Abstracts
Résumé
La première partie de ce document évoque brièvement quelques-unes des pistes de réflexion dégagées au cours de l’établissement d’un inventaire des textes de l’écrivaine Gabrielle Roy parus dans des anthologies de langue française et anglaise. L’inventaire lui-même est complété par des graphiques illustrant, au fil des ans, les « fortunes » anthologiques des textes les plus importants de Roy. Une bibliographie des oeuvres de la romancière et de leurs traductions anglaises vient clore le document.
Abstract
The first part of this document briefly evokes some of the areas of reflection that emerged in the course of the project whose outcome is here described: establishing an inventory of texts by Gabrielle Roy in French—and English—language anthologies. The inventory itself follows the introduction and is completed by graphs showing the anthological “fortunes” of Roy’s most important texts over the years. The document ends with a bibliography of the novelist’s works in the original French and in English translation.
Resumen
La primera parte de este documento evoca brevemente algunas de las pistas de reflexión extraídas durante la labor de repertoriado cuyos resultados se presentan aquí, esto es, un inventario de los textos de la escritora Gabrielle Roy publicados en antologías en lengua francesa e inglesa. El mismo inventario sigue a la introducción y se complementa con gráficas que ilustran las ‘fortunas’ antológicas, a lo largo de los años, de los textos más importantes de Roy. Una bibliografía de las obras de la novelista y sus traducciones al inglés viene a clausurar el documento.
Article body
Faire la topographie du paysage anthologique régien, voilà l’une des ambitions principales du projet de recherche [1] qui a donné lieu au présent document ; l’inventaire qui constitue sa deuxième partie en est l’une des premières réalisations [2]. Ne prétendant aucunement à l’exhaustivité, il permet néanmoins de déterminer, de manière provisoire, les grandes tendances, les moments forts de l’évolution des « fortunes anthologiques » de l’oeuvre de Gabrielle Roy au fil des ans et, ce faisant, de lire, en creux, l’histoire des préoccupations esthétiques, éthiques et idéologiques des différentes composantes des institutions littéraires francophones et anglophones.
Gabrielle Roy fait partie d’une communauté littéraire, d’un espace collectif de textes et d’auteurs qui se trouvent réunis dans un milieu construit par l’anthologiste. Produit d’attentes et de contraintes qui agissent sur tout le processus de sélection, ce milieu, par la présence qu’il donne à certains extraits et par les absences qu’il signale en en excluant d’autres, révèle les préférences qui conditionnent ou orientent le projet de l’anthologiste (et des autres agents impliqués dans le processus). L’exemple de Roy illustre ce processus d’inclusion et d’exclusion et suggère, entre autres choses, qu’il est sensible aux enjeux identitaires et socioculturels globaux. En effet, le choix des oeuvres à exploiter, le contenu des notices et jusqu’aux modifications apportées aux textes retenus peuvent être éclairants à cet égard. Les commentaires qui suivent ont pour but d’esquisser quelques-unes des nombreuses pistes de recherche qu’a ouvertes le projet de constitution de cet inventaire.
Le corpus
Pour ce qui est du corpus francophone, nous avons repéré jusqu’ici 39 anthologies publiées entre 1946 et 2007 dans lesquelles figurent 69 extraits provenant de l’oeuvre de Gabrielle Roy. Les romans Bonheur d’occasion et Rue Deschambault fournissent le plus grand nombre d’extraits (respectivement 29 extraits sur 69 ou 42 %, et 10 extraits sur 69 ou 14,5 %). Le taux de citation pour ses autres textes est plus modeste : Ces enfants de ma vie fournit 7 extraits, Alexandre Chenevert et La montagne secrète en fournissent 4 chacun, La Petite Poule d’Eau et La route d’Altamont trouvent tous deux faveur auprès de 3 anthologistes alors qu’Un jardin au bout du monde et Fragiles lumières de la terre ne seront cités que 2 fois. Des autres textes de Roy publiés de son vivant, la plupart ont été exploités au moins une fois. Les anthologistes ont également puisé dans ses oeuvres posthumes (La détresse et l’enchantement, notamment, fournit 4 extraits) [3].
Sur un total de 56 anthologies de langue anglaise publiées entre 1946 et 2007, nous avons relevé 60 extraits provenant de l’oeuvre de Gabrielle Roy. La traduction de Rue Deschambault occupe une place privilégiée (15 extraits sur 60 ou 25 %) dans ces anthologies, suivie par celles de La Petite Poule d’Eau et de La route d’Altamont (chacune fournit 9 extraits sur 60 ou 14,3 %) et de Bonheur d’occasion (7 extraits sur 60 ou 11,7 %). Ont moins la cote chez les anthologistes les versions anglaises de Cet été qui chantait (4 extraits), « Les satellites » et Un jardin au bout du monde (3 extraits chacun), La montagne secrète, « Le fauteuil roulant », Ces enfants de ma vie, Fragiles lumières de la terre et « Ély ! Ély ! Ély ! » (2 extraits chacun), ainsi que Alexandre Chenevert, « Grand-mère et la poupée » et La détresse et l’enchantement (un extrait chacun).
Nous avons trouvé en outre 12 magazines, journaux et revues de langue anglaise dans lesquels figurent des extraits de La rivière sans repos, Rue Deschambault et d’autres textes [4]. Des extraits en langues étrangères [5] ont paru dans 16 anthologies ; il semblerait que Rue Deschambault soit le plus traduit à l’étranger. Notons en passant que l’oeuvre de Gabrielle Roy apparaît aussi dans des magazines de langues autres que le français et l’anglais.
Révélateur de l’intérêt porté à l’oeuvre de Gabrielle Roy et de la prédilection qu’a l’anthologie pour certains textes au détriment des autres, notre corpus sert également de base pour de futures explorations touchant au lien entre l’anthologie et l’écrivain. L’analyse du texte littéraire anthologique nous permet de dégager, entre autres, certains enjeux identitaires et littéraires ayant trait à la représentation de Gabrielle Roy elle-même. À cet égard, considérons un champ de recherche qui s’est montré particulièrement riche : celui de l’analyse des notices ou « headnotes ».
Les notices
La notice est un texte qui a pour fonction de replacer dans son (leur) contexte le (les) extrait(s) au(x)quel(s) il renvoie. Ainsi, la notice relèvera les détails biographiques les plus importants, évoquera éventuellement les oeuvres les plus reconnues, expliquera l’importance de l’extrait choisi et situera l’oeuvre dont il est tiré par rapport au système littéraire dont elle fait partie [6]. Les notices peuvent précéder les extraits auxquels elles renvoient ou encore être regroupées en fin de volume. Dans quelques anthologies à vocation pédagogique (enseignement de l’histoire littéraire surtout), elles seront intégrées aux tableaux chronologiques.
La notice offre une représentation de l’auteur qui peut être fort révélatrice quant au projet d’ensemble de l’anthologiste et à sa définition globale de la littérature québécoise ou francophone ou canadienne(-française). Une comparaison des deux corpus qui nous intéressent — les anthologies de langue française et les anthologies de langue anglaise — suggère en outre que la réalité socioculturelle et politique du Québec et du Canada se reflète dans le choix des détails considérés comme importants par les anthologistes. Les anthologies de langue française ont tendance à décrire les oeuvres de Roy comme étant québécoises, tandis que du côté anglais, on précise que son oeuvre fait partie de la littérature canadienne-française. En d’autres termes, il semblerait que les anthologies françaises offrent une image de Roy et de son oeuvre qui met l’accent sur la spécificité littéraire et culturelle du Québec, alors que les anthologies de langue anglaise feraient plutôt valoir son appartenance au grand tout canadien, uni par la diversité. Ainsi, du côté français, on fera remarquer que « le Québec doit l’un de ses meilleurs romans à [Roy] [7] », que « Bonheur d’occasion donne à la littérature québécoise son premier grand roman montréalais [8] » et que « Bonheur d’occasion marque une tournure importante dans l’histoire des lettres québécoises [9] ». Une anthologie expliquera que « [c]ontrairement à la plupart des écrivains Canadiens français [sic], Roy est née à l’extérieur de la province de Québec [10] », ce qui suggère l’importance, aux yeux de l’anthologiste, du Québec comme lieu central de la littérature franco-canadienne.
Du côté anglophone, on ne nie pas que Roy a écrit la plupart de ses oeuvres au Québec, mais très peu d’anthologistes insistent sur sa contribution au corpus de la littérature québécoise. On parlera plutôt de la littérature canadienne-française, mettant ainsi en valeur l’idée de la pluralité au Canada : « […] Roy worked as a journalist before she established her reputation, both in English and in French, as one of Canada’s best novelists [11] » ; « Marking an important stage in the emergence of urban realism in French-Canadian fiction, [Bonheur d’occasion] was translated into English in 1947 [12] […] » ; « [Roy is] one of the most distinguished writers of French-speaking Canada […] [13] ».
