Abstracts
Résumé
Cet article analyse trois essais qui forment les premiers ouvrages d’une nouvelle collection, « Documents » (Atelier 10), associée elle-même à une revue récemment fondée, Nouveau Projet. L’article cherche à montrer comment les auteurs (David Robichaud et Patrick Turmel, Nicolas Langelier, Samuel Archibald) imposent leur parole par rapport à l’actualité politique, appuyant leur propos sur le présent. Publiés sur une période de moins de dix-huit mois, les essais se lisent à l’aune des événements liés à la grève étudiante de 2012. Par ailleurs, il s’agit aussi de montrer dans quelle mesure l’argumentation des uns et des autres se démarquerait de la pensée postmoderne.
Abstract
This article analyzes three essays constituting the first publications in a new collection, “Documents” (Atelier 10), itself associated with a recently-established periodical called Nouveau Projet. The article attempts to show how the authors (David Robichaud and Patrick Turmel, Nicolas Langelier, Samuel Archibald) base their comments on the present to impose their way of speaking about current political events. Published over a period of less than eighteen months, the essays are to be read in the light of events related to the 2012 student strike. The article also examines to what extent the arguments used by the authors can be differentiated from postmodern thought.
Resumen
En este artículo se analizan tres ensayos que constituyen las primeras obras de una nueva colección, titulada ‘Documents’ (Documentos), que está asociada a una revista de creación reciente, Nouveau Projet (Nuevo Proyecto). El artículo busca demostrar cómo los autores (David Robichaud y Patrick Turmel, Nicolas Langelier, Samuel Archibald), imponen su palabra con relación a la actualidad política, apoyando su discurso en el presente. Publicados durante un periodo de menos de dieciocho meses, estos se leen asociándolos con los eventos ocurridos durante la huelga estudiantil de 2012. Por otra parte, también se trata de mostrar en qué medida la argumentación de unos y de otros se apartaría del pensamiento posmoderno.