Documents repérés

  1. 1.

    Article publié dans Liberté (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 32, Numéro 5, 1990

    Année de diffusion : 2010

  2. 2.

    Article publié dans Études littéraires (savante, fonds Érudit)

    Volume 28, Numéro 3, 1996

    Année de diffusion : 2005

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    Éva Le Grand, Kundera ou la Mémoire du désir.

  3. 4.

    Article publié dans Ethnologies (savante, fonds Érudit)

    Volume 44, Numéro 1, 2022

    Année de diffusion : 2023

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    En référence à la réflexion sur l'exil proposée par Edward Saïd et Tzvetan Todorov, nous nous concentrons sur l'ambivalence et le paradoxe de l'exil dans l'écriture de Milan Kundera : les rapports ambigus et compliqués entre l'exil et l'écriture, et les thèmes conjoints tels que la patrie, l'identité, la langue dans ses essais comme dans ses romans. L'exil est perçu comme souffrance et comme champ de fécondité pour l'écrivain tiraillé entre deux patries, deux cultures et deux langues. Correspondant au nomadisme, au pluralisme et à l'esprit d'aventure de l'écrivain, l'exil se transforme ainsi en point positif. Si l'exil soulève inévitablement la question identitaire en lien avec les langues, la patrie, le passé et la mémoire, il métaphorise aussi le destin humain moderne caractérisé par le déracinement et l'instabilité. Sous l'ambiguïté identitaire, l'homme se met à la recherche du vrai chez-soi qu'est l'art, la patrie littéraire. L'écriture de l'exil représente une expression des angoisses identitaires devant les mutations, mais aussi le besoin de dépassement. Correspondant à l'aspiration de l'écrivain à la liberté et à l'éternité en créant des oeuvres résistant à la force du temps, l'art devient la patrie, la littérature, un vrai chez-soi. L'ambivalance de l'exil est un reflet du paradoxe de l'homme qui connaît une reconstruction identitaire, culturelle et axiologique perpétuellement renouvelée. L'écriture de l'exil est un reflet de son parcours visant à trouver le point d'équilibre d'une existence entre la fluidité et l'immutabilité, entre la déconstruction et la reconstruction.

  4. 5.

    Gibeault, Stéphan

    Kundera : peintre d'espoir

    Article publié dans Spirale (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 204, 2005

    Année de diffusion : 2010

  5. 6.

    Article publié dans Eurostudia (savante, fonds Érudit)

    Volume 9, Numéro 1, 2014

    Année de diffusion : 2014

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    À partir d'un exemple tiré de l'oeuvre du romancier contemporain Milan Kundera, je tente dans ce bref essai de délinéer une qualité de la sociologie et du travail de sociologue. Si je choisis ce romancier, c'est en raison d'une expérimentation à laquelle il se livre : il met en scène un personnage que j'affectionne particulièrement, Monsieur Engelbert. Cet « ego expérimental » m'accompagne dans mon enseignement et c'est avec lui que je pense les contours d'une perspective sociologique. Je suis également attentive à son contexte, le premier quart du 20e siècle en Europe centrale, et réfléchis à la forme que Kundera lui fait emprunter : l'autobiographie.

  6. 7.

    Bolduc, René

    Trouver Kundera

    Article publié dans Nuit blanche, magazine littéraire (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 172, 2023

    Année de diffusion : 2023

  7. 8.

    Daunais, Isabelle

    Le temps de la mémoire

    Article publié dans Liberté (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 38, Numéro 1, 1996

    Année de diffusion : 2010

  8. 9.

    Ricard, François

    Présentation

    Article publié dans Liberté (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 23, Numéro 3, 1981

    Année de diffusion : 2010

  9. 10.

    Article publié dans Études françaises (savante, fonds Érudit)

    Volume 47, Numéro 2, 2011

    Année de diffusion : 2011

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    L'art du roman de Milan Kundera considère Cervantès, Richardson, Diderot, Balzac et plusieurs romanciers du xxe siècle comme de grands novateurs qui ont donné au roman sa forme moderne. En suivant l'argument de Kundera, l'article examine deux genres d'ironie romanesque. Un d'entre eux, visible dans Jacques le fataliste de Diderot, souligne l'impossibilité des personnages de contrôler leur destin. L'autre examine les idéaux poursuivis par les protagonistes et insiste sur leur incapacité de les atteindre. Le destin de Lucien Rubempré dans Illusions perdues de Balzac en fournit un exemple. Le deuxième type d'ironie domine l'oeuvre de Flaubert et, au xxe siècle, acquiert une importance particulière chez Proust, Joyce et Thomas Mann.