Il va sans dire que les tendances présentées ici ne sont pas exclusives. Il existe, bien sûr, des anthologies de langue anglaise qui présentent l’oeuvre de Roy comme étant québécoise [14], et plusieurs anthologies françaises qui indiquent qu’elle fait partie de la littérature canadienne-française [15]. Il y en a aussi un petit nombre qui réclame les oeuvres de Roy pour le Manitoba en soulignant qu’elles appartiennent à un corpus littéraire propre aux Prairies [16]. Ces différentes assertions soulèvent d’importantes questions : la représentation de Roy et de son oeuvre évolue-t-elle, des deux « côtés », avec le temps ? À quelle(s) littérature(s) appartiennent Roy et son oeuvre ? Qu’est-ce que ces dernières apportent (ou n’apportent pas) à celles-ci ?
Le cas « Vincento »
Par définition, un texte placé dans une anthologie se trouve presque toujours privé de son contexte original, à plus forte raison lorsqu’il provient d’un roman ou d’un récit long. Le plus souvent, comme on vient de le voir, une notice permet de situer l’extrait, d’en présenter l’auteur, et le lecteur, ainsi armé, peut entrer en contact avec une voix originale qu’il aura la possibilité de découvrir davantage en lisant l’oeuvre entière.
Si on observe que, parfois, l’anthologiste prend quelques libertés (coupures non indiquées, orthographe d’un nom de ville modifiée) qui affectent peu l’expérience de lecture, il arrive rarement que son intervention soit aussi majeure que dans le cas de « Vincento », extrait de Ces enfants de ma vie, reproduit, si on peut encore employer ce verbe pour un tel cas, dans l’anthologie Découvertes [17]. Cet exemple, bien qu’extrême, et par le fait même atypique, a l’intérêt de montrer l’ampleur des modifications subies par un texte inséré dans une anthologie, de révéler à quel point l’oeuvre d’un auteur, son style, sa voix, se trouvent quelquefois altérés pour servir l’objectif de l’anthologiste. Découvertes a une vocation à saveur pédagogique ; sa présentation de textes littéraires d’expression française vise un public d’étudiants anglophones de la Colombie-Britannique, probablement de niveau high school. Dans ses pages, « Vincento » est présenté comme un texte entier, sans introduction ni marques de coupures, accompagné simplement d’un lexique bilingue placé en marge. Mais cela ne revient pas à dire qu’il est intact. On distingue en effet trois types de modifications apportées au texte de Gabrielle Roy, d’abord, des coupures, puis, des simplifications lexicales, qui sont de deux ordres.
Comme on le remarque pour nombre d’autres textes de Gabrielle Roy publiés dans des anthologies, « Vincento » ne présente aucun signe avertissant le lecteur qu’il est en présence d’un récit tronqué. Certaines des coupures effectuées s’expliquent aisément : elles ont vraisemblablement été faites pour éliminer des expressions jugées trop complexes et rendre le texte plus accessible au public visé. Par exemple : « il réussissait néanmoins par moments à s’arc-bouter et, en tirant de toutes ses forces, à freiner un peu leur avance » devient « il réussissait néanmoins par moments à freiner un peu leur avance » (V, 16 ; nous soulignons). De même, on troque « en l’accablant de préceptes et de recommandations » contre « en l’accablant de recommandations » (V, 18 ; nous soulignons) et « Enfin le père fut libre un instant pendant que je retenais le petit garçon de peine et de misère. » contre « Enfin le père fut libre un instant. » (V, 19 ; nous soulignons.) D’autres coupures, en revanche, semblent aléatoires, visant apparemment surtout à raccourcir le texte, sans trop d’égards pour le rythme que l’auteur a travaillé à lui donner : « Même à deux nous eûmes beaucoup de peine à détacher l’enfant. Desserrions-nous une main qu’aussitôt elle nous échappait pour s’agripper de nouveau aux vêtements de son père. Le curieux était que tout en s’accrochant à son père, il lui en voulait de s’être mis de mon côté et le traitait à travers ses larmes de sans-coeur et de vaurien. » n’est plus que : « Même à deux nous eûmes beaucoup de peine à détacher l’enfant. Le curieux était que tout en s’accrochant à son père, il le traitait à travers ses larmes de sans-coeur et de vaurien. » (V, 19 ; nous soulignons.) Pourtant, le lexique qui accompagne le texte aurait pu éclaircir ces expressions ; il semble que ce soit vraiment une question d’espace.
Il en va de même pour les interventions lexicales de l’anthologiste et pour ses coupures : si quelques simplifications peuvent paraître logiques, il s’en trouve aussi qui défient le lecteur (qui connaît l’original) d’en comprendre les motivations. À plusieurs reprises, le nouveau mot trouvé par l’anthologiste appauvrit le texte, car il évacue la précision et la polysémie qui avaient sans doute motivé les choix de l’auteur : « Sans se hasarder à découvrir son visage, il tâchait entre ses doigts écartés de suivre ce qui se passait », transformé en « Sans se hasarder à montrer son visage, il tâchait entre ses doigts séparés de voir ce qui se passait » (V, 21 ; nous soulignons), est un exemple éloquent. On observe par ailleurs une tendance de l’anthologiste à privilégier des termes français proches de la forme anglaise, ce qui, dans les circonstances, semble avant tout un excellent moyen d’encourager l’usage des fameux « faux amis », par exemple : « tous sauf lui avaient leur maison » changé en « tous excepté lui avaient leur maison » (V, 21 ; nous soulignons). Mais le plus curieux est que parfois le mot original est remplacé par un mot qui n’est pas a priori plus facile à comprendre pour un public anglophone, comme : « J’arrivai à un coin de l’école » (V, 22 ; nous soulignons) à la place de « J’arrivai à un angle de l’école. »
Enfin, il y a bien sûr des passages où les deux procédés sont à l’oeuvre, transformant par exemple « qu’il était accompagné de son petit garçon cherchant à aider, que tous les deux travaillant ne cessaient pour ainsi dire de se parler, pour s’encourager l’un l’autre, sans doute, et que ce murmure en langue étrangère, au bout de nos champs, m’avait paru singulièrement attirant » en « qu’il était accompagné de son petit garçon et que tous les deux travaillant n’arrêtaient pas de se parler, pour s’encourager l’un l’autre, sans doute » (V, 19 ; nous soulignons) ou encore « Un silence houleux nous enveloppa qui parut s’étendre jusqu’au père que je n’entendais plus respirer et dont le regard agrandi de surprise guettait nos moindres mouvements. Pour l’instant, Vincento réfléchissait, ses immenses yeux faisant le tour de la situation. » en « Pour l’instant, Vincento pensait, ses immenses yeux étudiant la situation. » (V, 19 ; nous soulignons.)
On en vient à se demander pourquoi l’anthologiste a choisi ce texte, manifestement trop difficile dans sa forme originale pour le public visé, au lieu de n’en proposer qu’un extrait court sur lequel la classe aurait pu se pencher plus en détail. Aussi, à quoi bon faire croire à ces étudiants qu’ils découvrent un auteur, si les textes de leur anthologie, après tant de modifications, risquent d’avoir tous la même saveur ? Une anthologie littéraire ne devrait-elle pas, idéalement, être une collection de pistes vers une variété d’univers à découvrir ? Enfin, on en vient surtout à se demander : s’agit-il encore d’un texte de Gabrielle Roy ?
L’inventaire
Nous proposons ici un premier état des lieux ; cet inventaire que nous travaillons à compléter répertorie les anthologies dans lesquelles ont paru des extraits des différents ouvrages de Gabrielle Roy. Les pistes de réflexion ébauchées ci-dessus ne font que laisser deviner la richesse et la variété des objets de recherche que nous espérons fournir aux chercheurs grâce à cette ressource in progress.
Les listes bibliographiques sont divisées en deux grandes catégories relatives à la langue des anthologies (français ou anglais). Chacune est organisée en fonction de la date de publication des textes de Gabrielle Roy, puis, pour un même titre de Roy, en ordre chronologique de parution des anthologies elles-mêmes. Certaines anthologies contiennent plus d’un extrait des oeuvres de Roy et apparaissent donc plusieurs fois dans l’inventaire. Le deuxième paragraphe de chaque entrée, en retrait par rapport au premier, concerne l’extrait choisi. On y trouvera le titre de l’extrait (souvent identique au titre de la source, mais pas toujours), suivi de sa localisation dans l’anthologie (première et dernière pages), puis sa source (titre de l’ouvrage ; numéro de chapitre, le cas échéant) et des données d’édition pertinentes (celles fournies par l’anthologiste ou que nous avons pu reconstituer à partir d’indices internes [18]). Une bibliographie des oeuvres de Gabrielle Roy clôt le document.
I Extraits publiés dans les anthologies de langue française
« Quelques jolis coins de Montréal » (article, 1939)
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FREDETTE, Nathalie, Montréal en prose, 1892-1992, Montréal, l’Hexagone, coll. « Anthologies », 1992, 507 p.
