Abstracts
Abstract
Though Fort William and Port Arthur (now Thunder Bay) used the full gamut of promotional tools to attract industry in the three decades before 1914, they relied most heavily on bonusing. Together they granted more money in bonuses to manufacturers than perhaps any other community in Canada. Such a policy occasioned much debate locally over the usefulness and propriety of using tax dollars to subsidize industry. This article examines both the extent and effects of bonusing at the Lakehead and the debate it raised. It concludes that while bonuses could, in the short run, greatly affect the rate of industrial growth, the long-term survival of manufacturing depended on favourable geography and a supportive economic environment.
Résumé
Durant les trois décennies précédant 1914, sans négliger aucun moyen susceptible d’attirer l’industrie, Fort William et Fort Arthur (aujourd’hui rebaptisée Thunder Bay) mirent fortement l’accent sur les subventions. Ensemble elles versent ainsi aux entreprises des sommes qui sans doute ne trouvaient d’équivalent dans aucune ville canadienne. Ce faisant elles alimentèrent la controverse parmi leurs contribuables sur l’utilité et l’à-propos de ce genre de mesure. Les auteurs analysent l’ampleur et les effets des subventions qu’elles consentirent et les débats qui s’ensuivirent. Il appert que si de tels incitatifs pouvaient bel et bien, à court terme, stimuler la croissance industrielle, par la suite, la survie des entreprises reposait sur le dynamisme économique du milieu et sur les conditions géographiques.
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