur solvabilité semble avoir été évaluée aussi objectivement que celle des non-Juifs. Rien n'indique que l'antisémitisme qui affleure dans les dossiers consultés ait nui de façon notable à leur liberté d'action ou à leur succès. Les hommes d'affaires juifs de l'époque avaient tendance à s'en tenir à des activités qu'ils connaissaient avant d'immigrer; souvent ils avaient emporté des stocks dans leurs bagages. Ils se prêtaient de l'argent à l'intérieur du cercle de famille, dont ils ne sortaient guère. Si la plupart se sont fait une existence modeste, quelques fabricants de produits du tabac et de vêtements sont sortis du lot.

  4. 6.

    Compte rendu publié dans Renaissance and Reformation (savante, fonds Érudit)

    Volume 43, Numéro 1, 2020

    Année de diffusion : 2020

  5. 7.

    Thèse déposée à McGill University

    1947

  6. 8.

    Article publié dans Ontario History (savante, fonds Érudit)

    Volume 99, Numéro 2, 2007

    Année de diffusion : 2019

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    L'évêque Isaac Hellmuth est incontestablement le père fondateur de l'Université Western Ontario, et son dévouement au christianisme est célébré comme une partie intégrale de la riche histoire de cette université. Et pourtant, Hellmuth était né Juif. Les sources anglicanes et évangéliques ont traité son judaïsme et sa conversion au christianisme en 1841 de différentes manières. Dans cet article on réexaminera la conversion et la carrière d'Hellmuth d'une perspective juive, mettant en évidence l'existence d'un mouvement missionnaire chrétien dans lequel Hellmuth oeuvrait aussi bien en tant qu'apostat éventuel qu'en tant qu'émissaire de longue date. La conversion d'Hellmuth a été décrite comme une expérience uniquement religieuse; mais, dans le contexte d'anti-sémitisme européen, elle aurait pu être aussi partiellement motivée par un désir de position sociale et de richesse. La conversion d'Hellmuth lui a certes rapporté de nombreuses récompenses; mais à London, Ontario, il n'a cependant jamais réussi à se dérober complètement à son passé juif.

  7. 10.

    Article publié dans Séquences (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 216, 2001

    Année de diffusion : 2010