« Quelques jolis coins de Montréal », p. 144-147. Article paru dans Le Jour, 22 juillet 1939, p. 5.
« Du port aux banques » (article, 1941)
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FREDETTE, Nathalie, Montréal en prose, 1892-1992, Montréal, l’Hexagone, coll. « Anthologies », 1992, 507 p.
« Du port aux banques », p. 148-159. Article paru dans Le Bulletin des agriculteurs, août 1941, p. 11, 32-33.
Bonheur d’occasion (roman, 1945)
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MARION, Séraphin et Watson KIRKCONNELL, Tradition du Québec/The Quebec Tradition. Recueil de morceaux choisis dans les oeuvres des poètes et prosateurs du Canada français/An Anthology of French-Canadian Prose and Verse, Montréal, Les Éditions Lumen, coll. « Humanitas », 1946, 245 p.
« Les sucres/The Sugar Maples », p. 135-139. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre XIII, traduit par Watson Kirkconnell, Montréal, Société des Éditions Pascal, 1945, tome I, p. 230-233.
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BOULIZON, Guy (dir.), Anthologie littéraire. Pages choisies d’auteurs français, canadiens, belges, Montréal, Beauchemin, 1959, 262 p.
« Eugène a signé son enrôlement », p. 86-88. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre V. Édition de référence non indiquée.
« Un restaurant à Saint-Henri », p. 300-301. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre I. Édition de référence non indiquée.
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LAPIERRE, Laurier et al., Québec : hier et aujourd’hui, Toronto, The Macmillan Company of Canada Limited, 1967, 306 p.
« Bonheur d’occasion », p. 159-161. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre II, Montréal, Beauchemin, 1965, p. 31-33.
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SYLVESTRE, Guy et H. Gordon GREEN, Un siècle de littérature canadienne/A Century of Canadian Literature, Montréal/Toronto, HMH/The Ryerson Press, 1967, 599 p.
« Une promenade dans Saint-Henri », p. 349-350. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre II. Édition de référence non indiquée.
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RENAUD, André, Recueil de textes littéraires canadiens-français, Montréal, Éditions du Renouveau pédagogique, 1968, 319 p.
« Florentine », p. 222. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre I, Montréal, Beauchemin, 1945, tome I, p. 22-23.
« Rose-Anna », p. 223. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre V, Montréal, Beauchemin, 1945, tome I, p. 98-99.
« La guerre », p. 224. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre XIX, Montréal, Beauchemin, 1945, tome II, p. 314-316.
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VIATTE, Auguste, Anthologie littéraire de l’Amérique francophone. Littératures canadienne, louisianaise, haïtienne, de la Martinique, de la Guadeloupe et de la Guyane, Sherbrooke, Faculté des arts, Université de Sherbrooke, 1971, 519 p.
« Une vie manquée », p. 215-218. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre XII, Montréal, Beauchemin, 1967, p. 139-143.
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COTNAM, Jacques et al., Vivre au Québec, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1972, 111 p.
« Face à la montagne », p. 59-60. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre XVI, Montréal, Beauchemin, 1967, p. 31-33.
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MOREAU, Gérald, Anthologie du roman canadien-français, Montréal, Lidec, 1973, 224 p.
« Soirée d’été dans un faubourg industriel », p. 99-102. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre XXV, Montréal, Beauchemin, 1967, p. 252-255.
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« Rue Sainte-Catherine », p. 186-187. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre IV, Montréal, Beauchemin, 1967, p. 51-53.
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« Florentine, serveuse de restaurant », p. 341-350. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre I, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1977, p. 11-26.
« Les sucres », p. 351-357. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre XV, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1977, p. 192-202.
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GAUVIN, Lise et Gaston MIRON, Écrivains contemporains du Québec, Paris, Seghers, 1989, 579 p.
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« Viens-tu aux vues avec moi ? », p. 250-251. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre I. Édition de référence non indiquée.
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LAFORTUNE, Monique, Réalisme et réalité dans la littérature québécoise, Laval, Mondia Éditeurs, coll. « Les essentiels », 1994, 130 p.
« L’amour n’était pas au rendez-vous », p. 17-19. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre XVI. Édition de référence non indiquée.
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LAURIN, Michel, Anthologie de la littérature québécoise, 3e édition, Anjou, Éditions CEC, coll. « Langue et littérature », 1996, 396 p.
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BRAEN, Christian et al., Littérature québécoise du xxe siècle. Introduction à la dissertation critique, Montréal, Décarie Éditeur, 1997, 399 p.
« On n’est plus pour vivre dans Saint-Henri », p. 128-129. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre XXXIII, Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1993, p. 402-404.
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« Chapitre II », p. 288-290. Extrait de Bonheur d’occasion. Édition de référence non indiquée.
« Chapitre VII », p. 290-296. Extrait de Bonheur d’occasion. Édition de référence non indiquée.
« Chapitre XV », p. 296-298. Extrait de Bonheur d’occasion. Édition de référence non indiquée.
« Chapitre XXVIII », p. 298-300. Extrait de Bonheur d’occasion. Édition de référence non indiquée.
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« À la recherche d’un logement », p. 33. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre VII, Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1993, p. 100-101.
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La Petite Poule d’Eau (roman, 1950)
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RENAUD, André, Recueil de textes littéraires canadiens-français, Montréal, Éditions du Renouveau pédagogique, 1968, 319 p.
« La Petite Poule d’Eau », p. 225. Extrait de « Les vacances de Luzina », La Petite Poule d’Eau, Montréal, Beauchemin, 1950, p. 38-39.
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« Un village au bout du monde », p. 219. Extrait de « Les vacances de Luzina », La Petite Poule d’Eau, Montréal, Beauchemin, 1950, p. 11-12.
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DIONNE, René et Gabrielle POULIN, Anthologie de la littérature québécoise, vol. IV : L’âge de l’interrogation, 1937-1952, Gilles Marcotte (dir.), Montréal, La Presse, 1980, 463 p.
« L’arrivée de la maîtresse d’école », p. 357-360. Extrait de « L’école de la Petite Poule d’Eau », La Petite Poule d’Eau, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1980, p. 70-75.
Alexandre Chenevert (roman, 1954)
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VIATTE, Auguste, Anthologie littéraire de l’Amérique francophone. Littératures canadienne, louisianaise, haïtienne, de la Martinique, de la Guadeloupe et de la Guyane, Sherbrooke, Faculté des arts, Université de Sherbrooke, 1971, 519 p.
« Découverte de la solitude », p. 219-221. Extrait d’Alexandre Chenevert, chapitre XIII, Montréal, Beauchemin, 1964, p. 208-211.
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COTNAM, Jacques et al., Vivre au Québec, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1972, 111 p.
« Étranger dans sa ville », p. 47-48. Extrait d’Alexandre Chenevert, chapitre XVII, Montréal, Beauchemin, 1954, p. 257-259.
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MOREAU, Gérald, Anthologie du roman canadien-français, Montréal, Lidec, 1973, 224 p.
« L’ennui d’un caissier de banque », p. 102-104. Extrait d’Alexandre Chenevert, chapitre IV, Montréal, Beauchemin, 1967, p. 77-80.
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DIONNE, René et Gabrielle POULIN, Anthologie de la littérature québécoise, vol. IV : L’âge de l’interrogation, 1937-1952, Gilles Marcotte (dir.), Montréal, La Presse, 1980, 463 p.
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Rue Deschambault (roman, 1955)
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SYLVESTRE, Guy et H. Gordon GREEN, Un siècle de littérature canadienne/A Century of Canadian Literature, Montréal/Toronto, HMH/The Ryerson Press, 1967, 599 p.
« Petite Misère », p. 350-356. Extrait de « Petite Misère », Rue Deschambault, Montréal, Beauchemin, 1955, p. 33-39.
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BESSETTE, Gérard, De Québec à Saint-Boniface. Récits et nouvelles du Canada français, textes choisis et annotés par Gérard Bessette, Toronto, Macmillan of Canada, 1968, 286 p.
« Les déserteuses », p. 196-224. Extrait de « Les déserteuses », Rue Deschambault, Montréal, Beauchemin, 1955, p. 87-122.
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RENAUD, André, Recueil de textes littéraires canadiens-français, Montréal, Éditions du Renouveau pédagogique, 1968, 319 p.
« La petite Fraise », p. 226. Extrait de « L’Italienne », Rue Deschambault, Montréal, Beauchemin, 1955, p. 189-191.
-
MOREAU, Gérald, Anthologie du roman canadien-français, Montréal, Lidec, 1973, 224 p.
« Extinction d’un feu de prairie », p. 104-106. Extrait de « Le puits de Dunrea », Rue Deschambault, Montréal, Beauchemin, 1955, p. 133-137.
-
DIONNE, René et Gabrielle POULIN, Anthologie de la littérature québécoise, vol. IV : L’âge de l’interrogation, 1937-1952, Gilles Marcotte (dir.), Montréal, La Presse, 1980, 463 p.
« La prairie en feu », p. 366-372. Extrait de « Le puits de Dunrea », Rue Deschambault, Montréal, Beauchemin, 1971, p. 151-161.
-
DAMKJAER, Lars et Finn ERIKSEN, Québec — Presqu’Amérique, Denmark, Nyt Nordisk Forlag Arnold Busck, 1983, 188 p.
« Pour empêcher un mariage », p. 50-57. Extrait de « Pour empêcher un mariage », Rue Deschambault. Édition de référence non indiquée.
-
BOIVIN, Aurélien, Poésies, contes et nouvelles du Québec. Choix de textes et commentaires, Laval, Mondia, coll. « À l’écoute de la littérature », 1987, 112 p.
« Petite misère », p. 78-87. Extrait de « Petite misère », Rue Deschambault, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1980, p. 37-45.
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ARCHAMBAULT, Gilles et al., Premier amour, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1988, 261 p.
« Wilhelm », p. 213-223. Extrait de « Wilhelm », Rue Deschambault, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1980, p. 225-252.
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HARVEY, Carol J. et Lise GABOURY-DIALLO, La littérature au féminin, Laval, Mondia, coll. « Les essentiels », 1995, 116 p.
« Les bijoux », p. 82. Extrait de « Les bijoux », Rue Deschambault. Édition de référence non indiquée.
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THÉRIO, Adrien, Conteurs canadiens-français (1936-1967), Québec, XYZ éditeur, 2005, 411 p.
« Wilhelm », p. 210-217. Extrait de « Wilhelm », Rue Deschambault, Montréal, Beauchemin, 1955, p. 200-208.
« Pour empêcher un mariage », p. 219-226. Extrait de « Pour empêcher un mariage », Rue Deschambault, Montréal, Beauchemin, 1955, p. 48-56.
La montagne secrète (roman, 1961)
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RENAUD, André, Recueil de textes littéraires canadiens-français, Montréal, Éditions du Renouveau pédagogique, 1968, 319 p.
« La rencontre », p. 227. Extrait de La montagne secrète, chapitre XV, Montréal, Beauchemin, 1961, p. 122-123.
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COTNAM, Jacques et al., Vivre au Québec, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1972, 111 p.
« L’Ungava », p. 14. Extrait de La montagne secrète, chapitre X, Montréal, Beauchemin, 1961, p. 89-90.
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MOREAU, Gérald, Anthologie du roman canadien-français, Montréal, Lidec, 1973, 224 p.
« Arrivée d’un peintre en pays esquimau », p. 106-108. Extrait de La montagne secrète, chapitre X, Montréal, Beauchemin, 1961, p. 90-94.
-
ERMAN, Michel, Littérature canadienne-française et québécoise. Anthologie critique, Laval, Beauchemin, 1992, 570 p.
« La découverte de la Montagne », p. 284-285. Extrait de La montagne secrète, chapitre XII, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1978, p. 101-102.
La route d’Altamont (roman, 1966)
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Perspectives sur la francophonie, Services des langues modernes, ministère de l’Éducation de Colombie-Britannique, Victoria, Colombie-Britannique, 1986, 155 p.
« Le déménagement », p. 37-45. Extrait de « Le déménagement », La route d’Altamont, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1985, p. 155-186.
-
ERMAN, Michel, Littérature canadienne-française et québécoise. Anthologie critique, Laval, Beauchemin, 1992, 570 p.
« Nostalgie des retrouvailles sans retour », p. 285-288. Extrait de « La route d’Altamont », La route d’Altamont, Montréal, HMH, 1969, p. 204-209.
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GALLAYS, François, Anthologie de la nouvelle au Québec, Québec, Fides, 1993, 427 p.
« La route d’Altamont », p. 135-176. Extrait de « La route d’Altamont », La route d’Altamont, Montréal, HMH, 1966, p. 189-255.
Le thème Terre des hommes (essai, 1967)
-
COTNAM, Jacques et al., Vivre au Québec, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1972, 111 p.
« Terre des Hommes », p. 31. Extrait de « Le thème Terre des hommes », Montréal, La Compagnie canadienne de l’Exposition universelle, 1967, p. 46, 48.
La rivière sans repos (roman, précédé de « Trois nouvelles esquimaudes », 1970)
Aucun extrait n’a été repéré jusqu’ici [19].
Cet été qui chantait (récits, 1972)
Aucun extrait n’a été repéré jusqu’ici [20].
Un jardin au bout du monde (nouvelles, 1975)
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DE MÉO, Patricia, Situations. Textes divers du monde francophone, Don Mills, ON, Addison-Wesley Publishers Limited, 1986, 298 p.
« Où iras-tu Sam Lee Wong ? », p. 186-191. Extrait de « Où iras-tu Sam Lee Wong », Un jardin au bout du monde, Montréal, Beauchemin, 1975, p. 61-75.
-
GENUIST, Monique et al., Sous les mâts des Prairies. Anthologie littéraire fransaskoise et de l’Ouest canadien, Regina, Éditions de la Nouvelle plume, 2000, 294 p.
« Où iras-tu Sam Lee Wong ? », p. 244-253. Extrait de « Où iras-tu Sam Lee Wong », Un jardin au bout du monde, Montréal, Beauchemin, 1975, p. 61-75.
Ma vache Bossie (conte pour enfants, 1976)
Aucun extrait n’a été repéré jusqu’ici.
Ces enfants de ma vie (roman, 1977)
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Des témoins de l’enfance. Recueil d’extraits tirés de la littérature québécoise des années 1960-1979, Québec, Bibliothèque nationale du Québec, 1979, 147 p.
« … Clair », p. 107. Extrait de « L’enfant de Noël », Ces enfants de ma vie, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1977, p. 19-20.
« Nil », p. 44-45. Extrait de « L’alouette », Ces enfants de ma vie, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1977, p. 52, 53, 56.
« Médéric », p. 55-57. Extrait de « De la truite dans l’eau glacée », Ces enfants de ma vie, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1977, p. 132-135, 148-149.
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KENNEY, Morgan, Découvertes : anthologie, Toronto, D.C. Heath Canada Ltd., 1983, 188 p.
« Vincento », p. 16-22. Extrait de « Vincento », Ces enfants de ma vie. Édition de référence non indiquée.
-
DE MÉO, Patricia, Situations. Textes divers du monde francophone, Don Mills, Addison-Wesley Publishers Limited, 1986, 298 p.
« L’alouette », p. 115-124. Extrait de « L’alouette », Ces enfants de ma vie. Édition de référence non indiquée.
-
GAUVIN, Lise et Gaston MIRON, Écrivains contemporains du Québec, Paris, Seghers, 1989, 579 p.
« Médéric », p. 484-485. Extrait de « De la truite dans l’eau glacée », Ces enfants de ma vie, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1977, p. 131-133.
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CHEVALIER, Nathalie et al., Têtes d’affiche. Recueil de textes B. Français, premier cycle du secondaire, Anjou, Les Éditions CEC inc., 2006, 266 p.
« Vincento », p. 262-263. Extrait de « Vincento », Ces enfants de ma vie. Édition de référence non indiquée.
Fragiles lumières de la terre (écrits divers, 1978)
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DIONNE, René et Gabrielle POULIN, Anthologie de la littérature québécoise, vol. IV : L’âge de l’interrogation, 1937-1952, Gilles Marcotte (dir.), Montréal, La Presse, 1980, 463 p.
« Mon héritage du Manitoba », p. 372-380. Extrait de « Mon héritage du Manitoba », Fragiles lumières de la terre, Montréal, Quinze, coll. « Prose entière », 1978, p. 143-158.
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GENUIST, Monique et al., Sous les mâts des Prairies. Anthologie littéraire fransaskoise et de l’Ouest canadien, Regina, Éditions de la Nouvelle plume, 2000, 294 p.
« Fragiles lumières de la terre », p. 240-243. Extrait de « Petite Ukraine », Fragiles lumières de la terre, Montréal, Stanké, coll. « Québec 10/10 », 1982, p. 83-86.
Courte-Queue (conte pour enfants, 1979)
Aucun extrait n’a été repéré jusqu’ici.
« Ély ! Ély ! Ély ! » (nouvelle, 1979)
Aucun extrait n’a été repéré jusqu’ici.
De quoi t’ennuies-tu, Éveline ? (récit, 1982)
Aucun extrait n’a été repéré jusqu’ici.
Contes pour enfants (1984)
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GAGNON, Cécile, Mille ans de contes, tome 2, Québec,Toulouse, Milan, coll. « Mille ans… », 2001, 352 p.
« L’empereur des bois », p. 324-333. Extrait de Contes pour enfants, Montréal, Boréal, 1998.
La détresse et l’enchantement (autobiographie, 1984)
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GAUVIN, Lise et Gaston MIRON, Écrivains contemporains du Québec, Paris, Seghers, 1989, 579 p.
« Deux étrangères dans les rues de Winnipeg », p. 486-487. Extrait de La détresse et l’enchantement, chapitre I, Montréal, Boréal, 1984, p. 11-13.
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PESTRE DE ALMEIDA, Lilian et Daniel CHARTIER, Le Québec. Images et textes pour l’enseignement de la littérature et la culture québécoises, Niterói, NECAN-UFF, ABECAN, 1992, 111 p.
« Deux étrangères dans une ville anglophone », p. 64-65. Extrait de La détresse et l’enchantement, chapitre I, Montréal, Boréal, 1984, p. 11-13.
-
BRAEN, Christian et al., Littérature québécoise du xxe siècle. Introduction à la dissertation critique, Montréal, Décarie Éditeur, 1997, 399 p.
« La brouette », p. 307-308. Extrait de La détresse et l’enchantement, chapitre VII, Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1993, p. 92-94.
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GENUIST, Monique et al., Sous les mâts des Prairies. Anthologie littéraire fransaskoise et de l’Ouest canadien, Regina, Éditions de la Nouvelle plume, 2000, 294 p.
« La détresse et l’enchantement », p. 155-158. Extrait de La détresse et l’enchantement, chapitre V, Montréal, Boréal Express, 1984, p. 70-72.
L’Espagnole et la Pékinoise (conte pour enfants, 1986)
Aucun extrait n’a été repéré jusqu’ici.
Le temps qui m’a manqué (suite de La détresse et l’enchantement, 1997)
Aucun extrait n’a été repéré jusqu’ici.
Le pays de Bonheur d’occasion et autres récits autobiographiques épars et inédits (2000)
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SCULLY, Robert Guy, Morceaux du grand Montréal, Saint-Lambert, Éditions du Noroît, 1978, 143 p.
« Le pays de Bonheur d’occasion », p. 113-122. Texte original [21] écrit sur commande pour l’anthologie.
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LÉVEILLÉ, J. Roger, Les Éditions du Blé : 25 ans d’édition, Manitoba, Les Éditions du Blé, 1999, 205 p.
« Ma petite rue qui m’a menée autour du monde », p. 165-183. Extrait de « Ma petite rue qui m’a menée autour du monde », inédit, Littératures, no 14, 1996, p. 135-163.
Rencontres et entretiens avec Gabrielle Roy 1947-1979 (2005)
Aucun extrait n’a été repéré jusqu’ici.
II. Extraits publiés dans les anthologies de langue anglaise
The Tin Flute (Bonheur d’occasion, roman, 1945)
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MARION, Séraphin et Watson KIRKCONNELL, Tradition du Québec/The Quebec Tradition. Recueil de morceaux choisis dans les oeuvres des poètes et prosateurs du Canada français/An Anthology of French-Canadian Prose and Verse, Montréal, Les Éditions Lumen, coll. « Humanitas », 1946, 245 p.
« Les sucres/The Sugar Maples », p. 135-139. Extrait de Bonheur d’occasion, chapitre XIII, traduit par Watson Kirkconnell.
-
TOYE, William, A Book of Canada, Toronto, William Collins Sons and Company, coll. « Collins National Anthologies », 1962, 416 p.
« Rose-Anna’s Daniel », p. 179-187. Extrait de The Tin Flute, chapitre XVIII, traduit par Hannah Josephson, New York, Reynal and Hitchcock, 1947, p. 178-185.
-
BISSELL, Claude, Great Canadian Writing. A Century of Imagination, Toronto, Canadian Centennial Publishing, coll. « The Canadian Centennial Library », 1966, 127 p.
« Gabrielle Roy », p. 68-70. Extrait de The Tin Flute, chapitre IX, traduit par Hannah Josephson, New York, Reynal and Hitchcock, 1947, p. 94-99.
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MICKLEBURGH, Brita, Canadian Literature. Two Centuries in Prose, Toronto, McClelland and Stewart, 1973, 306 p.
« What are you doing tonight ? », p. 195-206. Extrait de The Tin Flute, chapitre I, traduit par Hannah Josephson, Toronto, McClelland and Stewart, coll. « New Canadian Library », 1969 [1947], p. 1-12.
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STRATFORD, Philip et Michael THOMAS, Voices from Québec. An Anthology of Translations, Toronto, Van Nostrand Reinhold, 1977, 215 p.
« Saint-Henri to Saint-Denis », p. 197-202. Extrait de The Tin Flute, chapitres II et XV, traduit par Hannah Josephson, Toronto, McClelland and Stewart, coll. « New Canadian Library », 1969 [1947], p. 19-20, 131-136.
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ALFORD, Edna et Claire HARRIS, Kitchen Talk. Contemporary Women’s Prose and Poetry, Red Deer, Red Deer College Press, 1992, 302 p.
« From The Tin Flute », p. 57-62. Extrait de The Tin Flute, chapitre I, traduit par Hannah Josephson, Toronto, McClelland and Stewart, 1947, p. 1-6.
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MORTON, Desmond et Morton WEINFELD, Who Speaks for Canada ? Words that Shape a Country, Toronto, McClelland and Stewart, 1998, 332 p.
« Rue Ste-Catherine », p.135-136. Extrait de The Tin Flute, chapitre IV, traduit par Hannah Josephson, Toronto, McClelland and Stewart, 1947, p. 57-58.
Where Nests the Water Hen (La Petite Poule d’Eau, roman, 1950)
-
NELSON, George E., Cavalcade of the North. An Entertaining Collection of Distinguished Writing by Canadian Authors, New York, Doubleday & Company, 1958, 640 p.
« The School on the Little Water Hen », p. 482-549. Extrait de « The School on the Little Water Hen », Where Nests the Water Hen, traduit par Harry Lorin Binsse, New York, Harcourt, Brace and Company, 1951, p. 9-148.
-
GORDON, J. G. et T. S. ROEBUCK, Twentieth Century Prose, Toronto, Clarke, Irwin and Co., 1962, 211 p.
« Luzina Takes a Holiday », p. 177-191. Extrait de « Luzina Takes a Holiday », Where Nests the Water Hen, traduit par Harry Lorin Binsse, New York, Harcourt, Brace and Company, 1951, p. 9-34.
-
TOYE, William, A Book of Canada, Toronto, William Collins Sons and Company, coll. « Collins National Anthologies », 1962, 416 p.
« The School on the Little Water Hen », p. 352-358. Extrait de « The School on the Little Water Hen », Where Nests the Water Hen, traduit par Harry Lorin Binsse, New York, Harcourt, Brace and Company, 1951, p. 38-43, 47-48, 134-136.
-
Great Short Stories of the World. Selected by the Editors of The Reader’s Digest, New York, Reader’s Digest, 1972, 799 p.
« Luzina Takes a Holiday », p. 772-788. Extrait de « Luzina Takes a Holiday », Where Nests the Water Hen, traduit par Harry Lorin Binsse, New York, Harcourt, Brace and Company, 1951, p. 9-34.
-
The Great Short Stories of the World. 71 of the Finest Stories Ever Written, Pleasantville, New York, Reader’s Digest, 1972, p. 799 p.
« Luzina Takes a Holiday », p. 772-788. Extrait de « Luzina takes a Holiday », Where Nests the Water Hen, traduit par Harry Lorin Binsse, New York, Harcourt, Brace and Company, 1951, p. 9-34.
-
WEAVER, Robert et William TOYE, The Oxford Anthology of Canadian Literature, Toronto, Oxford University Press, 1973, 546 p.
« The School on the Little Water Hen », p. 450-454. Extrait de « The School on the Little Water Hen », Where Nests the Water Hen, traduit par Harry Lorin Binsse, New York, Harcourt, Brace and Company, 1951, p. 38-43, 47-48, 134-136.
-
HESSE, M. G., Women in Canadian Literature, Ottawa, Borealis Press, 1976, 287 p.
« Luzina Takes a Holiday », p. 159-163. Extrait de « Luzina Takes a Holiday », Where Nests the Water Hen, traduit par Harry Lorin Binsse, New York, Harcourt, Brace and Company, 1951, p. 15-21, 28.
-
STRATFORD, Philip et Michael THOMAS, Voices from Québec. An Anthology of Translations, Toronto, Van Nostrand Reinhold, 1977, 215 p.
« Miss O’Rorke and the Union Jack », p. 10-13. Extrait de « The School on the Little Water Hen », Where Nests the Water Hen, traduit par Harry Lorin Binsse, New York, Harcourt, Brace and Company, 1951, p. 89-95.
-
Great Short Stories of the World. Selected by the Editors of The Reader’s Digest, New York, Reader’s Digest, 2000, 799 p.
« Luzina Takes a Holiday », p. 772-788. Extrait de « Luzina Takes a Holiday », Where Nests the Water Hen, traduit par Harry Lorin Binsse, New York, Harcourt, Brace and Company, 1951, p. 9-34.
The Cashier (Alexandre Chenevert, roman, 1954)
-
LITTELJOHN, Bruce et Jon PEARCE, Marked by the Wild. An Anthology of Literature Shaped by the Canadian Wilderness, Toronto, McClelland and Stewart, 1973, 287 p.
« The Cashier », p. 177-187. Extrait de The Cashier, chapitre XI, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1955, p. 127-134, 139-144.
Street of Riches (Rue Deschambault, roman, 1955)
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HANNON, Leslie F., Maclean’s Canada. Portrait of a Country, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1960, 248 p.
« The Gadabouts », p. 209-214. Extrait de « The Gadabouts », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1957, p. 79-107.
-
NELSON, George E., Northern Lights. A New Collection of Distinguished Writing by Canadian Authors, New York, Doubleday, 1960, 736 p.
« The Gadabouts », p. 289-308. Extrait de « The Gadabouts », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1957, p. 81-111.
-
LOBAN, Walter et Rosalind A. OLMSTED, Adventures in Appreciation, vol. II, New York, Harcourt Brace & World, Inc., 1963, 251 p.
« The Voice of the Pools », p. 170-173. Extrait de « The Voice of the Pools », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1957, p. 205-209.
-
LUCAS, Alec, Great Canadian Short Stories. An Anthology, New York, Dell Publishing Co., 1971, 355 p.
« Wilhelm », p. 133-139. Extrait de « Wilhelm », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1957, p. 187-194.
-
BAILEY, Leuba, The Immigrant Experience, Toronto, The Macmillan Company of Canada Limited, coll. « Themes in Canadian Literature », 1975, 122 p.
« The Well of Dunrea », p. 38-51. Extrait de « The Well of Dunrea », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1957, p. 113-132.
-
TIMKO, Michael, 29 Short Stories. An Introductory Anthology, New York, Random House, 1975, 415 p.
« Wilhelm », p. 236-267. Extrait de « Wilhelm », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1957, p. 187-194.
-
DAYMOND, Douglas et Leslie MONKMAN, Literature in Canada, vol. II, Edmonton, Gage Educational Publishing, 1978, 761 p.
« By Day and by Night », p. 234-241. Extrait de « By Day and by Night », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1957, p. 223-234.
-
HESSE, M. G., Childhood and Youth in Canadian Literature, Toronto, The Macmillan Company of Canada Limited, coll. « Themes in Canadian Literature », 1979, 122 p.
« The Voice of the Pools », p. 89-92. Extrait de « The Voice of the Pools », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1957, p. 205-209.
-
GRADY, Wayne, The Penguin Book of Modern Canadian Short Stories, Markham, Penguin Books Canada Ltd., 1982, 546 p.
« The Gadabouts », p. 45-68. Extrait de « The Gadabouts », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1957, p. 81-111.
-
GARROD, Andrew et David STAINES, Illuminations. The Days of Our Youth, Toronto, Gage Publishing Limited, 1984, 355 p.
« Wilhelm », p. 218-223. Extrait de « Wilhelm », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1957, p. 187-194.
-
KIRKLAND, Glen et Richard DAVIES, Inside Stories I, Toronto, Harcourt Brace Jovanovich, 1987, 275 p.
« Alicia », p. 61-69. Extrait de « Alicia », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1957, p. 135-146.
-
BEATY Jerome et J. Paul HUNTER, New Worlds of Literature, New York and London, W.W. Norton & Company, 1989, 1171 p.
« Wilhelm », p. 793-798. Extrait de « Wilhelm », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1957, p. 187-194.
-
ONDAATJE, Michael, From Ink Lake. An Anthology of Canadian Short Stories, Toronto, Lester and Orpen Dennys, 1990, 714 p.
« The Well of Dunrea », p. 9-23. Extrait de « The Well of Dunrea », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1957, p. 113-132.
-
ONDAATJE, Michael, The Faber Book of Contemporary Canadian Short Stories, London, Faber and Faber, 1990, 714 p. [Même ouvrage que le précédent, éditeur différent.]
« The Well of Dunrea », p. 9-23. Extrait de « The Well of Dunrea », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1957, p. 113-132.
-
KIRKLAND, Glen et Richard DAVIES, Inside Stories II, Toronto, Harcourt Brace Jovanovich, 1999, 275 p.
« Alicia », p. 61-69. Extrait de « Alicia », Street of Riches, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1957, p. 135-146.
The Hidden Mountain (La montagne secrète, roman, 1961)
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LITTELJOHN, Bruce et Jon PEARCE, Marked by the Wild. An Anthology of Literature Shaped by the Canadian Wilderness, Toronto, McClelland and Stewart, 1973, 287 p.
« The Hidden Mountain », p. 177-187. Extrait de The Hidden Mountain, chapitre II, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1962, p. 13-19.
-
WHITAKER, Muriel, Stories from the Canadian North, Edmonton, Hurtig Publishers, 1980, 191 p.
« The Hidden Mountain », p. 181-191. Extrait de The Hidden Mountain, chapitre XVI, traduit par Harry Lorin Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1962, p. 103-116.
« Grandmother and the Doll » (« Grand-mère et la poupée », nouvelle, 1960)
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WEAVER, Robert, Ten for Wednesday Night. A Collection of Short Stories Presented for Broadcast by CBC Wednesday Night, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1961, 191 p.
« Grandmother and the Doll », p. 143-155. Extrait de « Grandmother and the Doll », traduit par Joyce Marshall, Chatelaine, octobre 1960, p. 44-45, 82-86.
The Road Past Altamont (La route d’Altamont, roman, 1966)
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WIEBE, Rudy, Stories from Western Canada, Toronto, Macmillan of Canada, 1972, 274 p.
« The Move », p. 119-133. Extrait de « The Move », The Road Past Altamont, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1966, p. 89-106.
-
MERSEREAU, Grace, Singing Under Ice, Toronto, Macmillan of Canada, 1974, 264 p.
« The Journey », p. 204-209. Extrait de « The Old Man and the Child », The Road Past Altamont, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1966, p. 56-61.
-
HESSE, M. G., Women in Canadian Literature, Ottawa, Borealis Press, 1976, 287 p.
« The Road Past Altamont », p. 189-191. Extrait de « The Road Past Altamont », The Road Past Altamont, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1966, p. 134-138.
-
MITCHELL, Ken, Horizon. Writings of the Canadian Prairie, Toronto, Oxford University Press, 1977, 288 p.
« The Move », p. 165-176. Extrait de « The Move », The Road Past Altamont, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1966, p. 89-106.
-
GARROD, Andrew et Janet WEBSTER, Worlds Unrealized, vol. I : Short Stories of Adolescence by Canadian Writers, St. John’s, Breakwater, 1991, 245 p.
« The Move », p. 179-191. Extrait de « The Move », The Road Past Altamont, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1966, p. 89-106.
-
RUBENSTEIN, Roberta et Charles R. LARSON, Worlds of Fiction, New York/Toronto, Macmillan Publishing Company/Maxwell Macmillan Canada, 1993, 1428 p.
« The Move », p. 1076-1085. Extrait de « The Move », The Road Past Altamont, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart Limited, 1966, p. 89-106.
-
URQUHART, Jane, The Penguin Book of Canadian Short Stories, Toronto, Penguin Books, 2007, 696 p.
« The Road Past Altamont », p. 611-634. Extrait de « The Road Past Altamont », The Road Past Altamont, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1966, p. 109-146.
« The Satellites » (« Les satellites », nouvelle, 1970)
-
GRADY, Wayne, The Penguin Book of Canadian Short Stories, Markham, Penguin Books, 1980, 455 p.
« The Satellites », p. 167-189. Extrait de « The Satellites », traduit par Joyce Marshall, The Tamarack Review, no 74, printemps 1978, p. 5-28.
-
SULLIVAN, Rosemary, Stories by Canadian Women, Toronto, Oxford University Press Canada, 1984, 395 p.
« The Satellites », p. 75-97. Extrait de « The Satellites », traduit par Joyce Marshall, The Tamarack Review, no 74, printemps 1978, p. 5-28.
-
BOTONG, Gu Quinan Zhu et Xia YIHU, Anthology of Canadian Short Fiction, Tianjin, République populaire de Chine, Nankai University Press, 1994, 504 p.
« The Satellites », p. 194-223. Extrait de « The Satellites », traduit par Joyce Marshall, The Tamarack Review, no 74, printemps 1978, p. 5-28.
« The Wheelchair » (« Le fauteuil roulant », nouvelle, 1970)
-
TEFS, Wayne, Made in Manitoba. An Anthology of Short Fiction, Winnipeg, Turnstone Press, 1990, 279 p.
« The Wheelchair », p. 235-249. Extrait de « The Wheelchair », traduit par Sherri Walsh, Arts Manitoba, vol. III, no 4, automne 1984, p. 47-53.
-
BOROVILOS, John, Breaking Free. A Cross-Cultural Anthology, Scarborough, Prentice-Hall Canada, 1995, 279 p.
« The Wheelchair », p. 124-132. Extrait de « The Wheelchair », traduit par Sherri Walsh, Arts Manitoba, vol. III, no 4, automne 1984, p. 47-53.
Enchanted Summer (Cet été qui chantait, récits, 1972)
-
SAINT-PIERRE, Gaston, The French Canadian Experience, Toronto, Macmillan of Canada, coll. « Themes in Canadian Literature », 1979, 122 p.
« The Dead Child », p. 71-76. Extrait de « The Dead Child », Enchanted Summer, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1976, p. 111-117.
-
LUNN, Janet, The Canadian Children’s Treasury, Toronto, Key Porter Books, 1988, 294 p.
« Long Skinny Minny », p. 179-193. Extrait de « Long Skinny Minny », Enchanted Summer, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1976, p. 49-62.
-
BARRY, James et Joseph GRIFFIN, The Storyteller. Short Stories from Around the World, Toronto, Nelson Canada, coll. « Reflections in Fiction », 1992, 256 p.
« The Dead Child », p. 186-191. Extrait de « The Dead Child », Enchanted Summer, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1976, p. 111-117.
-
WHITAKER, Muriel, The Best Canadian Animal Stories. Classic Tales by Master Storytellers, Toronto, McClelland & Stewart, 1997, 248 p.
« Jeannot the Crow », p. 195-206. Extrait de « Jeannot the Crow », Enchanted Summer, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1976, p. 23-32.
Garden in the Wind (Un jardin au bout du monde, nouvelles, 1975)
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OWEN, Ivon et Morris WOLFE, The Best Modern Canadian Short Stories, Edmonton, Hurtig Publishers, 1978, 318 p.
« A Tramp at the Door », p. 103-122. Extrait de « A Tramp at the Door », Garden in the Wind, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1977, p. 13-47.
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WIEBE, Rudy et Aritha VAN HERK, More Stories from Western Canada, Toronto, The Macmillan Company of Canada Limited, 1980, 296 p.
« Hoodoo Valley », p. 152-162. Extrait de « Hoodoo Valley », Garden in the Wind, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1977, p. 107-119.
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RAMPTON, David et Gerald LYNCH, Short Fiction. An Introductory Anthology, Toronto, Harcourt Brace Jovanovich, 1992, 1382 p.
« Hoodoo Valley », p. 789-796. Extrait de « Hoodoo Valley », Garden in the Wind, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1977, p. 107-119.
Children of My Heart (Ces enfants de ma vie, roman, 1977)
-
GALLOWAY, Priscilla, Timely and Timeless. Contemporary Prose, Toronto, Clarke, Irwin & Company Limited, 1983, 287 p.
« The Story of Nil », p. 133-146. Extrait de « Part 1 » [« L’alouette », dans la version française], Children of My Heart, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1979, p. 37-53.
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COHEN, Matt et Wayne GRADY, The Quebec Anthology, 1830-1990, Ottawa, University of Ottawa Press, coll. « Canadian Short Story Library », 1996, 424 p.
« Part II of Children of My Heart », p. 300-325. Extrait de « Part 2 » [« La maison gardée », dans la version française], Children of My Heart, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1979, p. 79-107.
The Fragile Lights of Earth (Fragiles lumières de la terre, écrits divers, 1978)
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GALLOWAY, Priscilla, Timely and Timeless. Contemporary Prose, Toronto, Clarke, Irwin & Company Limited, 1983, 287 p.
« The Gaspé Fisherman—A Sail in the Night », p. 111-123. Extrait de « The Gaspé Fisherman—A Sail in the Night », The Fragile Lights of Earth, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1982, p. 87-100.
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STRUTHERS, J. R. Tim, The Possibilities of Story, vol. I, Toronto, McGraw-Hill Ryerson, 1992, 265 p.
« My Manitoba Heritage », p. 62-71. Extrait de « My Manitoba Heritage », The Fragile Lights of Earth, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1982, p. 143-155.
« Ely ! Ely ! Ely ! » (« Ély ! Ély ! Ély ! », nouvelle, 1979)
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GRADY, Wayne, The Penguin Book of Modern Canadian Short Stories, Markham, Penguin Books Canada Ltd., 1982, 546 p.
« Ely ! Ely ! Ely ! », p. 45-68. Extrait de « Ely ! Ely ! Ely ! », traduit par M. G. Hesse, Canadian Fiction Magazine, nos 34-35, 1980, p. 18-27.
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TELEKY, Richard, The Oxford Book of French-Canadian Short Stories, Toronto, Oxford University Press, 1983, 268 p.
« Ely ! Ely ! Ely ! », p. 88-102. Extrait de « Ely ! Ely ! Ely ! », traduit par M. G. Hesse, Canadian Fiction Magazine, nos 34-35, 1980, p. 18-27.
Enchantment and Sorrow (La détresse et l’enchantement, autobiographie, 1984)
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CONWAY, Jill Ker, In Her Own Words. Women’s Memoirs from Australia, New Zealand, Canada, and the United States, New York, Vintage Books, 1999, 611 p.
« Enchantment and Sorrow. The Autobiography of Gabrielle Roy », p. 329-385. Extrait de Enchantment and Sorrow, chapitres I-X, traduit par Patricia Claxton, Toronto, Lester & Orpen Dennys, 1987, p. 3-409.
Bibliographie des oeuvres de Gabrielle Roy
Nous mentionnons, pour chacun des ouvrages, la première édition en langue française, l’édition courante en langue française et la première édition en langue anglaise.
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Bonheur d’occasion, Montréal, Société des Éditions Pascal, 1945 [2 vol.] ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1993, 413 p.
The Tin Flute, traduit par Hannah Josephson, Toronto, McClelland and Stewart, 1947, 315 p.
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La Petite Poule d’Eau, Montréal, Beauchemin, 1950, 272 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1993, 268 p.
Where Nests the Water Hen, traduit par Harry L. Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1951, 251 p.
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Alexandre Chenevert, Montréal, Beauchemin, 1954, 373 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1995, 297 p.
The Cashier, traduit par Harry L. Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1955, 251 p.
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Rue Deschambault, Montréal, Beauchemin, 1955, 260 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1993, 265 p.
Street of Riches, traduit par Harry L. Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1957, 246 p.
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La montagne secrète, Montréal, Beauchemin, 1961, 222 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1994, 186 p.
The Hidden Mountain, traduit par Harry L. Binsse, Toronto, McClelland and Stewart, 1962, 186 p.
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La route d’Altamont, Montréal, HMH, coll. « L’arbre », no 10, 1966, 261 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1993, 163 p.
The Road Past Altamont, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1966, 146 p.
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La rivière sans repos, Montréal, Beauchemin, 1970, 315 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1995, 248 p.
Windflower, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1970, 152 p.
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Cet été qui chantait, Québec, Éditions françaises, 1972, 207 p. [illustrations de Guy Lemieux] ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1993, 169 p.
Enchanted Summer, traduit par Joyce Marshall, Toronto, McClelland and Stewart, 1976, 125 p.
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Un jardin au bout du monde, Montréal, Beauchemin, 1975, 217 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1994, 178 p.
Garden in the Wind, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1977, 175 p.
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Ma vache Bossie, Montréal, Leméac, 1976, 45 p. [illustrations de Louise Pomminville].
My Cow Bossie, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1988, 46 p.
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Ces enfants de ma vie, Montréal, Stanké, 1977, 212 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1993, 190 p.
Children of My Heart, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1979, 171 p.
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Fragiles lumières de la terre, Montréal, Quinze, coll. « Prose entière », 1978, 240 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1996, 255 p.
The Fragile Lights of Earth, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1982, 222 p.
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Courte-queue, Montréal, Stanké, 1979, 48 p. [illustrations de François Olivier].
Cliptail, traduit par Alan Brown, Toronto, McClelland and Stewart, 1980, 48 p.
De quoi t’ennuies-tu, Éveline ? suivi de « Ély ! Ély ! Ély ! », Montréal, Éditions du Sentier, 1982, 76 p. [bois gravé et calligraphies de Martin Dufour] ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1988, 122 p.
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La détresse et l’enchantement, Montréal, Boréal, 1984, 505 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal Compact », 1988, 505 p.
Enchantment and Sorrow, traduit par Patricia Claxton, Toronto, Lester & Orpen Dennys, 1987, 414 p.
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L’Espagnole et la Pékinoise, Montréal, Boréal, coll. « Boréal jeunesse », 1986, 42 p. [illustrations de Jean-Yves Ahern].
The Tortoiseshell and the Pekinese, traduit par Patricia Claxton, Toronto, Doubleday Canada, 1989, 42 p.
-
Ma chère petite soeur, lettres à Bernadette, 1943-1970 [édition préparée par François Ricard], Montréal, Boréal, 1988, 259 p. ; [nouvelle édition préparée par François Ricard et Dominique Fortier], Montréal, Boréal, coll. « Cahiers Gabrielle Roy », 2000, 256 p.
Letters to Bernadette, traduit par Patricia Claxton, Toronto, Lester & Orpen Dennys, 1990, 218 p.
Le temps qui m’a manqué, suite de La détresse et l’enchantement [édition préparée par François Ricard, Dominique Fortier et Jane Everett], Montréal, Boréal, coll. « Cahiers Gabrielle Roy », 1997, 106 p. ; Montréal, Boréal, coll. « Boréal compact », 1999, 106 p.
Contes pour enfants [édition préparée par François Ricard], Montréal, Boréal, 1998, 108 p.
Le pays de Bonheur d’occasion et autres récits autobiographiques épars et inédits [édition préparée par François Ricard, Sophie Marcotte et Jane Everett], Montréal, Boréal, coll. « Cahiers Gabrielle Roy », 2000, 159 p.
Mon cher grand fou… Lettres à Marcel Carbotte, 1947-1979 [édition préparée par Sophie Marcotte, avec la collaboration de François Ricard et Jane Everett], Montréal, Boréal, coll. « Cahiers Gabrielle Roy », 2001, 825 p.
Intimate Strangers. The Letters of Margaret Laurence and Gabrielle Roy [édition préparée par Paul G. Socken], Winnipeg, University of Manitoba Press, 2004, 104 p.
Femmes de lettres. Lettres de Gabrielle Roy à ses amies, 1945-1978 [édition préparée par François Ricard et Ariane Léger, avec la collaboration de Sophie Montreuil et Jane Everett], Montréal, Boréal, coll. « Cahiers Gabrielle Roy », 2005, 248 p.
Rencontres et entretiens avec Gabrielle Roy, 1947-1979 [édition préparée par Amélie Desruisseaux-Talbot, Nadine Bismuth et François Ricard, avec la collaboration de Jane Everett et Sophie Marcotte], Montréal, Boréal, coll. « Cahiers Gabrielle Roy », 2005, 268 p.
In Translation. The Gabrielle Roy-Joyce Marshall Correspondence [édition préparée par Jane Everett], Toronto, University of Toronto Press, 2005, 271 p.
Heureux les nomades et autres reportages, 1940-1945 [édition préparée par Antoine Boisclair et François Ricard, avec la collaboration de Jane Everett et Sophie Marcotte], Montréal, Boréal, coll. « Cahiers Gabrielle Roy », 2007, 439 p.
Appendices
Biobibliographies
STEPHANIE CAMPBELL a terminé sa maîtrise en langue et littérature françaises à McGill en août 2008. Son mémoire, Le sublime, le grotesque et le meurtre spectaculaire : l’esthétique de la violence dans le théâtre romantique porte sur l’analyse de l’histoire de la violence dans le théâtre français du xixe siècle. Elle vient de commencer un baccalauréat en éducation à l’Université d’Ottawa.
MARIE MARKOVIC est titulaire d’un baccalauréat en études françaises de l’Université de Montréal. Elle étudie actuellement à l’Université McGill, où elle achèvera sous peu une maîtrise en création littéraire dont la partie critique porte sur les manuscrits du Temps qui m’a manqué de Gabrielle Roy.
EDYTA ROGOWSKA vient de terminer sa maîtrise au Département de langue et littérature françaises de l’Université McGill. Son mémoire porte sur le thème de l’errance féminine dans l’oeuvre de la romancière française Sylvie Germain.
Notes
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[1]
« Rewriting(s) : The Anthologization of Gabrielle Roy », projet subventionné de 2006 à 2009 par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada.
-
[2]
Cet inventaire n’est pas le premier à s’attaquer à ce corpus particulier : Marc Gagné (Visages de Gabrielle Roy, l’oeuvre et l’écrivain, Montréal, Librairie Beauchemin, 1973, 327 p.) y consacre une partie de sa bibliographie, et Paul Socken réserve une section pour les anthologies dans « Gabrielle Roy. An Annotated Bibliography », Robert Lecker et Jack David (dir.), The Annotated Bibliography of Canada’s Major Authors, vol. I, Downsview, ON, ECW Press, 1979, p. 213-261. Ce sont, à notre connaissance, les seuls inventaires importants publiés jusqu’ici.
-
[3]
Voir la bibliographie des oeuvres de Gabrielle Roy à la fin de ce document. Bon nombre de manuels scolaires contiennent également des extraits de l’oeuvre de Roy et d’autres auteurs ; nous en avons répertorié une quarantaine pour la période 1997-2007. Enfin, on trouve des extraits de son oeuvre dans divers magazines et revues.
-
[4]
« The Vagabond », « Grandmother and the Doll », « Mes études à Saint-Boniface », « Ély ! Ély ! Ély ! », Ces enfants de ma vie et « The Telephone ».
-
[5]
Traductions dans des langues autres que l’anglais.
-
[6]
À ce propos, voir Vincent B. Leitch, « On Anthology Headnotes », Symplokē, vol. VIII, nos 1-2, 2000, p. 177.
-
[7]
René Dionne et Gabrielle Poulin, Anthologie de la littérature québécoise, vol. IV : L’âge de l’interrogation, 1937-1952, Gilles Marcotte (dir.), Montréal, La Presse, 1980, p. 340.
-
[8]
Nathalie Fredette, Montréal en prose, 1892-1992, Montréal, l’Hexagone, coll. « Anthologies », 1992, p. 143.
-
[9]
Christian Braen et al., Littérature québécoise du xxe siècle. Introduction à la dissertation critique, Montréal, Décarie Éditeur, 1997, p. 128.
-
[10]
Gérald Moreau, Anthologie du roman canadien-français, Montréal, Lidec, 1973, p. 199.
-
[11]
Desmond Morton et Morton Weinfeld, Who Speaks for Canada ? Words that Shape a Country, Toronto, McClelland and Stewart, 1998, p. 135 : « […] Roy travailla comme journaliste avant d’être reconnue, chez les francophones et les anglophones, comme l’une des meilleures romancières du Canada. » Nous traduisons.
-
[12]
Douglas Daymond et Leslie Monkman, Literature in Canada, vol. II, Edmonton, Gage Educational Publishing Limited, 1978, p. 234 : « Constituant une étape importante dans l’émergence du réalisme urbain au sein du roman canadien-français, [Bonheur d’occasion] fut traduit en 1947 […] ». Nous traduisons.
-
[13]
Roberta Rubenstein et Charles R. Larson, Worlds of Fiction, New York/Toronto, Macmillan Publishing Company/Maxwell Macmillan Canada, 1993, p. 1076 : « [Roy] est l’un des écrivains les plus célèbres du Canada francophone […] ». Nous traduisons.
-
[14]
Voir par exemple Philip Stratford et Michael Thomas, Voices from Québec. An Anthology of Translations, Toronto, Van Nostrand Reinhold, 1977, 215 p., ou Matt Cohen et Wayne Grady, The Quebec Anthology, 1830-1990, Ottawa, University of Ottawa Press, coll. « Canadian Short Story Library », 1996, 424 p.
-
[15]
Michel Erman écrit dans son anthologie, Littérature canadienne-française et québécoise. Anthologie critique (Laval, Beauchemin, 1992, 570 p.), que Roy « a donné aux lettres canadiennes francophones une oeuvre importante » (p. 280).
-
[16]
À titre d’exemple, Les Éditions du Blé se caractérisent comme une anthologie de « la littérature francophone au Manitoba » (J. R. Léveillé, Les Éditions du Blé : 25 ans d’édition, Manitoba, Les Éditions du Blé, 1999, p. 7).
-
[17]
Morgan Kenney, Découvertes : anthologie, Toronto, D.C. Heath Canada Ltd., 1983, 188 p. Désormais, les références à cet ouvrage seront indiquées par le sigle V, suivi du folio et placées entre parenthèses dans le texte.
-
[18]
Cet inventaire contient sans doute des erreurs et des imprécisions. Toutes les suggestions pour le corriger ou l’améliorer seront donc les bienvenues. Nous n’avons pas toujours pu reconnaître l’édition de référence ; dans ces cas, nous le signalons.
-
[19]
À noter que le roman éponyme et les nouvelles (« Les satellites », « Le téléphone » et « Le fauteuil roulant ») ont tous été repris dans Sélection de Reader’s Digest et traduits dans plusieurs langues. Voir Jane Everett, « Gabrielle Roy traduite », Claude La Charité (dir.), Gabrielle Roy traduite, Québec, Nota bene, 2006, coll. « Séminaires », p. 15-68.
-
[20]
Certains récits ont été repris dans Sélection de Reader’s Digest.
-
[21]
Voir Robert Guy Scully, « Montréal ville magique », Morceaux du grand Montréal, Saint-Lambert, Éditions du Noroît, 1978, p. 13-14.